Samia – 17 Samia et ses hormones.

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Samia – 17 Samia et ses hormones.À mon arrivée, je demande à Madame Simone : — Kristos n’est pas là?? — On fait d’abord nos comptes. Elle pourrait me répondre?! Je lui dis : — Voici 1000 francs, Madame. Elle me regarde, surprise, puis elle s’approche de moi et… me renifle. Elle me dit : — Tu sens le clebs?! En rougissant bêtement, je réponds : — Oui, j’ai fait des photos avec son chien. Elle lève les yeux au ciel, mais empoche les 1 000 francs. en m’annonçant : — Ils sont tous dans la dernière villa, celle qui donne sur la plage. — Julien aussi, Madame?? — Sans doute. J’ai déjà dit « salope », non?? Je confirme. J’en ai marre d’elle et de sa putain de fille?! Le photographe m’a proposé de loger dans sa villa. Je serais bien là avec Julien et mon nouvel ami. Je me gratte?! Ça, c’est le seul défaut du chien jaune : il a des puces. Si j’allais loger là, il me faudrait un collier anti-puce. Je préfère imaginer ce genre de trucs, plutôt que penser à Kristos et Kriss en train de discuter. Hélas, je l’ai dans la peau… oui, aussi vite?! Je roule le long du chenal, qui clôt le village naturiste. De l’autre côté, ce sont les “textiles”. Il y en a qui viennent en nageant. La dernière villa est beaucoup plus petite que celle du chien jaune. Sur la plage, juste devant la villa, quelqu’un a fait un feu, ce qui n’est certainement pas autorisé. Une douzaine de personnes sont assises autour du foyer. On dirait une bande de scouts… sauf qu’ils sont à poil, qu’ils boivent de la bière et que leur musique n’est pas un chant scout, mais Hôtel California. Kristos et Kriss dansent… Je me dirige vers eux. Dès qu’elle me voit, Kriss dit : — Tiens, Samia. Alors, on s’est fait des nouveaux amis?? — … euh … — Si tu te fais monter par un chien, tu vas att****r des puces. Ils rient tous les deux ! Merde, comment elle sait ça?? Sa mère a dû téléphoner à la villa?! Tout le monde me regarde, il y en a que ça amuse mais d’autres sont franchement dégoûtés. Je lui réponds : — C’est pas vrai ! Menteuse ! — Ton client a téléphoné à ma mère parce que tu as oublié ton collier. Il était ravi que tu aies posé avec son chien, ou plus exactement avec le chien en toi?! Ma mère a demandé quelques photos… On va faire ta pub dans les chenils?! Là, je pète un plomb, et mon poing lui arrive droit sur le nez et l’œil. Elle pousse un cri et me repousse avec tant de force muğla escort que je m’étale sur le sable. Elle crie : — Maintenez-la par terre, sur le ventre?! Plusieurs garçons me retournent et me tiennent par les chevilles et les poignets. Je crie à mon tour : — Kristos, au secours, défends-moi?! Il répond calmement : — Tu ne dois pas frapper les gens, ça mérite une punition. Ils sont tous d’accord, j’entends « Cette fille est cinglée », « C’est une Rom?! », « Punis-la, Kriss ! » et enfin la voix de Kristos : — Tiens, prends ma sandale. Je suis couchée sur le ventre bras et jambes écartées maintenues par plusieurs garçons. Je crie : — Je vais porter plainte, vous ne pouvez pas me frapper ! Kriss répond : — Et toi, tu as le droit?de me frapper ? Tiens?! PAF?! Je reçois un méchant coup de sandale en cuir en travers des fesses. Ça fait un mal de… chien?! Je pousse un cri, et aussitôt, “PAF?!” elle me frappe à nouveau. Elle me donne une dizaine de coups de sandale. Je crie à chaque coup le visage plein de larmes. Quand elle s’arrête enfin, une fille lui dit : — À moi, s’il te plaît Kriss. Et quelques secondes plus tard : — Tiens?! PAF, c’est reparti. Je crie et je pleure dans le sable. Une autre prend sa place, je reçois des dizaines de coups de sandale depuis la pliure des genoux jusqu’en haut des fesses. Je finis par supplier, honteusement : — Pitiééé… aïe… Mademoiselle… aïe… Kriss… aïe?! Autour de moi, on rit et on encourage les filles qui me frappent. Enfin, ça s’arrête?! Mes fesses sont dans un volcan en éruption. Je reprends mon souffle et je me lève péniblement, tenant à peine sur mes jambes. Je ne pense qu’à une chose : foutre le camp?! Je dois passer par le jardin pour déguerpir. En passant, je ramasse une serviette éponge qui traîne par terre. Je la mets autour de la taille. Je me demande où est passé Julien, quand je le vois arriver sur son vélo. Il me demande : — Ça va, Samia ? Tu as pleuré ? — Tu étais où?? — Mademoiselle Kriss m’a envoyé faire des courses… — Va les lui donner et puis on rentre. Je piquerais volontiers ce qu’il a acheté mais je n’ai pas envie qu’ils viennent le récupérer au camping. Je ne veux plus jamais voir ces gens, de toute ma vie. Quand il revient, je vois à sa tête qu’on lui a dit ce qui s’était passé. Je lui demande : — Tu as vu Kriss?? — Oui… elle a le nez tout gonflé et escort muğla un œil au beurre noir. Merci Sainte Sara… Je prends l’essuie et le plie en quatre. Julien qui voit mes fesses me dit : — Tu veux qu’on passe dans une pharmacie?? Je m’imagine montrant mes fesses à un pharmacien… Je lui réponds : — C’est pas tes affaires?! — Pardon, Samia. Faire du vélo avec un derrière incandescent, c’est pas le pied. J’aurais dû être plus subtile, me venger en douce. La frapper devant témoins, c’est stupide. Elle a beau jeu de dire « C’est elle qui m’a frappé en premier », comme dans une cour de récréation. Je ne vais pas mentir, il n’y a pas que mes fesses qui me font souffrir… Disons qu’une autre souffrance se situe derrière mon nichon gauche. On va dormir au camping. Julien a bien compris qu’il ne devait surtout pas me poser des questions. *** J’ai dormi sur le ventre et ce matin, je ne suis pas en pleine forme. J’espère que je n’ai pas cassé le nez de Kriss, étant donné que Madame Simone a des amis et des parents qui font partie du milieu marseillais. De plus, je ne veux à aucun prix revoir Kristos. Mes fesses gardent les traces de la semelle d’une de ses sandales… Celle qu’il a passée à Kriss?! Ce n’est pas que j’en ai marre du Cap d’Agde, je me sens bien ici, mais… pour le moment, on va redevenir des “textiles”. On va se doucher et on s’habille pour de vrai. Je mets ma jolie robe rouge, des espadrilles compensées et même une culotte ! On va prendre le petit déjeuner. Julien se tait. Quoi qu’il dise, ça ne me plaira pas. Ensuite, on va à la réception pour payer l’emplacement. Le patron me dit : — Tu dois appeler ce numéro. C’est celui de Madame Simone. Autant savoir ce qu’elle prépare et puis, je ne vais pas me dégonfler. J’appelle, madame Simone répond. Je lui dis : — J’ai eu votre message. — Je suis contente que tu appelles, Samia. Ma fille est une garce. Le photographe d’hier ne va jamais donner tes photos à personne. D’ailleurs, je regrette d’en avoir parlé à ma fille. Viens travailler, Kriss s’excusera. — Sérieux?? — Oui. Il y a aussi deux garçons, vraiment pas mal, qui ont vu des photos de toi et qui te proposent 2 000 francs. Viens travailler. — J’ai des marques… c’est gênant. Elle se marre en répondant : — Je te mettrai du fond de teint sur les fesses. Je ris aussi… — D’accord, on sera là à 11 h. Ce n’est muğla escort bayan pas la première fessée que je reçois, on s’en remet. Par contre, mon amour propre a pris une raclée nettement plus douloureuse. Je sais que Madame Simone ne fait pas ça par altruisme, mais par intérêt et parce qu’elle a besoin d’une serveuse. Moi aussi, j’ai envie de cet argent. Bientôt, je pourrai faire du shopping à Cannes, dormir dans un bel hôtel et puis retrouver mes futurs beaux parents dans le Nord?! On sort, j’annonce à Julien : — On se déshabille. J’enlève ma robe et ma culotte avec grand plaisir. On remonte à vélo… Ça, c’est un mauvais moment à passer, mes fesses me font toujours franchement mal. Mais ce n’est pas grave. On arrive aux Flots Bleus. Je vois Kriss, qui a un joli cerne sous l’œil droit, mais, son nez est à peine gonflé. Dès qu’elle me voit, elle vient me dire : — Excuse-moi Samia, je n’aurais pas dû te dire ça. On oublie?? Elle me tend la main. Je la serre. De loin, Madame Simone apprécie : — C’est bien les filles. Kriss m’embrasse, ses seins écrasent les miens et elle me tient fermement contre elle par la taille en me disant assez bas pour que sa mère n’entende pas : — Je m’excuse pour faire plaisir à ma mère, mais j’ai beaucoup aimé frapper tes grosses fesses et entendre tes couinements. Sale garce?! On est les yeux dans les yeux et là… ça dé****. Je veux dire que mes hormones me font un croche-patte. Comme avec Kristos, il y a quelques jours… Kriss est tellement sûre d’elle et d’une telle désinvolture que… je baisse les yeux. Je reconnais qu’elle est la plus forte. D’ailleurs, quand elle me dit : — Tu vas m’obéir?? Je réponds : — Oui Mademoiselle. Mais vous ne me frapperez plus ? — Qui a commencé?? — Oui, pardon Mademoiselle. C’est moi qui m’excuse?! Saloperie d’hormones?! Madame Simone est un peu plus loin, mais elle a bien compris ce qui se passait. Elle soupire en levant les yeux au ciel. Kriss m’annonce : — Maintenant au travail. — Oui Mademoiselle Kriss. Mais… euh… Madame m’a dit qu’elle me mettrait du fond de teint sur les fesses pour cacher les marques. — Tu rêves?! Allez au travail. — Oui Mademoiselle. Je vous imagine : vous soupirez en levant les yeux au ciel, comme Madame Simone?! Tant pis, c’est plus fort que moi. Je rejoins Anaïs, on s’embrasse, puis on dresse les tables avec Julien. Je lui demande : — Tu sais ce qui s’est passé?? — Oui, tu as bien fait de lui casser la gueule à cette garce. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Si vous voulez me joindre, je suis ici (toute nue… fait trop chaud !) [email protected]

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Laure-Anne 5 ( la surprise (fin)

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Laure-Anne 5 ( la surprise (fin)Allongée entre ma cousine et moi, Marie me tournait le dos, ma main caressait les courbes de son corps blanc, la marque rouge de ma main se distinguait encore sur ses fesses que j’avais maltraitées, je me faisais plus douce maintenant, comme la sensation sur ma main de son entrejambe égal à une peau de bébé, Marie fléchi sa jambe pour facilité mes caresses et atteindre son sexe, son pubis était très bombé surmonté d’un triangle noir entretenu et ses lèvres épaisses et totalement épilées fermait l’entrée de son intimité, j’effleurais avec mon doigt sa fente et son anus sans l’introduire, ce qu’elle devait attendre ne se produisait pas et son désir augmentant de plus en plus, elle rongeait sa frustration sur le sexe de ma cousine qui mettait encore plus de passion à l’embrassée« Mmmm m’encule moi Marion » lâche Marie en décollant et recollant ses lèvres de celle de Laure-Anne« Comme ça » lui dit je en rentrant doucement un doigt dans son anus contracté.« Faite moi tous ce que vous vous faite avec Laure-Anne » dit elle.Ma cousine était déchainé à l’entente de ces paroles, elle grognais presque, sa bouche toujours collé sur celle de Marie alors que celle ci martyrisait toujours son sexe.J’allais au pied du lit chercher le nécessaire à la mission qui m’était confier, gel, un spéculum et un gode ceinture. De retour sur le lit, la vue du sexe rose entre mes jambes me paraissais étrange pour ne l’avoir jamais vécu, se retrouvé avec une protubérance à cet endroit me troublais, me retrouver à la place de l’homme l’espace d’un instant, je ne savais plus si je devais adopter en comportement masculin ou féminin.La pression sur l’anus de Marie le fit se contracter, je devais tout reprendre depuis le début, ma cousine poursuivait de s’occupé de sa bouche en faisant des pauses sur ses seins pour lui lécher les tétons.Mon majeur enduit de gel glissait sur anus massant une large zone, Marie couchée sur le coté remonta ses jambes pour écarté ses fesses naturellement et me facilité le travail. Je me penchais sur son oreille pour lui glisser d’une voix douce.« Détend toi on y va, profite » j’engouffrais mon doigt dans son cul et pratiquait un va et vient rythmé puis je passais à un deuxième doigt, Marie qui n’était plus surprise par les sensations s’était relâchée complètement, son anus retrouvais sa souplesse afyon escort et je pouvais maintenant introduire le spéculum sans problème, j’invitais Marie à s’ouvrir le cul toute seul ne voulant pas la blesser puis son seuil de douleur atteint je mis trois doigts pour fouiller son rectum telle une curieuse; je réduisais la pression du spéculum et l’augmentais de nouveau en allant toujours un cran au dessus, Marie qui me laissais manœuvrer tenais mon poignet et je sentais à la pression de sa main si la douleur était trop vive. Apres cette séance, le spéculum laissais un trou béant à sa sorti.Je m’allongeais derrière Marie, elle saisi le gode en passant sa main entre ses jambes et le dirigea dans son cul dilaté, après quelque coups de reins pour se mettre en place, j’enculais Marie comme elle me l’avais demandé, sans la brusquer, elle gémissait à chaque coup que je lui mettais, si j’avais du plaisir pour elle, moi je ne ressentais aucune sensation et décidais de partager son bonheur, je mettais fin à la pénétration pour aller chercher le double gode et ôter le gode ceinture, Laure-Anne nous planta chacune une extrémité après nous être mise cul a cul, je laissais Marie maitriser les va et vient et donnais un coup de rein de temps ne temps pour la stimuler, je branlais mon clitoris avec intensité en couinant, j’étais en transe et une décharge me traverse le corps, un jet d’urine mouilla ma cuisse et m’affalais sur le lit pour reprendre mes esprits puis je me mise sur le coté et Laure-Anne pris ma place.Je regardais mes deux copines empalées l’une à l’autre se faire du bien pendant que j’essuyais mon entre jambe souillé avec du papier absorbant qui heureusement porte bien son nom, Marie suivait les mouvement imposé par ma cousine qui, étant plus rapide que les miens faisait ballotées ses seins dans tout les sens, les expressions de son visage trahissais la douleur et le plaisir.Je m’approchais de son oreille et lui chuchote.« C’est comment dit moi ? »«  j’vais jouir !, j’vais jouir !, hhhhh !…. hhhhhh !….. j’vais jouir !…. putain j’vais jouir !… han !…. j’vais !..j’vais ! »Mon visage affichait un large sourire, je mouillais mes doigts et ma main pris la direction de son clitoris que je me mise à frotter vigoureusement.« ha ouiiiiiiiii !….. hîiiiiiïiiîii !…j’vais jouiiiiiiiiir ! Et elle a jouit ………bruyammentMarie se désolidarisa escort afyon de sa partenaire et se mise en position fœtal, triturant ses cheveux elle ne put contenir ses émotions.« J’ai jouis ….! j’ai jouis … ! » fini t elle par dire sa voix mêlé de sanglotsJe posais un baisé délicatement sur sa joue.« Tu as été magnifique Marie » lui dis jeLaure-Anne nous regardais assise avec un large sourire, la tête posé sur son genou et le gode toujours planté dans le cul, manifestement ému elle aussi, une larme coulait sur sa joue.Je tirais deux feuilles du papier absorbant et donnais le rouleau à ma cousine qui fit de même, plia en deux les feuilles pour les coller entre ses jambes, le papier fera son travail d’absorption puis essuya l’entre jambe gluant de Marie toujours recroqueviller sur elle même.« J’avais jamais jouis » dit Marie« Y’a un début à tout tu sais » lui dit je en essuyant les larmes qui inondaient ses joue « et puis tu vois je fais attention de ne pas effacer tes taches de rousseur pour que tu reste jolie » avais je ajoute dans le but de la faire rire, mais ce fut l’effet inverse« Te moque pas de moi » dit elle dans un sanglot« Jamais de la vie, ce n’est pas mon intention marie, pardonne moi » Elle se tourna de l’autre cote et repris sa position fœtal. Je me collais à elle dans la même positon et la serais dans mes bras.Laure-Anne senti la situation critique et me laissa gérer, elle s’éclipsa d’abord dans la salle de bain puis nous préparer une tisane.Je restais blottis contre elle sans rein dire, ses sanglots avaient cesser.Etrange personnalité, j’étais certaine quelle avait souffert d’un manque affectif dans ses jeunes années et l’expérience de ce soir l’a secouer, elle ne s’attendait pas à ça, peu être s’était elle déflorer toute seul, n’était entourer que de femmes, n’avait jamais rencontré de garçon, je me posais trop de question et la situation me tenais trop à coeur, je revenais au temps présent et tentais une approche« J’aime tes cheveux Marie, ils sentent bon » lui dis je en les écartant de sa nuque pour lui poser un baisé « ha mice je t’ai fais un suçon » « Fait en un autre » me dit elle en retourJ’esquissais un sourire de victoire et m’exécutais .« holala, il est encore plus gros celui la » dis je sottement .Elle rit« Marie, tu veux bien m’offrir ton regard, je veux me noyer dans tes beaux afyon escort bayan yeux bleus »Elle se tourne face à moi les yeux fermés.« Laisse les fermés, je veux pas me noyer » et j’embrasse ses lèvres.Il n’était plus besoin de parler, je l’embrassais passionnément et mes mains excitées par son corps nu parcourais sa peau douce, j’était de nouveau excitée, tout comme elle, sa main passa rapidement sur mon ventre pour chercher ma fente, j’écartais mes cuisses pour mieux l’accueillir, ses doigts frottait ma chatte de long passage jusque dans mon vagin, je ne pouvais décoller mes lèvres de sa bouche, je buvais sa salive, j’avalais sa langue, Marie me faisait un effet dingue et je ne contrôlais plus rien, ma chatte faisait un bruit de gargarisme, je fut prise de violent spasmes.« J’vais jouir…! j’vais jouir …! hurlai jeEt j’ai jouisLaure-Anne revient avec les tisanes dans la chambre.« hey prenez pas tout, laissez en pour les autres » dit elleJe roulais au pied du lit, mon coeur battait fort et je reprenais mon souffle.Marie se masturbait, demandant de l’aide à ma cousine pour se finir; Laure-Anne se mis tête bêche sur elle lui offrant sa croupe à lécher et plongea sa tête entre les cuisses de Marie pour gober son clitoris et de bruyants sucions se firent entendre, Marie branlais ma cousine depuis de longues minutes, la moitié de sa main disparaissait dans son vagin de va et vient rapide, Laure-Anne se figea la bouche ouverte émettant de forte expiration, l’intensité devait être forte, ses sourcils se fronçais et l’expression de son visage grimaçant affichait le plaisir ou l’horreur en même temps si on était pas témoin de la scène.Ma cousine étant hors course dans l’immédiat je revint m’occuper de Marie à qui je faisais le même traitement, intercalant pénétration et frottage de clito, sa chatte et tout son entre jambe brillait, les cris de mes deux partenaires m’annonçait une fin heureuse, c’est ma cousine qui émis un hurlement de bonheur la première et se laissa tomber sur le coté. Marie me motivait se sentant au seuil du plaisir.«  va s’y !… va s’y !….. oui !…. va s’yyyy !….j’vais jouir !…. haaaaa ouiiiiii ! » Je pris soin de fermer ma gueule cette fois ci en évitant tout commentaire qui aurait put heurter notre invité, vous l’aurez compris.La tisane était froide finalement, la nuit courte mais agréable, trois filles nu dans le même lit en tout bien tout honneur, si on oubli les cochonnerie que l’on à fait avant bien sur.La semaine s’est poursuivi en compagnie de ma cousine, intense vous vous en doutez.Et marie ………Marie hante certaine de mes nuits.

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Une fête spéciale

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Une fête spécialeComme beaucoup de femmes, je me touche souvent sur mes récits et sur des vidéos.Un ami, m’a invité à un rite Celtic païen qui a lieu en pleine nature. Je le connais depuis longtemps et j’ai une confiance aveugle envers Maxime, car il est quelqu’un de sérieux même si parfois, il est imprévisible. Le jour J, je me suis donc déguisée en sorte de prêtresse médiévale avec juste une sorte de toge blanche sur le dos et nue dessous.Nous marchons avec les autres participants jusqu’au lieux de cérémonie. En attendant le début des festivités, nous commençons à boire. L’alcool aidant, mon ami commence à me regarder différemment, ce qui ne me déplaît pas. J’adore être le centre de l’attention. Il y avait beaucoup plus d’hommes que de femmes et il faut dire que beaucoup me regardent. Mon ami devient alors beaucoup plus entreprenant.Tout au long de la cérémonie, il me prend par la taille. Pendant les chants, il se colle contre moi pour lire les paroles. A un moment, il se met torse nu pour me montrer ses tatouages. J’en profite pour toucher sa peau. Il me demande alors :« Tu ne veux pas coucher avec moi ? »Sa réflexion me fait doucement sourire mais nevşehir escort je veux jouer la sainte-nitouche et lui réponds :« Je t’aime bien. Mais tu es trop dragueur et déconneur. Ne rois pas que parce que je te laisse me tripoter que je vais me laisser ma faire sauter comme la dernière des putes ! » Vexé, il me regarde droit dans les yeux comme si ses yeux étaient des pistolets et me lance :« Si je dois te sauter, c’est que tu sera OK ! Je te promet que je te ferai pas de crasse ». Il semble si convaincant et sincère que je craque. Je décide donc de partager ma tente avec lui. Tard dans la nuit, très saoule, je vais me coucher. Max me rejoint plus tard alors que je dors profondément.Dans mon sommeil alcoolique, je sens un baiser dans mon cou et une main sur mon sein. Encore à moitié endormie, je dis :« Max, qu’est ce que tu fais ? » « Ce n’est pas Max ! C’est Gabriel ! »Sans me laisser le temps de comprendre et de réagir, il se colle à moi et se met à me peloter les seins. Il roule mes tétons sous ses doigts. Au lieux de me rebeller, je me laisse faire et j’adore cette « agression ».Me voyant conciliante, il se met nu de son côté et cette escort nevşehir foi il se met à me fouiller le minou et titiller le clito. Je succombe à la caresse et me et à gémir de plaisir. Je fond. Ma chatte deviens humide. Il descend alors entre mes cuisse et commence un cuni qui me fait craquer.Dans mon plaisir, Je sens une bite sur ma bouche que je me met à sucer machinalement sans réfléchir que les deux compère sont entrain d’abuser de moi. J’adore le sentir dans ma bouche. D’une main agrippant mes cheveux, il m’impose le rythme de la fellation pendant que l’autre me bouffe la chatte. Je suis comme dans un rêve. Mon corps exulte. Max quitte ma chatte et s’enfonce doucement dans mon vagin qui l’accueille avec bonheur. Je réalise seulement que mes deux amis sont entrain de me sauter. Mais, c’est tellement bon que je m’abondonne à leur douce agression amoureuse. Ils me mettent à quatre pattes, je me cambre, et comme une chienne en chaleur, je frotte ma chatte trempée sur sa queue, pour lui montrer comme j’ai envie qu’il me prenne. Il m’enfile et je pousse un long soupir de plénitude. Gabriel en profite pour me remplir la bouche avec son nevşehir escort bayan engin pendant que Max commence à me limer. Je suis au bord de l’orgasme. Au bout d’un moment, ils changent leurs palace et je suce la queue de Gabriel qui à le goût subtile de ma cyprine et de son liquide spermatique. Max me prend plus virilement et cette foi mon orgasme explose d’une telle v******e que mes deux amis ne peuvent se retenir et se lâche en moi.J’avale son sperme comme je dégusterais une douce liqueur. Et lui nettoie consciencieusement sa queue ramollissante. Max ressort de ma chatte entrainant un filet de sperme et de cyprine. Aussitôt en bonne salope, je me retourne et lui nettoie la queue à son tour.Tous les trois épuisés, nous nous endormons imbriqués les uns dans les autres.Le lendemain matin, l’esprit plus vif, je réalise la situation. Les deux amis dorment encore et je m’éclipse avant qu’il ne se réveillent. Plus tard dans la journée, je prends mon courage à deux mains et écris un SMS à mes amis.« Je n’étais pas dans mon état normal cette nuit. Je ne me rappelle pas de grand chose. Que c’est-il passé réellement ? »Ils me répondent :« Tu étais si craquante dans ta nudité qu’on a pas pu résister. Maintenant tu avais l’air d’en avoir envie car tu étais très expressive et tu nous a sucé comme une déesse. »Je rougie de honte mais j’ai adoré et je suis impatiente de renouveler l’expérience avec eux.

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Im Fahrstuhl verführt – im Abstellraum beendet

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Im Fahrstuhl verführt – im Abstellraum beendetIch hatte einen sehr stressigen Beruf, der lange Arbeitszeiten beinhaltete. Überstunden waren also keine Seltenheit und freie Abende gab es schon eine ganze Weile nicht mehr. Meine Firma hatte vor kurzem einen Großauftrag ran geholt, unter dem wir alle ziemlich litten. Es war ein enormer Aufwand, den jede Abteilung bewältigen musste. Als Abteilungsleiterin blieb ich sehr oft bis spät abends, um wichtige Vorbereitungen für den nächsten Tag treffen zu können. Alle anderen Mitarbeiter waren zu dieser Zeit schon längst im Feierabend und erholten sich bei ihren Familien und Freunden. Ich hingegen lebte allein, was mir aber nichts ausmachte.Gegen 19 Uhr beschloss ich, mir den letzten Kaffee des Abends zu holen. Dazu ging ich in den Pausenraum und stellte fest, dass ich nicht ganz alleine war – zumindest in der Firma. In der hintersten Ecke, zwischen zwei Zimmerpflanzen, die schon lange mal wieder etwas Wasser nötig hatten, saß eine junge Frau. Ihr Gesicht war nach unten gesenkt, ihre Ellenbogen stützte sie auf den Tisch und ihrer Hände hielten ihren Kopf. Ich musterte sie eine kurze Weile und holte mir anschließend meinen Kaffee. Wie immer verzichtete ich auf Zucker und Milch. Mit dem Kaffee in der linken Hand beschloss ich, zu der jungen Frau am anderen Ende des Raumes zu gehen. Ich fragte: >> Entschuldige, darf ich mich an deinen Tisch setzen, du siehst so fertig aus? << Ich begann gleich mit dem "Du", da sie in etwa im gleichen Alter wie ich war - so Ende Zwanzig. >>Es ist nur die viele Arbeit<<, sagte sie. >>Aber ja, setzten Sie sich. <<. >>Danke, aber bitte duze mich. Wir sind doch in etwa im gleichen Alter. Ich bin Anna. Und du? <<, erwiderte ich, setzte mich auf den Stuhl direkt gegenüber von ihr und trank meinen Kaffee. >>Ich bin Marie. <<, sagte sie zügig und hob ihren Kopf nach oben, sodass ich in ihr Gesicht sehen konnte. Es war wunderschön. Sie hatte so gut wie keine Falten - nur kleine Augenringe, die sich durch die viele Arbeit gebildet hatten. Ihre Augen waren groß und blau. Sie hatte eine süße Stupsnase und einen zarten Mund. Ihre blonden Haare bildeten einen Zopf, der ihr die rechte Schulter hinunter hing. Sie war wahrhaftig bildhübsch. Auf die Frage, was sie hier für eine Tätigkeit ausübt, antwortete sie mit dem Wort "Praktikantin". In der Abteilung, in der sie arbeitete war es üblich, dass Praktikanten viel Arbeiten. Sie wurden oft schlichtweg nur ausgenutzt. Bei mir würde es sowas nicht geben. >>Mit Ende Zwanzig bist du schon Abteilungsleiterin? Du hast ja schnell etwas erreicht. <<, fing sie nach einer kurzen Pause an zu sagen. Es stimmt - ich hatte es sehr schnell zu etwas gebracht. Worauf ich auch sehr stolz bin. Die Arbeitszeit hingegen nahm mit zunehmender Beförderung aber nicht wirklich ab.Marie gefiel das Praktikum wirklich sehr gut, das sagte sie mir auch.In einer kurzen Redepause schaute ich ohne schlechte Vorahnung auf die Uhr. Ich stellte zu meinem Erstaunen fest, dass wir schon seit 20 Minuten redeten, es mir aber aydın escort nicht einmal halb so lang vorkam. >>Lass uns das Gespräch ein anderes Mal fortsetzten, Marie. Ich muss noch etwas arbeiten, entschuldige. << Entgegnete ich ihr mit einer Geste auf die Uhr. >>Kein Problem, wir reden später weiter. << Ich stand auf, stellte die leere Tasse Kaffee in die Spülmaschine und bevor ich den Raum verließ sagte ich aus heiterem Himmel: >>Sag Tschüss bevor du gehst. << Ich wusste nicht warum ich das sagte. Wir kannten uns doch gar nicht richtig. Warum war mir das also so wichtig? Ich setzte mich wieder an meinen Schreibtisch und versuchte weiter zu arbeiten, aber Marie ging mir nicht mehr aus dem Kopf. Ich hatte immer noch ihr bildhübsches Gesicht vor meinen Augen. Mit höchster Konzentration konnte ich meine Gedanken halbwegs wieder auf die Arbeit lenken. Nach 30 Minuten, es war jetzt schon kurz vor acht, klopfte es an meiner Tür. Es musste Marie sein und ich war erfreut, dass sie wirklich Tschüss sagen will. Ich sagte:>>herein<< und da stand sie. Mit ihren hohen Schuhen, ihrem kurzen Rock und der heißen Bluse, die einen tiefen Ausschnitt zuließ und einem ins Träumen brachte. Sie sagte Tschüss und ich entgegnete ihr: >> Halt, ich komme mit. Das wird mit der Arbeit heute eh nichts mehr. << Ich wollte einfach bei ihr sein. Die Arbeit war mir völlig egal. Ich stand auf, packte meine Tasche und wir verließen zusammen das Büro. Der Fahrstuhl stand auf unserer Etage schon bereit und so konnten wir sofort einsteigen. Ungewollt drückten wir zeitgleich auf die Taste "Erdgeschoss" und unsere Hände berührten sich. Ein Kribbeln schoss mir durch den Körper. Es fing im Bauch an und endete in meiner Mitte. Mir wurde warm und ich konnte meinen Puls schneller schlagen fühlen. Die Tür des Fahrstuhls ging zu und die Fahrt aus dem 20. Stock begann. Ich konnte die Augen während der Fahrt einfach nicht von ihr lassen. Ich verlor mich in ihrem Dekolleté und wurde langsam erregter. Ich verzehrte mich nach ihrem Anblick und genoss die Fahrt. >>Alles Okay, Anna? Du starrst so auf mich. << Durch ihre Frage kam ich schlagartig in die Realität zurück und bemerkte, was ich hier eigentlich gerademachte. Ich starrte die ganze Zeit auf sie. Mein Gesicht färbte sich Tomatenrot und ich verspürte mehr Scham als Lust. >>Es tut mir leid, ich…, ich… << Ich fand einfach keine Worte. Es war so peinlich.Zu meinem Erstaunen kam Marie näher und legte ihren Zeigefinger auf meinen Mund. Mein Herz war fast am Explodieren. >> Ist schon in Ordnung. <<, sagte sie mit einer sanften Stimme. Wir schauten uns für einen Moment in die Augen. Ihren Finger ließ sie auf meinem Mund liegen. Ich wurde immer erregter und hatte das pure Bedürfnis sie zu küssen. Nichts mehr hatte ich unter Kontrolle. Mein Körper machte sich selbstständig und bevor ich es noch stoppen konnte geschah es. Ich nahm mit meiner rechten Hand ihren Zeigefinger von meinem Mund und bewegte die Hand auf ihr linkes Ohr zu und streifte ihr ein paar Strähnen zurück, die sich escort aydın aus dem Zopf lösten. Meine Hand legte ich auf ihren Hinterkopf und drückte sie langsam in meine Richtung. Unsere Lippen berührten sich und wir küssten uns. Ich spührte sie und es war schön. Aus dem einen zaghaften Kuss wurden mehrere und diese leidenschaftlicherer.Der Fahrstuhl erreichte das Erdgeschoss und die Tür öffnete sich. Erst jetzt ließen wir unsere Lippen voneinander. Ohne etwas zu sagen nahm sie meine Hand und führte mich aus dem Fahrstuhl in den Aufenthaltsraum. Ich folgte ihr ohne zu zögern. Ich merkte, dass sie mich wollte und ich wollte auch sie. Marie steuerte präzise auf einen Abstellraum zu. Sie drückte die Klinke nach unten und der Raum öffnete sich. Ihn hatte wohl jemand vergessen abzuschließen. Wir traten ein und ich schloss die Tür hinter mir. Marie ließ meine Hand los und setzte sich auf den Tisch. Ich stand erwartungsvoll im Raum und sah, wie sie mich an sich ran wink. Mit leichten Schritten näherte ich mich ihr. >>Halt! <<, rief Marie. >>Zieh dich aus und komme zu mir. << Ich gehorchte und begann mich auszuziehen. Als erstes zog ich meine Schuhe aus. >>Nicht so lustlos! <<, sagte Marie. Ich öffnete meine Hose, streifte sie mit meinen Händen und mit sanften Hüftbewegungen langsam ab, wobei Marie immer mehr Blicke auf meine nackte Haut erhaschen konnte. Sie biss sich vor Errungen auf die Unterlippe und fuhr mit einer Hand sanft über ihren Hals. Meine Bluse öffnete ich Knopf für Knopf und schaute ihr dabei tief in die Augen. Jetzt stand ich nur noch mit BH und Slip vor ihr.Ich ging zu Marie, legte meinen Zeigefinger auf ihr Kinn und drückte ihren Kopf nach oben. >>Gefällt dir das? <<, fragte ich sie. Ohne zu antworten nahm sie ihre Hände und legte sie zügig auf meine Hüfte. Ihr Griff war so stark, dass ich kurz zusammenzuckte. Sie schaute mir in die Augen und ihre Hände senkten sich auf die Höhe meines Pos und umgriffen meine Backen so fest sie nur konnten. Ich spürte wie die Lust in mir immer weiter stieg. So schnell sie ihre Hände an meinen Po auch ran führte, so schnell waren sie plötzlich auch wieder weg.>>Tritt einen Schritt zurück, Anna. << Sie stand auf, kniete sich vor mich hin und hielt ihren Kopf in Höhe meines Slips. Ich wusste, was sie gleichtun wird und spürte, wie sich mein Puls erhöht. Mit dem Mund biss sie in meinen Slip, zog ihn dabei ein Stück nach unten und Erblickte nun mein Intimstes. Sie legte einen Finger kurz unter meinen Bauchnabel und fuhr mit ihm langsam hinab. Kurz vor dem Ziel stoppte sie, was mich wahnsinnig machte. Ich wollte sie endlich spüren. Mein Kitzler war schon angeschwollen und für sie bereit. Sie allerdings küsste meinen Bauch, streifte mit ihren Händen meinen Slipp nach unten zu meinen Füßen und stand auf. Sie gab mir einen leichten Kuss auf die Lippen und dann auf den Hals. Dabei öffnete sie meinen BH und legte meine Brüste frei. Sie leckte meine Nippel bis sie steif wurden und küsste sich nun meinen Körper hinab, bis zu der Höhe, in der sie schon aydın escort bayan einmal mit ihrem Finger war. Mir ging ein Seufzer ab und endlich – endlich ging sie tiefer. Ihre Lippen umschlossen meine Klitoris und küssten sie sanft. Ich stöhnte immer lauter auf und mein Herz raste. >>Du bist so schön feucht, Anna. <<, entgegnete sie mir. Ich drückte mein gesamtes Becken in ihre Richtung und wollte immer mehr. Sie schaute zu mir auf, nahm einen Finger und legte ihn auf meine Schamlippen. Sie streifte von oben bis unten über meine Spalte und leckte den feuchten Finger ab. Es sah nicht nur anregend aus - es war es auch. Während sie den Finger immer noch im Mund behielt, legte sie den Daumen der anderen Hand auf meinen Kitzler und rieb an ihm. Ich stöhnte nun immer lauter und kräftiger. >>Leck mich! <<, schrie ich ihr lautstark zu. Das ließ sie sich nicht zweimal sagen und leckte los. Ihre Zunge drang so tief ein wie sie nur konnte und sammelte den ganzen Saft auf. Es war so ein schönes Erlebnis, dass ich es kaum noch aushielt. Sie leckte nun weiter und rieb mit ihrem Daumen schneller über meine Klitoris. Ich umgriff meine Brüste, rieb meine Nippel und schrie so laut auf, dass mir fast die Stimme abhanden ging. Ich zuckte vollkommen zusammen und drückte ihren Kopf dabei immer weiter an mich heran. Es war ein unglaublicher Orgasmus. Ich atmete schnell und oberflächlich und zog ihr Gesicht zu mir rauf. Ich küsste sie und griff ihr mit meiner linken Hand in den Rock. Sie trug nichts darunter und meine Finger lagen sofort auf ihren Schamlippen. Sie war klitsch nass, was mich immer geiler machte. Ich rieb sie mit meinem Mittelfinger während wie uns intensiv küssten. Aus ihrem Mund drangen leise Schreie und ich wusste, dass sie nicht mehr lange braucht. Ich rieb und steckte Mittel- und Ringfinger in sie hinein. Es war warm und unglaublich feucht. Ich fingerte sie bis zum Orgasmus. Langsam zog ich meine Finger wieder heraus und legte sie zwischen unsere Lippen. Gierig nach dem Saft leckten wir sie beide mit unseren Zungen ab und küssten uns.Es war unglaublich und Marie war die beste Praktikantin, die ich je hatte.Nach unserem Liebespiel umarmten wir uns und fuhren mit dem Gespräch aus dem Pausenraum fort. Sie sagte, dass sie nur noch 3 Tage hier sein wird und dann in eine andere Stadt zieht. Weit weg von dieser. Sie hat bereits ein Jobangebot angenommen. Ich freute mich für sie und gab ihr einen Kuss auf die Stirn. >>Wir müssen das unbedingt wiederholen. <<, sagte ich. Marie lächelte, bildete dabei kleine Grübchen und sagte ja. In diesen 3 Tagen liebten wir uns sehr oft. In den Pausen auf der Toilette, am Abend bei mir oder ihr zu hause.Wir tauschten am Schluss unsere Nummern aus und schrieben die erste Zeit oft miteinander, trafen uns an Wochenenden und verwöhnten uns mit immer neueren und ausgefalleneren Liebesspielen. Ich konnte von ihrem Körper einfach nicht genug bekommen und sie auch nicht von meinem. Doch, so wie es immer ist, holte uns der Alltag schneller ein als gewollt. Wir sahen und schrieben uns immer weniger - aber die Erinnerung blieb. Sie wird für uns die Ewigkeit überdauern.----Das war meine allererste Story.Für Kritik bin ich dankbar.Ich hoffe, ihr hattet so viel Spaß beim lesen wie ich beim Schreiben.

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Les affres de Julie (2)

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Les affres de Julie (2)Julie s’endormit tard ce soir là. Elle discuta un long moment avec sa soeur, et ne dirent rien au beau-frère sur ce qu’il s’était passé cet après-midi. D’ailleurs, Julie se dit par la suite que si sa soeur n’avait rien dit, c’était peut-être parce qu’elle avait des doutes sur ce qu’elle lui avait raconté. Elle lui fit même remarquer qu’elle la trouvait particulièrement anxieuse, et qu’elle devrait essayer d’en parler à un “professionnel”.Le lendemain, elles appelèrent un serrurier qui leur donna rendez-vous en début d’après-midi. Il changea la serrure simple contre une serrure à 4 points. L’addition fut assez salée, mais Julie se sentit soulagée. L’appartement était tel qu’elle l’avait laissé, sans la moindre mauvaise surprise.Vers 17h, sa soeur lui demanda si elle pouvait à présent rentrer chez elle. Julie se sentait en sécurité. Elle remercia sa soeur ; cette dernière lui fit signe de l’appeller en cas de problème.- Au fait, tu devrais laisser un double des clés à ton voisin ?Julie réflechit :- Non, je ne préfère pas. – Tu ne lui fais pas confiance, à lui non plus ?- Je ne sais pas…Julie vit sa soeur faire la moue. Mais elle n’ajouta rien, et s’en alla en lui envoyant un baiser avec la main.Une fois seule, Julie souffla un peu. Elle aimait se sentir seule. Elle s’affala un moment dans son canapé, s’assoupit légèrement. Elle se releva vingt minutes plus tard, alla se prendre une douche, puis ressortit de sa salle de bain uniquement vétue d’une culotte. Elle alluma une bougie pour faire bruler des huiles essentielles, et alla se préparer un thé.Elle feuilleta un magasine en s’interressant vaguement aux conseils de beauté et lut un article sur le lifestyle. Elle se fit un plateau repas, elle n’avait pas vraiment faim, et elle regarda un film à la télé. C’était Pearl Harbour. Elle aimait bien ce film, et surtout mettre le son fort ; alors pour ne pas gêner son voisin, elle hatay escort se mit son casque bluetooth sur les oreilles.L’acteur était plutôt beau, et elle se sentait plutôt seule. Julie ecarta un peu sa culotte sur le coté. Elle posa un doigt sur sa chatte, et commença à faire tournoyer doucement son clitoris. Elle se sentait bien, détendue, elle devenait de plus en plus humide, son excitation montait sans discontinuer. Son doigt allait vite à présent, et elle n’avait pas envi de se retenir. Jouir, pour se faire du bien, pour oublier les tracas et les soucis. Elle se sentait venir. Elle sentait ses mamelons durcir, sa respiration s’accélérer, son bas ventre monter et descendre doucement. Son doigt agitait son clitoris dans tous les sens. Sa chatte coulait un peu. Elle sentit qu’elle était en train de venir.L’image sur la télévision changea. Ce n’était plus le film. Le changement de son brutal la fit sursauter. Ce qu’elle voyait sur la télé, c’était elle ! Elle fut tétanisée par la surprise, sentit la peur l’envahir. Elle ne bougeait plus. Elle se voyait, affalée dans le canapé, le casque sur les oreilles, en train de manger des chips. Elle avait mangé des chips au début du film ! Elle voyait des images enregistrées ! Un immense frisson la traversa et l’horrifia. Elle n’osait plus bouger. Une silhouette d’homme était entrée dans le champ, juste derrière le canapé, à quelques pas d’elle. Il s’approchait doucement. Il pouvait la voir, alors qu’elle avait son attention captée par le film. Il portait une cagoule noire sur le visage. Il fit un petit geste vers la camera, puis montra qu’il tenait une culotte rouge dans sa main. La culotte qu’elle avait porté durant la journée, et qu’elle avait laissé dans la salle de bain avant de prendre sa douche. Elle le vit ouvrir son pantalon, et commencer à se masturber en enroulant sa culotte autour de sa queue. Il etait derrière elle et la regardait. Elle était escort hatay tétanisée, n’osait pas bouger. L’homme se masturba fort, pendant environ cinq minutes, puis posa la culotte face à lui, sur le dossier juste au dessus de sa tête. Elle le vit éjaculer à plusieurs reprises. Il resta ensuite à la contempler quelques instants, et se retira en marchant en arrière, doucement.L’écran revint sur le film. C’était une page de publicité. Julie retira son casque audio, sentit des perles de sueur froide sur son visage. Elle se redressa doucement. Sa respiration était douloureuse, elle ne voulait pas faire de bruit, et en même temps se sentait traquée, observée. Personne. Elle était seule. Son regard balaya la pièce. Une fois. Deux fois. Personne.La culotte était posée sur le dossier, ouverte, et couverte de gros jets de sperme !Son cerveau n’arrivait pas à traiter toutes les questions qu’elle se posait et qui s’imposaient à elle. Elle se sentait perdue. Elle se sentait effrayée, observée, épiée. Un message apparut à l’écran, composé de lettres blanches, sur un fond noir.ETALE MON SPERME SUR TA CHATTEJulie était en panique. Elle se dressa, attrappa son portable. Trois coups cognèrent à la porte, bien distinctement. Un nouveau message s’afficha :OU JE VIENS TE FAIRE MALEffrayée, Julie regarda de toutes parts, essayant de trouver l’objectif d’une camera. Elle entendait des bruits de pas qui faisaient du sur place juste devant sa porte. – Non, non… murmura t-elle.Elle prit la culotte rouge remplie de foutre, et écarta ses jambes, toujours affalée dans le canapé. Elle la posa contre sa touffe, sentit le contact du sperme sur sa peau. Elle frotta doucement la culotte, étalant le foutre sur son intimité. On tapa à nouveau à sa porte. Paniquée, elle frotta de plus belle. Un nouveau message apparut à l’écran.MASTURBE TOIJulie posa la culotte à coté d’elle et glissa sa main vers sa chatte. Elle sentit ses poils hatay escort bayan collés et englués les uns aux autres. Elle se toucha doucement le clitoris, encore très sensible, et commença à tournoyer autour. L’odeur de sperme lui monta au nez rapidement, car elle frottait sa main dedans. PLUS FORTJulie obéit, elle se masturba plus vite, obéissait tant que l’inconnu restait de l’autre coté de la porte. S’il entrait, il romperait ce pacte tacite… Mais que ferait-elle ? Elle crierait ? Il avait menacé de lui faire mal. Il avait prouvé qu’il pouvait entrer et sortir de chez elle facilement. Aurait-elle le temps de crier ? Elle se sentit venir doucement.JOUIS EN REGARDANT L’ECRANLe doigt de Julie branlait furieusement son clitoris, tandis qu’une photo de son père apparut à l’écran. Elle se put cacher sa surprise, c’était une photo de lui prise sur le bord de leur piscine il y a quelques années. Elle lacha quelques sanglots.Elle regardait l’écran en se masturbant la chatte frénétiquement. Elle sentait sa mouille couler comme jamais.Elle se sentit jouir comme rarement. Une vague l’envahit, la porta, la souleva, la fit chavirer. Son clitoris devint trop sensible et elle arreta de le toucher. Son souffle était haletant, il lui fallut plusieurs secondes pour retrouver ses esprits.L’écran revint sur la télé. Le film était en train de se finir.On frappa, puis on sonna à la porte. Elle regarda son téléphone qui vibra. Trois appels en absence. Sa soeur !Elle se leva, se dirigea rapidement vers la porte et l’ouvrit.Un homme !Son voisin se tenait face à elle, et ne put cacher sa surprise en voyant la jeune femme lui ouvrir la porte completement nue.- Je… Oh pardon… fit-il. Votre soeur a essayé de vous joindre, et comme elle n’y arrivait pas, elle m’a demandé de venir frapper à votre porte. Tout… tout va bien ? Ca fait plus de dix minutes que je suis là…. Je m’inquiétais…Toujours en état second, Julie ne chercha presque pas à se couvrir le corps avec les bras. Elle savait qu’elle sentait le sperme et la chatte. – Tout… tout va bien…. juste besoin d’être seule… répondit-elle en un murmure. Merci…A SUIVRE

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sarah und max und der ältere nachbar-5-villa-woche

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sarah und max und der ältere nachbar-5-villa-wocheDie Geschichte basiert NICHT auf realem Erleben sondern entspringt meiner Fantasie, gemischt mit realen kleinen Details.*was bisher geschah bitte in Folge 1-4 nachlesen*Als ich im leichten Schlummer die Hand über meine nackte von der Sauna gewärmte Haut streichen spüre murmele ich leise: hhmmmm Max, schön dass Du da bist.. lass es uns genießen, mein Schatz.Und Max hört es genauso wie er es hören soll, aber eben nicht in der Sauna, sondern vor dem Flatscreen in der Wohnhalle des Nachbarn..Und Max sieht wie die Nippel der jungen weißen Frau fester und größer werden.*Max erschrickt.. das wird doch nicht Sarah sein schießt es durch seinen Kopf und er ruft erschrocken aus: „Sarah !! das bin nicht ich..“ . Bevor er aufspringen kann halbiert sich der Bildschirm und auf der rechten Seite erscheint ein Chat-Fenster auf dem oben steht: Karl59K: nimm die Tastatur vom Tisch !Ohne zu denken und zu kombinieren noch im Banne der Sauna-Szene, die auf der linken Bildschirmhälfte weiter zu sehen ist, nimmt er die Tastatur und liest:K: gibt’s was zu berichtenM: scheiße schreibt Max.. Sarah ist in der Sauna und denkt dass ich sie da streichleK: wer streichelt Sarah wo ?M: der schwarze Ken is mit meiner Sarah in der Sauna vom alten NachbarnK: gefällt es Sarah ?M: scheinbar genießt sies ja, aber Sarah denkt doch dass ich bei ihr binK: ggg vielleicht weiß sie es ja und genießt es dass ein junger Schwarzer sie anfasst.M: NEIN !!K: macht es dich an ?Max, der einen Moment keine Antwort findet : ich weiß nichtK: soll er die jungen großen TITTEN Deine kleinen Ehefrau anfassen ?Max schweigt..K: nun sag es schon, Du willst es doch.. sag dass er Sarahs TITTEN anfassen sollM: ohne weiter nachzudenken: ja, fass die Titten von Sarah an.Max erschrickt. Als er das gesagt hat schaut Ken in die Cam hebt den Daumen und beugt sich dann zur weiter schlummernden Sarah.. streicht nochmals über ihren Bauch, was Sarah wieder mit einem HHHmmmm Maxxxx quittiert und dann streicht die schwarze Hand in kleinen Kreisen den Bauch nach oben berührt mit dem Daumen erst die Unterseite der Brust um dann mit der ganzen Hand den unteren Rand der Brust zu streicheln.Nochmals schaut Ken Max in die Augen und dann legt er seine ganze große schwarze Hand auf die junge große Brust. Kurz liegt die Hand ohne Bewegung.. dann fassen Daumen und Zeigefinger zu und nehmen die Warze in Besitz.. ziehen kurz daran und Max hört seine junge Ehefrau leise aufstöhnen. Max weiß wie über-sensibel Sarahs Brüste und Warzen sind und wäre er an Kens Stelle könnte er es genießen dieses Stöhnen zu hören.Aber er spürt eine ungekannte Erregung.Daneben leuchtet im Chatfenster die Lampe aufK: macht Ken seine Sache gut ?M: ja .. leiderSarah geniest nur die Hand die ja Max seine Hand ist für sieDer unbekannte süßliche Duft, den die Maske verströmt, hält sie wie in einem Nebel, der ohne dass sie es ahnt ihre Hemmschwelle reduziert und das Gefühl der Hand ausgeliefert zu sein durch die verbundenen Augen lassen Sarah aufstöhnen. Besonders als die Hand meine schon feste überempfindliche Warze zupft kommt ein Stöhner aus meinem Mund und ohne es zu wollen drückt sich mein Rücken ins leichte Hohlkreuz der Hand, den Fingern entgegen.Die wissenden Hände beginnen nun einen wunderbare Massage meiner Brüste.. so kenne ich Max gar nicht. Nicht nur dass seine Hände mir edirne escort größer erscheinen als sonst. Nein, sie scheinen heute genau zu wissen was zu tun ist.. also oib sie nie etwas anderes gemacht hätten als meine Brüste zu streicheln. Zwischendurch fahren sie meinen Hals entlang .. auch über mein Gesicht und als ein Finger meine Wangen streicht und dann über meine Lippen öffnet sich mein Mund von ganz alleine und der Finger dringt in meine Mundhöhle ein, als ob das ganz normal wäre. Meine Lippen schließen sich automatisch und ich beginne wie ein kleines Mädchen an einem Schnuller an dem Finger zu nuckeln und zu lutschen, während die andere Hand mich in bisher unbekannter weise erregt, indem sie meine Brüste und Warzen verwöhnt.Max sieht wie seine Sarah den schwarzen in ihrem offenen Mund geschobenen jungen Finger lutscht und scheinbar auch mit ihrer Zunge bearbeitet während ihre Erregung scheinbar immer weiter ansteigt..Ken entzieht ihr den Finger und Sarahs Mund bleibt offen.. er fasst kräftiger, härter zu , Sarahs Warzen scheinen noch größer und fester zu werden und sie hebt ihren Oberkörper den Händen, den Fingern entgegen, ihr Stöhnen wird lauter, ihr ganzer Körper beginnt sich zu winden unter den kundigen Fingern und als eine seiner Hände ihr dann 2,3 kräftige Klapse von der Seite auf Ihren Po gibt sieht Max seine junge Ehefrau erstmals kommen.. zu mindestens kennt Max es so aus den wenigen Filmen die er gesehen hat. Selbst hat er seine Sarah noch nie so erlebt.. für ihn scheinen es Minuten zu sein bis Sarah scheinbar erschöpft unter den Händen des jungen schwarzen ruhig wird und mit einem letzten leisen Aufstöhnen auf die Holzbank der Sauna zurück sinkt.Ken wartet noch einige Minuten bis er sicher ist dass Sarah aufgewacht ist, entfernt Halsband und Maske und nimmt beides mit als er leise die Sauna verlässt.K: wie geht es Sarah ?M: sie scheint eingeschlafen zu sein in der SaunaK: na dann geht doch hin und hole sie ab.. und.. nimm das rote Halsband das an der Saunatür hängt und leg es Sarah um bevor sie aufwacht.M: ja.. ohne darüber nachzudenken macht Max was Karl ihm aufträgt. Froh dass Ken endlich seine junge Ehefrau in Ruhe lässt geht Max hinunter in den Wellnessbereich, in die Bio-Sauna und nimmt das rote samtene Halsband das an der Saunatür hängt. Das samtene Halsband mit einem kleinen Klickverschluß und einer Öse scheint einen süßlichen Duft zu verströmen, nicht aufdringlich aber doch für Max feine Nase deutlich spürbar. Ein kleiner Zettel der an der Öse hängt gibt neue Anweisungen an Max:Dort heißt es: Sarah wird gleich aufwachen, leg ihr vorher dieses Band um. Sie wird es mögen, aber im Gegensatz zu Dir den Geruch nicht riechen, dafür umso mehr wahrnehmen. Also wundere Dich nicht wenn Sarah etwas „anders“ ist als sonst !“Max versteht nicht was da steht und was das soll aber macht was ihm aufgetragen wird. Bald sitzt er in seiner Sommershort neben Sarah und sieht Sarah ganz nackt neben sich auf dem großen Saunatuch liegen. Er spürt bei dem Anblick plötzlich seine Erregung die seine Hose deutlich ausbeult und gleich ist die Erinnerung wieder da. In Gedanken sieht er wie die jungen schwarzen Hände sich an den großen festen weißen Brüsten seiner Ehefrau zu schaffen machen, was ja eigentlich nur Max darf. Aber der Gedanke tut seiner Erregung keinen Abbruch eher das Gegenteil.. in diese Gedanken hinein escort edirne reckt und streckt sich Sarah als hätte sie stundenlang geschlafen.. schaut Max lächelnd an.. und flötet mit ihrer schönsten Kleinmädchen-Stimme „Schatz.. danke.. es war wunderschön.. hmmmm.. Du warst heute so anders.. so zärtlich und trotzdem.. endlich .. auch so männlich.. so fordernd.. ich wusste gar nicht dass Du das kannst und wusste auch nicht wie ich das mag.. dabei drängelt sich Sarah im Aufstehen an Max und kuschelt sich an Max,, umarmt ihn in ihrer Nacktheit und versucht ihn zu küssen. Max, der ahnt dass die Cam weiter in Betrieb ist und sich deswegen verunsichert geniert, schiebt Sarah sanft von sich und sagt als Ausrede, dass Sarah sicher nun lange genug in der Sauna war und besser sie nun hinaus gehen sollten. Sarah versucht nochmals Max ganz nahe zu kommen und sieht seine ausgebeulte Hose.. Wow meint sie, war unser kleiner denn schon mal sooo groß ?Und streicht ihm dabei mit ihrer Hand über seine Hose. Max stöhnt leise auf und entzieht sich dann ganz schnell seiner Angebeteten.. lass uns nach oben gehen, wir haben ja noch ganz viel Zeit sagt er schnell. Sarah ist im Gegensatz zu sonst nicht enttäuscht sondern gibt ihm schnell noch nen Kuss auf die Wange.. ja Schatz das machen wir.. geht Du schon mal in die Wohnhalle und ich Dusche mich noch, Creme mich und komme dann gaaaannnzzz schnell zu meinem Max-Schatz..Max geht also nach oben und erschrickt als er die Türe zur Wohnhalle öffnet: In dem einen Ledersessel sítzt der alte Nachbar und Ken bringt ihm gerade ein Getränk, geht dann in die Küche. Max bleibt stehen, weiß nicht wie er reagieren soll.Der Alte winkt Max zu sich.. na kommt.. und klopft auf den anderen Sessel neben sich.. Platz, MAX !Max trottet hinüber und setzt sich. „Brav“ sagt der Nachbar. Er lächelt Max an und sagt dann:Programmänderung:ihr werdet heute Abend nicht alleine sein.Max schaut fragend zu dem Besitzer der ihn unterbricht bevor Max etwas sagen kann:schau mal und er deutet dabei auf den Bildschirm auf dem bisher immer noch auf der einen Seite die Sauna, nun leer und auf der anderen Seite der Chat mit Karl59 zu sehen ist. Mit einem „das brauchen wir ja nun nicht mehr“ klickt der Besitzer erst den Chat weg und dann mit einem nochmaligen „Schau mal, Mäxchen“ klickt er 1x und es erscheint der rücken einer scheinbar nackt duschenden jungen weißen Frau.. nackt bis auf ein rotes Halsband.„Na unserer Schulmädchen-Ehefrau scheint es ja hier in meinem Reich zu gefallen. Max zuckt zusammen.. Schulmädchen.. der alte Hausbesitzer wird doch nicht der selbe sein wie der aus dem Internet.. das kann doch gar nicht sein.. aber in dem Moment legt der Besitzer lächelnd nach: davon sollten wir wohl eine Briefmarke machen .. oder ??Reingelegt .. mehr kann Max in dem Moment nicht denken.. und der Alte klick wieder auf der Fernsteuerung und ein weißes Blatt erscheint mit Anweisungen für Max:dass Max Sarah gegenüber nichts zu sagen habe außer er bekäme den Auftrag dazu, dass Max den Anweisungen des Alten, von Ken und den Gästen die heute Abend da sein werden Folge zu leisten habe, ohne Widerspruch und Nachfragen und daß das ab sofort gelten würde ..es sei denn Max wolle, dass Sarah erfährt welche Bilder Max von Sarah ins Internet schickt und und undBevor Max klare Gedanken bekommt hört er: egal ob Horst oder Karl, für Dich bin ich nun edirne escort bayan nur noch Herr Meister, oder wenn Du das besser findest einfach Meister oder Besitzer !Der bestimmende Blick vom Alten lässt Max keine Wahl und nickend sinkt er im Sessel zusammen.In dem Moment geht die Türe auf.*Sarah hat sich genussvoll geduscht, nur mit dem Band um den Hals. Sie wusste ja aus dem Brief, dass sie das Halsband das ganze Wochenende zu tragen habe, eine der wenigen Bedingungen die im Anweisungsbrief für Sarah gestanden hatten. Wenn sie diese erfülle dürfe sie alle Einrichtungen des Hauses nach Herzenslust nutzen und benutzen.Dass es nun ein anderes Halsband ist als vor der Sauna habe ich nicht bemerkt. Irgend eine Magie scheint von dem Halsband auszugehen.. ich weiß nicht was es ist, denn es riecht scheinbar nicht besonders und auch sonst scheint es ein einfaches samtenes Halsband zu sein, weich, angenehm an die Haut geschmiegt, fast gehörte es schon zu mir.Zu mindestens scheint es mich zu entspannen, denn obwohl in meinem Verstand ein Warnzeichen zu spüren ist gehe ich nackt in die Dusche, was ich bisher nie in einem fremden Haus gemacht habe wenn ich nicht abschließen konnte, denn am Eingang ist ein kleines Sc***d angebracht: nur nackt betreten ! Mein Körper geniest die Freiheit in der großen offenen Dusche die taghell beleuchtet ist. Nach langem Duschen, Trocknen in dem kuschelweichen großen Duschtuch und eincremen mit der bereitstehenden geruchlosen Lotion gehe ich zu meiner eigenen Überraschung nur in den bereit hängenden weichen kurzen Bademantel nackt bis auf das Halsband gehüllt nach oben zum Wohnbereich. Mein Schatz wird Augen machen wenn er mich so sieht, genauso wie er mich vorhin in der Sauna sehen und massieren durfte.. ich malte mir schon sein Gesicht aus wenn ich ihn im fremden Haus mit nicht unter dem Bademantel überraschen werde. Fast selbst über mich erschrocken öffne ich mit einem Ruck die Tür zur Wohnhalle .. ziehe meinen Bademantel vorne weit auseinander um ihn zu zeigen was ihn erwartet, schließe meine Augen um seine Überraschung nur mit den Ohren zu genießen und gehe 3 schritte vor durch die Tür in den Raum, bleibe mit weit offenem Bademantel stehen und lasse ein TATAAAA von mir hören um noch zusagen: das gehört Alles DIR !Stille.. ist mein Max so überrascht ?? Mit weiterhin geschlossenen Augen gehe ich noch 2 Schritte vor..immer noch Stille.. Max ? Bist Du da ? Frag ich zögerlich in die Dunkelheit meiner geschlossenen Augen..Ein Räuspern und dann eine Stimme die mir irgendwie bekannt vorkommt:na, wenn das nicht unsere junge Schulmädchenehefrau von nebenan ist !Ich zucke zusammen, keiner weiteren Reaktion fähig.. SCHULMÄDCHEN dröhnt es in meinen Ohren.Mein Verstand schreit innerlich dass ich weglaufen soll aber mein Körper bleibt stehen, es scheint fast als würden meine Hände den Bademantel noch weiter auseinander ziehen.*Braves Schulmädchen hört Max den Besitzer zu seiner Sarah sagen und Max muss sich eingestehen dass ER es war der dem Nachbarn unwissentlich, weil er dachte der Karl59 wohne sehr weit weg, das Codewort Schulmädchen aus ihren kleinen intimen Rollenspielen verraten hat.Ist denn Sarah ein braves Schulmädchen fragt der Alte und sofort kommt mit der zuckersüßen Kleinmädchenstimme die Max so liebt wenn sie am spielen sind: ja, Sarah ist ein braves Schulmädchen.. und Max sieht Sarah da stehen wenige Schritte vor dem Alten Hausbesitzer: nackt bis auf das samtene Halsband unter dem weit offenen kurzen weißen Bademantel.*Weitere Fortsetzung gerne bei Interesse.. Vorschläge, Ideen zur Weiterführung lese ich gerne..

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Meine Mutter beim Bankdirektor

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Meine Mutter beim Bankdirektor… und viele bunte gefüllte Kondome!Für die Neueinsteiger/Neuleser:Meine Mutter Christina ist eine 47jährige Frau mit schlanker Figur, 1,66 Meter groß, schulterlangen, gelockten schwarz gefärbten Haaren und von Natur aus mit weiblichen Attributen gut ausgestattet, soll heißen, sie hat eine ordentliche Oberweite und einen wohlgeformten Po.Dazu hat sie ein auffallend hübsches Gesicht mit leicht gebräuntem Teint, welches kaum Falten aufweist, so dass sie für viel jünger gehalten wird. Besonders ihre Stimme klingt noch sehr jugendlich, so dass oft Personen, die sie nur vom Telefon her kennen, sehr überrascht sind, wenn sie ihr dann gegenüber stehen.Ihr einziges Makel früher, ein etwas dunklerer Schneidezahn, hatte sie schon vor Jahren durch eine Brücke ersetzt und dabei nach und nach ihr Gebiss soweit verschönert, dass sie beim Lächeln ebenmäßige weiße Zähne zeigt. Ich sehe sie gerne, wenn sie laut und kräftig lacht und ihre strahlend weißen Zähne gut zur Geltung kommen.Mit diesen Attributen hatte sie schon immer einen Schlag bei Männern, was ihr besonders in einer von Männern dominierten Finanzwelt von Vorteil war. Seit der Scheidung von meinem Vater lebe ich mit ihr allein in unserem schönen Einfamilienhaus, welches allerdings noch nicht ganz abbezahlt ist.Durch einen befreundeten Immobilienmakler, den 60jährigen Albert, ist sie neben ihrer Tätigkeit in einer Beratungsstelle einer Bausparkasse auch mit dem Immobiliengeschäft in Berührung gekommen.Allerdings reichten die Nebeneinnahmen der eher seltenen erfolgreichen Geschäftsabschlüsse nicht aus, um von den Schulden herunterzukommen.Daher hatte sie das Angebot angenommen, in einer namhaften Bank in Dortmund zu arbeiten.Sie hatte auch keine andere Wahl, denn die Beratungsstelle in unserer Stadt wurde geschlossen, und sie war arbeitslos.Das zukünftige Einkommen in der Bank war ungewöhnlich hoch und an Bedingungen geknüpft, die ich erst so nach und nach erfahren habe. Aber meine Mutter wollte es so, und sie investierte in ihr Aussehen, das neben ihren Kenntnissen in der Finanzwelt von großer Wichtigkeit war.So war sie in den letzten Monaten öfter in Schönheitsinstituten und hat sich die Brüste, Lippen und die eine oder andere Kleinigkeit an ihrem Körper machen lassen. Das alles hat viel Geld gekostet und ihr Schmerzen eingebracht, aber sie beteuerte mir immer, dass dies wichtig und richtig sei, um an die angebotene Stelle zu kommen.Sie hatte sich diesen Schritt reiflich überlegt und war zu der Überzeugung gekommen, dass ihr diese Verschönerungen Vorteile verschaffen würden, denn Männer konnten doch meist besser gucken als denken.Auch ihre Lippen hatte sie sich dezent aufspritzen lassen, aber wirklich so dezent, dass man es kaum sehen konnte. Sie hatte vorher eher schmale Lippen gehabt, jetzt hatte ihr Lippenstift deutlich mehr Platz.Außerdem war der Kontrast zu ihren strahlend weißen Zähnen noch stärker als zuvor, besonders wenn sie ihre Lippen dunkelrot geschminkt hatte. Wenn dann noch ihre rosafarbene Zunge über ihre Lippen leckte, wow, sah das verführerisch aus!Durch Albert war sie es gewohnt, immer sehr damenhaft aufzutreten. Er hatte sie immer mit schönen extravaganten High Heels und Stiefeln versorgt und dafür gesorgt, dass sie fast nur noch enge Röcke und Blusen trug.Meine Mutter beim Bankdirektor… und viele bunte gefüllte Kondome!Nun war der entscheidende Tag gekommen, an dem der Bankdirektor der Dortmunder Bankfiliale über ihre Einstellung entscheiden sollte. Sie war sehr aufgeregt und hatte in der Nacht schlecht geschlafen.Und immer wieder die Frage: „Was soll ich bloß heute anziehen, Alexander?“Mein Sachverstand war also wieder gefragt, und der deckte sich mit den Vorlieben von Albert.„Also je höher die Absätze desto kürzer der Rock“, sagte ich etwas spaßhaft zu ihr.„Ha, ha, Alexander, das geht aber nicht in der Bank. Also knielang muss es schon sein.“„Dann nimm doch einen deiner knielangen engen Bleistiftröcke aus mattschwarzem Leder mit Reißverschluss oben am Bund. Dazu eine weiße Satinbluse, Kostümjacke und hohe schwarze Pumps.Fertig ist Dein Business-Outfit.“Das morgendliche Frisieren, Schminken und Anziehen dauerte diesmal dem Anlass entsprechend etwas länger, doch es hatte sich gelohnt.Sie huschte kurz vom Bad ins Schlafzimmer, um sich Rock und Bluse zu holen, da konnte ich sehen, dass sie rauchgraue, glänzende Nahtstrümpfe trug, die sie mit Strapsen an einem Hüftgürtel befestigt hatte. Ihre mächtigen Brüste, die nach der Operation um die 95 D-Körbchen benötigten, hatte sie durch einen Halbschalen-BH ganz schön hoch gedrückt, so dass sich die Bluse sehr spannen würde.Durch die Silikonkissen, die in der Form den Fertig-Germknödeln aus der Uni-Kantine nicht unähnlich waren, hatte sie ziemlich runde Brüste, die trotz ihrer Größe nicht hingen. Mit diesen großen Brüsten und in ihrer sexy Unterwäsche konnte sie einem schon mal einen Ständer verursachen, besonders morgens ist man als Mann solchen Reizen machtlos ausgeliefert. Dazu wieder der unwiderstehliche Duft eines teuren Damenparfums. Perfekt!Meine Mutter bemerkte dies, lächelte mich dabei an und interpretierte dies als Wertschätzung, auf dem richtigen Weg zu sein.Nun noch den winzigen Stringtanga angezogen, in den engen Lederrock hineingeschlüpft und die Knöpfe der Bluse geschlossen, schon war sie fast fertig. Das oberere Ende des Reißverschlusses am Bund des Lederrockes musste ich ihr dann noch nach oben ziehen, so eng war der Rock! Sie bekam ihre Oberschenkel kaum eine Hand breit auseinander und beim Gehen mussten die Nylonstrümpfe ständig aneinander reiben.Als Schuhwerk wählte sie elegante schwarze Lackpumps mit ungefähr 12 cm hohen dünnen Absätzen, so dass sie jetzt genauso groß war wie ich. Eine schwarze taillierte Lederkostümjacke noch angezogen, jetzt konnte es in die Bank gehen.Ich ließ sie mit dem Auto vor der Eingangstür heraus und wünschte ihr viel Erfolg. „Willst Du noch mit reingehen, Alexander? Es könnte allerdings auch länger dauern.“„Nein, Mami, ich würde mich da nur langweilen. Vielleicht komme ich später noch mal vorbei, mal sehen. Und Tschüss, viel Erfolg beim Direktor!“Ich sah ihr aus dem Auto noch ein Weile hinterher, um ihre erregende Rückansicht zu genießen.Schon stöckelte sie auf Grund der sehr hohen Absätze mit steil aufgerichtetem Fußspann und durchgestreckten Wadenmuskeln in Richtung Eingangstür davon, und ihre Leder bespannten Pobacken wackelten bei jedem Schritt provozierend hin und her. Dazu streckte die schwarze Naht ihrer grauen seidig schimmernden Nylonstrümpfe ihre schlanken Beine in die Länge. Eine verführerischer Traum balıkesir escort auf hohen Hacken und in schwarzem Leder, dachte ich mir und fuhr weiter.Der dünne schwarze Lederrock saß so knalleng um ihre Oberschenkel, dass sich die elastischen Doppelränder der Nylonstrümpfe und die Strumpfhalter sich unter dem Leder abzeichneten.Als sie die Schalterhalle betrat, spürte sie förmlich die bewundernden wie auch neidischen Blicke der Kunden um sie herum. Mit ihrer stolzen aufrechten Körperhaltung ging sie selbstsicher auf ihren hohen schlanken Absätzen durch die Halle, dabei erzeugten ihre in den Marmorboden schlagenden Pfennigabsätze jene peitschenden und knallenden Geräusche, die Männerschwänze aufrichten konnten.Meine Mutter brauchte nicht lange zu warten, der Herr Direktor erwartete sie schon und begrüßte sie überaus freundlich: „Willkommen, Frau Bertram, ich freue mich sehr, dass Sie unser Angebot annehmen wollen. Ein paar Formalitäten noch, ein kleiner Eignungstest“, dabei grinste er süffisant, „und Sie haben die hochdotierte Stelle!Meine Mitarbeiter und sogar unsere Auszubildenden habe ich gebeten, ihre Meinung zu Ihnen kund zu tun. Ich habe Ihnen dazu ein paar wirklich reizvolle Fotos von Ihnen mit den Kollegen Dr. Müller und Herrn Grützner gegeben, und alle haben sich dazu ausgedrückt, um es mal etwas verschleiert zu sagen. Frau Bertram, Sie werden gleich sehen, was ich meine“. Dabei grinste er wieder so dreckig wie vorhin.Unbedingt auf Anhieb sympathisch war ihr der Herr Direktor nicht. Besonders seine Anspielungen konnte sie im Moment noch nicht deuten. Er war ein stattlicher Mann um die 60 Jahre, etwas dickbäuchig, Glatze mit grauem Haarkranz, aber sein Anzug war bestimmt teuer und sein herber Herrenduft war ihr angenehm.Er übte eine gewisse Macht durch seine Ausstrahlung auf sie aus, obwohl meine Mutter auch eine starke Frau war, die sich so schnell nicht kleinkriegen ließ.Aber diesem Mann schien sie nichts entgegen setzen zu können, als ob irgendwelche sexuellen Pheromone in seinem Herrenduft beigemischt waren.„Bitte setzen Sie sich, Frau Bertram.“Er holte ihre Bewerbungsmappe hervor und studierte ihren Lebenslauf und las einige Details daraus vor.Sie hörte jedoch nicht wirklich hin, ihre Gedanken waren bei den Gebilden, die seitlich hinter dem Schreibtisch des Direktors an einer Pinnwand hingen. Was ist denn das? Diese Frage interessierte sie im Moment mehr als die Worte des Direktors.An der Wand hinter dem Schreibtisch des Bankdirektors hingen verschieden farbige längliche durchsichtige Hüllen, bei denen im unteren Bereich weißliche Flüssigkeiten mit verschieden Füllständen zu erkennen waren. Meine Mutter blickte während seines Monologes immer wieder mal zu der Pinnwand mit den dubiosen Hüllen, ließ sich aber nichts anmerken.Natürlich dämmerte ihr allmählich, dass es sich hierbei um teilweise gut gefüllte Latexkondome handelte. Aber wofür und warum diese dort hingen, war ihr im Moment noch nicht klar gewesen.Als sie in einer Gesprächspause wieder zu der Wand hinsah, konnte sie sogar erkennen, dass jedes Kondom mit einem Pinnwandsticker am oberen Ende festgemacht war, unter denen kleine Zettel mit festgedrückt waren. In Schreibschrift waren Namen auszumachen gewesen. Mit sehr großer Wahrscheinlichkeit handelte es sich hier um die Namen der edlen Samenspender.Jetzt wurde ihr klar, was er vorhin mit „ausgedrückt“ gemeint hatte. Da hatten doch einfach die Männer unter seiner Führung zu Fotos von ihr gewichst und ihren Samen in die Kondome gespritzt!Es konnte sich nur um Fotos handeln, die aus den letzten Bankterminen stammten, die sie in eindeutiger Position zeigten. Klar, dass da den Männern einer abging.„Frau Bertram?“, sprach er sie an, „alles in Ordnung bei Ihnen?“ Er musste gemerkt haben, dass sie die Kondome hinter ihm gesehen hatte und nun etwas verstört wirkte.„Ja, ja, alles klar! Ich muss erst mal verstehen, was Sie vorhin mit der Wertschätzung ihrer Mitarbeiter zu meiner Person meinten. Jetzt glaube ich, es zu wissen.“„Alle haben abgespri… äh, zugestimmt. Das ist doch eine gute Nachricht für Sie!Ein kleiner Test gleich noch, ob sie mir auch folgen werden, wenn ich mal viel von Ihnen verlange, und Sie haben die Stelle. Das liegt jetzt ganz bei meiner Entscheidung.“Der Herr Direktor zeigte mit dem Zeigefinger seiner rechten Hand auf die Pinnwand und sagte: „Frau Bertram, Sie werden jetzt jedes einzelne Kondom von der Pinnwand nehmen und den Inhalt auf sich bzw. in sich aufnehmen. Haben Sie verstanden?“„Ja, ja, Herr Direktor!“, kam es spontan von meiner Mutter, doch ihr Blick war etwas ängstlich dabei.Jetzt musste sie aus dem bequemen Bürostuhl vor dem Schreibtisch des Direktors aufstehen und ein paar kurze Schritte auf ihren Stilettos zur Pinnwand machen. Dabei spannte sich ihr enger schwarzer Lederrock, der ihre Oberschenkel fest zusammenpresste und so ihre Nahtnylons hörbar dabei knisterten.„Nun greifen sie schon zu, Frau Bertram, die gehören alle Ihnen.“ Dabei lächelte er süffisant und drehte sich auf seinem schwarzen ledernen Chefsessel zu ihr herüber, um ihr Tun besser beobachten zu können.„Wirklich alle?“, fragte meine Mutter mit verlegenem Gesichtsausdruck und streckte ihre Hand aus, um vom ersten Kondom den Pinnwandsticker zu entfernen.Sie musste das erste gut gefüllte Kondom in ihre rechte Hand nehmen und betrachtete mit großen Augen und leicht geöffnetem Mund den glibberigen Inhalt. Ihr ekelte vor dem schleimigen Zeug!Wer weiß, wie lange die „Proben“ schon in den schlaffen Hüllen hingen. Bestimmt stank der Inhalt schon unangenehm. Zu diesem Zeitpunkt wusste sie noch nicht, das der Geruch das geringste Problem darstellte.Sie legte das Kondom auf dem Schreibtisch des Direktors so ab, dass der Inhalt nicht hinauslaufen konnte.Wieder stöckelte sie zu der Pinnwand und nahm das zweite Kondom in ihre linke Hand.Dabei fiel der angeheftete kleine Zettel zu Boden. Rasch nahm sie das dritte Kondom von der Wand, wieder fiel der kleine Namenszettel zu Boden. Der Direktor sah dies und sagte etwas verärgert: „Bücken Sie sich gefälligst, um die Namenszettel aufzuheben. Und wehe, Sie vertauschen diese. Zu jedem gefüllten Kondom gehört dass passende Namenssc***d. Ich möchte, dass sie alle Kondome mit den dazugehörigen Zetteln sorgfältig auf meinem Schreibtisch ablegen. Haben Sie mich verstanden!“„Jawohl, Herr Direktor“, dabei machte sie sogar einen kleinen Knicks und ging anschließend in die Knie, was ihr wegen der Enge des knielangen Lederrocks sichtlich schwer fiel. Das dünne Leder spannte sich dabei fast bis zum Zerreißen um ihren schönen Po und malte ihre beiden Pobacken escort balıkesir und die Strumpfhalter deutlich sichtbar ab. Dem Direktor gefiel dieser Anblick, und langsam konnte man eine Erhebung unter dem Stoff seiner Anzughose in seinem Schritt erkennen.Mit ihrer rechten Hand nahm sie mit spitzen Fingern die beiden Zettel in die Hand, dabei achtete sie darauf, dass ihr die beiden Kondome nicht aus den Fingern ihrer linken Hand glitten. Aufgrund der glitschigen Oberfläche der Kondome hätte dies schnell passieren können, und dann wäre der Herr Direktor bestimmt böse geworden.Sie erhob sich wieder und stöckelte auf ihn zu und legte die beiden Kondome und die Zettel auf die schwarze Holzoberfläche seines Schreibtisches zu dem schon liegenden Kondom. „Und wissen Sie noch, welches Kondom und welcher Zettel zusammen gehören?“ Natürlich wusste sie es nicht mehr, zeigte aber selbstbewusst auf den rechten Zettel und dann auf das rechte Kondom, von ihr aus gesehen.„Kann stimmen und auch nicht!“, herrschte er sie an. „Die nächsten Kondome werden sie einzeln von der Pinnwand abnehmen, zusammen mit den Zetteln und fein säuberlich auf meinen Schreibtisch ablegen!“„Jawohl, Herr Direktor“, wieder machte sie einen kleinen Knicks dabei. Sie stöckelte wieder zur Pinnwand und nahm jetzt ein rosafarbenes Kondom, welches zu einem Drittel gefüllt war, in die Finger ihrer linken Hand und griff den Zettel, bevor er auf den Boden fallen konnte. So ersparte sie sich zumindest das mühevolle in die Knie gehen. Sie schaute kurz auf den Zettel, „Azubi 2“ stand darauf, wahrscheinlich ein junger Spritzer dachte sie ob der großen Füllmenge des Kondoms.Sie legte es vorsichtig auf der Tischplatte mitsamt dem Namenszettel ab. So wiederholte sich dieses Prozedere bis schließlich alle Kondome der Pinnwand sorgfältig aufgereiht nebeneinander auf der schwarzen Tischplatte des Direktors lagen. Und das waren einige!An die zehn Latexkondome lagen nun auf dem Tisch, durch das Schwarz der Platte stachen sie kontrastreich ab, was besonders für deren Inhalte galt, die weiß bis bernsteinfarben durch die Latexhüllen schimmerten. An der Öffnung der Kondome lagen die jeweiligen Namenszettel, die nur meine Mutter lesen konnte, denn für den Herrn Direktor standen die Buchstaben auf dem Kopf.„Und was machen wir bzw. besser gesagt Sie jetzt, Frau Bertram?“ „Ich weiß nicht?“, stammelte meine Mutter, wohl wissend, dass sie log. Sie wusste genau, was er wollte, doch sie spielte die Unwissende, in der Hoffnung, er würde es sich noch mal anders überlegen.„Dann wollen wir mal diesen denkwürdigen Augenblick für die Kollegen festhalten“, sagte er und holte sein Smartphone hervor. Natürlich eines der neuesten Modelle, bestimmt schon mit 4K-Auflösung, damit alles schön scharf herüberkommen würde.„Sie werden jetzt jedes einzelne Kondom vor ihr Gesicht halten, sich über ihre Lippen lecken und mit ihrer Zungenspitze am unteren gefüllten Ende lecken und mit einem Lächeln den Namen des edlen Spenders laut und deutlich sagen. Danach werden Sie es mit den Fingern ihrer anderen Hand vorsichtig umdrehen und in Stirnhöhe über ihrem Gesicht halten und langsam umstülpen, damit sich die weiße Soße über ihr hübsches Gesicht ergießt! Haben Sie mich verstanden!“„Jawohl, Herr Direktor!“, mehr brachte sie nicht heraus. Ihr ekelte schon vor dem, was ihr bevorstand, doch sie hatte keine Wahl. Wollte sie die hochbezahlte Stelle bekommen, musste sie jetzt gute Mine zum bösen Spiel machen.Sie nahm das erste Kondom zwischen Zeigefinger und Daumen ihrer rechten Hand und hielt es so in Augenhöhe vor sich, dass sie mit der Zungenspitze gut am gefüllten Ende von außen an der Latexhülle züngeln konnte. In die linke Hand nahm sie mit ihren Fingern den dazugehörigen Zettel und las laut den Namen vor: „Herr Dr. Besler“. Sie fixierte dann mit beiden Augen den gelblichen Inhalt des Kondoms und setzte ein gezwungenes Lächeln auf. Dabei schaute sie auch in die Linse des Smartphones, dass ihr der Direktor direkt vor ihr Gesicht hielt.Dabei blitzten ihre weißen Zähne zwischen ihren dunkelrot geschminkten Lippen hervor. Wie herrlich musste es gleich aussehen, wenn cremefarbenes Sperma auf ihre dunkelroten Lippen treffen würde und zwischen diesen Fäden ziehen müsste, wenn sie diese einen Spalt breit öffnen wird.„Jetzt umstülpen und ausleeren“, hörte sie ihn sagen. Voller Ekel ließ sie den gelblich weißen Samenschleim auf ihre Stirn tropfen. Es waren schon ein paar Milliliter, die herausliefen. Den letzten Rest musste sie mit den Fingern ihrer linken Hand aus der Hülle streifen, wobei sie das Kondom zwischen Daumen und Zeigefinger ihrer rechten Hand hielt. Der Samenschleim lief ihr an den Nasenflügeln herab bis in ihre Mundwinkel.Als sie ihren Mund etwas öffnete, bildeten sich Schleimfäden, die der Direktor schön in Großaufnahme heranholte. Sie legte die nun leere schlaffe Hülle auf der Sitzlehne ihres Bürostuhles ab.Beim nächsten Kondom wiederholte sich die Szene. Laut vernehmlich las sie den Spendernamen, ein Herr Dr. Wiedig, und ließ den Inhalt wieder auf ihre schon benetzte Stirn laufen. Zum Glück für sie war es diesmal nicht so viel Spermaschleim, es musste schon ein älterer Herr gewesen sein, dachte sie.„Beim nächsten Kondom werden sie den Inhalt auf ihre Zunge tropfen lassen und den Inhalt schlucken!“Bloß das nicht! Diese Erniedrigung wollte sie eigentlich vermieden haben, aber sie hatte keine andere Wahl, wollte sie den „Eignungstest“ bestehen.„Azubi 1“, las sie auf dem Zettel und hielt das recht volle Kondom vor ihre Augen und berührte mit ihrer Zungenspitze die gelbliche Hülle des länglichen Kondoms. Ein junger Spritzer hatte sich also hier hinein entleert. Ob der Spender wohl wusste, was mit seinem Erguss geschehen sollte, dachte sie sich.Der Herr Direktor hielt ständig sein Smartphone vor ihr Gesicht und mahnte meine Mutter, jetzt das Kondom umzudrehen und den schleimigen Inhalt auf ihre weit ausgestreckte rosafarbene Zunge laufen zu lassen.„Wehe, es tropft etwas daneben!“, herrschte der Direktor meine Mutter an.Sie streckte dem Direktor ihre noch leere Zunge entgegen und drehte das Kondom schnell herum, um den kalten weißen Samenschleim langsam auf ihre Zunge laufen zu lassen. Sie hielt das obere Ende mit Daumen und Zeigefinger ihrer rechten Hand fest und streifte mit Daumen und Zeigefinger ihrer linken Hand die letzten Samenreste aus der schlaffen Latexhülle.Der Direktor wies sie jetzt an, ihren Kopf etwas nach hinten zu neigen, so dass die weiße Soße von alleine von ihrer Zunge Richtung Rachen lief. Er stand sogar auf, um ganz nah an ihren weit geöffneten Mund heranzugehen balıkesir escort bayan und zu verfolgen, wie der Samenschleim in ihren Rachen lief und langsam weiter in ihre Speiseröhre rann.Jetzt legte er das Smartphone zur Seite und reichte ihr zwei Kondome auf einmal, die Namenssc***der waren jetzt nicht mehr wichtig, er wollte nur, dass sie möglichst viel Sperma auf einmal aufnehmen sollte.„Den Mund schön weit aufhalten und die Zunge weit herausgestreckt lassen, Frau Bertram, Sie wollen doch die gut bezahlte Stelle haben, oder?“Meine Mutter konnte ja nicht antworten, nur ein ganz leichtes Kopfnicken verdeutlichte ihm, sein perverses Vorhaben fortzusetzen. Sie musste jetzt zwei ordentlich gefüllte Hüllen auf ihrer Zunge abstreifen.Mit weit aufgerissen Augen fixierte sie das offene Ende der Kondome und sah einen nicht enden wollenden Strom von weißem Männersamen auf ihre Zunge fließen.Ihr ekelte vor dem Zeug, musste jetzt aber heftige Schluckbewegungen machen, um nicht am dem Schleim zu ersticken. So viel hatte sich inzwischen in ihrer Mundhöhle angesammelt!Der Herr Direktor lächelte zufrieden und reichte ihr immer mehr Kondome, die sie umzudrehen hatte. Inzwischen hatte er sein Smartphone wieder in der Hand und erfreute sich am Ekel meiner Mutter, fremdes Sperma schlucken zu müssen.Sie kam kaum nach, und es kam, wie es kommen musste, sie schaffte es einfach nicht mehr, alles zu schlucken. Immer mehr weiß-gelbliches Sperma lief aus ihren Mundwinkeln heraus und tropfte auf ihren schwarzen Lederrock und in ihr üppiges Dekolleté ihrer geöffneten Satinbluse.Dort sammelten sich immer mehr Spermatropfen und bildeten zusammen einen glänzenden Film in der großen Ritze zwischen ihren mächtigen Hügeln. Auf dem schwarzen Lederrock fielen die vielen weißen Tropfen besonders auf, der Rock war inzwischen schon ziemlich viel mit weißen gallertartigen Flecken eingesaut.Den Herrn Direktor hatte diese Szene inzwischen so geil gemacht, das er sein Smartphone auf einem Ministativ befestigt hatte, um freie Hand bzw. Hände für seine zu öffnende Hose und seinen Schwanz zu haben. Rasch riss er seinen Reißverschluss herunter, und sein mächtiges Glied sprang sofort heraus.Er verließ seinen ledernen schwarzen Chefsessel und stieg direkt vor meiner Mutter auf einen kleinen Hocker, den er schnell unter seinem Schreibtisch hervorzog. Er hatte an alles gedacht!Er stieg auf den Hocker, und so war sein Schwanz in Stirnhöhe meiner vor ihm sitzenden Mutter. Sie ahnte schon, was er vorhatte, doch sie war noch zu sehr mit dem Leeren der letzten Kondome beschäftigt, dass sie keine Anstalten machte, sich wegzudrehen.Er langte sich grinsend an seinen Schwanz und wichste sich mit schnellen Bewegungen seinem Höhepunkt entgegen. Ein kurzer Blick zu seinem Smartphone, ja der Winkel stimmte, sein Glied und das Gesicht meiner Mutter waren auf dem Display zu erkennen gewesen.Er wollte schließlich vor seinen Kollegen prahlen, und solche Aufzeichnungen eigneten sich hervorragend, weitere Forderungen zu stellen, sonst landeten heute solche Szenen schnell mal im Internet.Er wichste heftig und sein Glied war mittlerweile steinhart geworden, und seine Adern traten deutlich sichtbar seitlich hervor. Ein Keuchen und Grunzen erfüllte den Raum und ein paar helle klare Tropfen vom Vor-Erguss bildeten sich an der Nillenöffnung seiner dunkel rosafarbenen Eichel. Diese ersten Tropfen spritzten schon in Richtung Stirn meiner Mutter, doch dann kam erst sein richtiger Höhepunkt.Er hielt seine Eichel direkt vor die Stirn meiner Mutter und spritzte kräftig ab. Die ersten dicken weißen Flocken klatschten auf ihre Stirn und einzelne Samenstränge verfingen sich in ihren schwarzen langen Haaren.Die nächsten Spermaspritzer trafen direkt ihre Augen, die sie reflexartig schloss.Dann dirigierte er seinen Herrenschwanz in die Mundhöhle meiner Mutter. Er spritzte ihr fast direkt in den Rachen! Er hatte seinen Erguss scheinbar lange auf diesen Moment hin aufgespart.Noch immer rann Sperma aus seiner Eichel und füllte weiter den geöffneten Mund meiner Mutter, die mit dem Schlucken kaum nachkam!Seine Erektion war immer noch steinhart, und er verteilte weitere Samenfäden auf ihren Wangen.Inzwischen war ihr Gesicht total zu gekleistert von seinem Spermaschleim, und es tropfte nur so von ihren Wangenknochen herab. Sie öffnete auch wieder ihre Augen, wobei ihre langen Wimpern Fäden beim Öffnen zogen, so zähflüssig war sein männliches Sekret!Ihr Make-up war total ruiniert und alles in ihrem Gesicht glänzte nur noch vom Sperma ihres zukünftigen Chefs.„Jetzt sauberlecken!“ Widerwillig nahm sie seinen erigierten Phallus in den Mund. Dabei drückte sich das restliche Sperma der geleerten Kondome aus ihren Mundwinkeln heraus und lief zu ihrem Kinn und zu ihrem Hals, um dort abzutropfen bzw. herunterzulaufen.Er machte dabei sogar Fickbewegungen in ihrem Mund. „Schauen Sie mich dabei an, Frau Bertram! Ich will sehen, wie Sie es genießen, mir noch einen zu blasen!Vielleicht spritze ich gleich noch mal ab, ha, ha, ha!“Er lachte laut und genoss seine Überlegenheit in diesem Moment.Meine Mutter schaute ihn mit großen Augen an, die Verachtung und Ekel erahnen ließen. Aber ihr war die Stelle so wichtig, dass sie diese Erniedrigung über sich ergehen ließ.Beim Herausziehen seines Gliedes riss er noch etwas Sperma und Schleim vermischt mit ihrem Speichel mit nach draußen, was alles auf ihren Brüsten und ihrem Lederrock landete.Er verstaute seinen Schwanz wieder in seiner Anzughose und setzte sich wieder auf seinen Chefsessel.Meine besudelte Mutter ließ er so sitzen. Er machte keine Anstalten ihr ein Kleenex oder Taschentuch zu geben. Sollte sie so nach draußen gehen? Wartete er gar solange, bis das Sperma in ihrem Gesicht angetrocknet war und jeder sehen konnte, was er mit ihr gemacht hatte?Das einzige, was er noch tat, war, dass er ein paar der leeren schlaffen Latexkondome auf ihrem Gesicht ablegte.Diese fielen nicht herunter, sondern klebten durch das Sperma auf ihrer Stirn und über ihrer Nase fest.„Bitte noch mal lächeln, Frau Bertram, jetzt mache ich noch ein schönes Abschlussfoto von ihrem Gesicht oder besser gesagt ihrer Gesichtsmaske, ha, ha, ha.“Sie setzte ein gezwungenes Lächeln auf und ließ das helle Blitzen über sich ergehen. „Kann ich jetzt gehen, Herr Direktor?“„Nein, Frau Bertram, ich habe noch einige der Samenspender für gleich in mein Büro gebeten, damit sie Sie auch mal persönlich kennen lernen und besamen können.“ Hatte sie das richtig gehört? „Besamen können?“ Sollte es nicht schon genug Sperma gewesen sein?Langsam begann das Sperma in ihrem Gesicht und zwischen ihren Brüsten unter der Wärme ihrer Haut anzutrocknen, da klopfte es an der Tür.„Herein bitte!“ sagte der Direktor laut. Wer sollte das sein? Und wer durfte sie in dieser voll gesudelten Aufmachung sehen?Fortsetzung könnte folgen und drängt sich irgendwie auf, oder?

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Confidences de ma dentiste

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Babes

Confidences de ma dentisteCe que je vais vous raconter est le fruit de mon imagination. Je ne suis nullement impliquée dans ce texte, et si j’apparais, c’est un double, un clone, issu de mon imagination…Je connais ma dentiste depuis pas mal d’années. Elle venait de s’installer, jeune et fraîche émoulue, son diplôme en poche avec un vieux praticien qui n’espérait qu’à prendre sa retraite.…Chapitre I – Première partieD’un cabinet vieillot et sombre, elle en a fait un lieu convivial, peint avec des couleurs pastel, une salle d’attente plaisante avec des revues récentes (enfin)… Un matériel de dernier cri, attirait les enfants et leurs parents, et faisait l’unanimité auprès de ses patients pour sa douceur et sa précision…Je me débrouillais chaque fois, de tomber sur elle, jusqu’au départ de l’ancien dentiste.J’appris sa vie, son mariage récent, sa grossesse juste terminée, avec un beau garçon de 4,5 kg, dont les photos s’affichaient sur son ordinateur… Je lui confiais quelques-uns de mes déboires, parfois une bonne nouvelle, elle avait toujours le sourire en me voyant entrer…C’était presque toujours réciproque, on ne choisit pas ses moments névralgiques…Mais en repartant, par contre, c’était toujours le cas !…Je la rencontrais au hasard d’un marché, à quelques kilomètres de notre village…Elle m’avoua avoir déménagé, maison plus grande, son garçon s’épanouissait, un vaste pré engazonné accueillait une grande piscine, elle adorait ce havre de tranquillité après une dure journée.Son mari travaillait non loin de là, ce qui les arrangeait, en vue de la rentrée des classes…Il avait un poste de directeur d’école !Nous buvions un verre en terrasse pour papoter quelques minutes, nos paniers sur les chaises, je la sentais heureuse, installée professionnellement. Elle était une maman comblée et sans doute en tant que femme aussi, amoureuse de son mari, elle en parlait avec douceur… Il adorait s’occuper de petit Marc…Les années passèrent, je la croisais malheureusement quelques fois, l’occasion de bavarder en plusieurs séances, et oublier ma douleur qu’elle savait enlever avec adresse…J’eus droit à un implant, une dent cassée lors d’une chute, défigurait mon sourire…En ce jeudi matin, je nettoyais ma piscine, enlevais les feuilles, balayais le fond, vidais les skimmers, enfin la routine… j’avais presque terminé lorsqu’elle sonna à ma porte…Je fus surprise, la pria d’entrer. Nous nous installâmes au bord de l’eau, sur un nouveau canapé d’extérieur, avec des coussins de toutes les couleurs…-C’est gentil de venir me voir…Son sourire ne dura que quelques secondes, des larmes ornèrent ses beaux yeux noirs, coulèrent sur ses joues, entraînant son maquillage…-Mais…-Je sais, on ne se connaît pas bien, nous n’avons bavardé que quelques heures en près de dix ans, l’âge de mon fils, je venais de le pondre et mon bonheur irradiait ma vie. Je vous ai connue, vous Marika, puis mes autres patients, ce fut un tournant pour moi de m’installer dans ce petit village, puis de prendre une plus grande maison… Petit Marc est heureux, il a ses copains, sa nounou…-Et ?-Et c’est là que ça devient le drame… Si je me confie à toi, c’est que j’ai décelé ta douceur, ta tendresse, tu es mère, tu as l’expérience, tu as eu des instants de doute, sur toi, ton mari… Tu as affronté tes angoisses, ta rage, et maintenant tu es heureuse, détendue, tu aimes la vie, je sens en toi une grande force morale et l’envie de vivre qui dirige tes loisirs et ton plaisir…-Oui… Tu as une bonne mémoire, je ne t’en ai pas dit tant, tu as extrapolé…- Exact, pour moi, tu es une personne sensée, honnête, digne de ma confiance… Voilà, dans notre douzième année, Marc me trompe avec la nounou Julia, 35 ans, mariée aussi, oh sans doute pas très heureuse, puisqu’elle pique les maris des autres… Hier soir, j’étais fatiguée d’une longue journée, je suis rentrée sans bruits, sans doute une erreur… J’ai entendu leurs rires, petit Marc était endormi dans sa chambre, elle était allongée au salon sur lui…La voir ainsi, nue, enlacée tendrement, ils venaient de faire l’amour, cela se voyait, elle était aux anges, il bavait son sourire, caressant ses seins…J’essayais de ne pas respirer pour mieux entendre ce qu’ils disaient… On m’aurait poignardée à cet instant, cela aurait eu le même effet…Elle souhaitait qu’il divorce, elle l’aimait… Je m’accrochais à la porte, m’appuyais, n’en croyant pas mes oreilles, ni ce que je voyais, elle monta sur lui, l’embrassa voluptueusement, ses seins magnifiques massés, caressés, par mon mari… Elle se pencha en avant et guida le sexe en elle…Elle lui commenta son plaisir, les mots résonnaient contre les murs, dans ma tête…Mon ventre me faisait mal, je le désirais aussi… J’étais rentrée pour ça, j’avais envie de faire l’amour, après un bon bain…Elle se donna du plaisir longuement, puis elle jouit doucement, empalée par le sexe la pourfendait, je voyais tout, j’étais en face, il était énorme…Elle se calma en gémissant son plaisir… Je vis la semence couler entre ses cuisses, sur mon beau canapé en cuir rouge…Je ressortis dans le jardin, pour aller pleurer toutes les larmes de mon corps…Je pris le téléphone, appela Marc…-Allo, chéri, je suis coincée. Une urgence assez rare, pour l’hôpital de Montpellier, je suis dans un taxi, ils m’ont appelé en urgence n’ayant pas de praticien de garde ce soir… Double ou triple fracture de la mâchoire inférieure sur accident de la circulation. Il me faut opérer dès que possible, je ne sais si je pourrai rentrer. Je te tiens au courant.Elle reprit son souffle, elle éclata en sanglots…-L’effort que je venais de faire, je ne m’en pensais pas capable… Je pris ma voiture, une Toyota hybride, démarrais en électrique, sans aucun bruit, je quittais le maison…-Depuis hier, tu as fait quoi ?-J’ai dormi sur la plage, dans un coin de parking désertique, je n’ai pas dormi, je n’ai pas d’argent, mon portable n’a plus de batterie… Mais me suis reposée, et me voici…Je la berçais, lui fis un grand café, des croissants décongelés au micro-onde, elle mangea et s’endormit dans mes bras…Je l’allongeais, elle dormit jusqu’à tard dans l’après-midi…Je venais de temps en temps la surveiller, elle avait l’air serein, son beau visage encadré de boucles brunes, un chandail en mohair, une jupe ample, retroussée, me dévoilait des cuisses fines, j’imaginais un ventre plat, une allure sportive, mais une personne bien mise, une certaine autorité que j’avais eu l’occasion d’entendre dans ses conversations…Elle se réveilla, me regarda… Son portable avait repris sa charge, elle appela…-Allo, Marc ?-Désolée, je me suis endormie, je me réveille juste… J’arrive, le temps de prendre une douche…Elle se tourne vers moi, -J’ai cru avoir rêvé… Mais non… 16 heures… Il me fallait bien cela… Mais je te gêne…-Pas du tout, tu es chez toi. J’ai été recueillie par une amie aussi, le soir où…-Je n’ai pas envie de le voir, pas envie de l’embrasser, plus envie qu’il me touche… Quant à elle, si je la croise, elle va m’entendre…-Tu peux venir en attendant d’avoir pris ta décision. Ton enfant est le bienvenu, je peux m’en occuper, à son âge, il est intéressant…-Oui, il est magique…-Comme sa maman…Elle réfléchit…-Bon, je vais prendre le taureau par les cornes, bien que ce soit moi qui les porte…-Oui ?-Parler avec lui, lui demander comment va la nounou, etc et je réagirai en conséquence. S’il me prend pour une cruche, tu me reverras… Au fait, la maison est à moi ! -Tu n’en es pas là…-Oui… Dire qu’il m’avait fait l’amour hier matin… On s’entend bien, je lui donne le maximum, je croyais…Les larmes recoulent, je la prends, le serre contre moi…-Mes amies sont loin, je n’en ai presque plus depuis que je suis venue ici, mon travail me mange mon temps, mon fils, mon mari, la maison…-Surtout tu n’as rien fait toi… Laisse-le réagir, il va certainement te donner l’explication, la fille jolie, seule avec lui, proximité, aventure d’un soir, juste du sexe… Regrets, pardon, baiser, et si tu craques c’est fini pour toi…-Bravo, tu connais les mecs… J’ai une copine qui m’a raconté pareil, en vrai… Salauds, tous…-Reprend vite le contrôle, je sais que tu es une femme active, sensée, prends du recul, ne décide rien sous la colère qui t’envahit…Elle sait que j’ai raison…Elle prend une douche, je l’accompagne à sa voiture, elle m’embrasse sur les joues… Se serre dans mes bras, contre moi, son baiser est tendre, chaud, en pleine rue, en plein midi…Isabelle est très belle. Instruite, sûre d’elle, avec un jugement réfléchi, elle va le mener là où elle veut, lui faire comprendre sa trahison. C’est irrémédiable… Le contrat est écorné…Deux heures plus tard, sonnette, elle est là, en pleurs…-Alors ?-Ce salaud… Petit Marc n’est plus là… Il est chez sa mère, dans le Gard… Il savait que je l’avais vu… Il a appelé l’hôpital… Merde… Il s’est douté que je le trompais… Il avait des doutes depuis quelques temps… Mais non !… Alors il m’a dit avoir pris les devants…-C’est vrai, tu l’as trompé ?-Non… Enfin… C’est vieux… Juste un week-end en réunion médicale.-C’était bon ?-Oui… J’ai arrêté pour ça, je pensais à lui tout le temps, j’avais envie de lui, d’une autre nuit d’amour… Le changement, se sentir aimée, se laisser courtiser, se laisser caresser, accepter le dernier verre dans sa chambre… Un flirt, jusque-là… Sans importance… Il est plus tendre, plus câlin, plus entreprenant aussi, plus jeune peut-être et fougueux…Et puis tout bascule… Premier baiser…Je vais franchir la ligne, je le sens… Je me mets à couler comme une rivière, debout, dans ses bras, sous ses mains qui me palpent, me massent, passent dans mes cheveux, dézippent ma robe, descendent sur mes seins, frôlent mon ventre… Le déclic……Et j’ai envie de le sentir en moi, ce sexe qui grossit contre mon pubis qui ondule contre lui, m’excitant autant que lui… Que d’adrénaline ! Jouir, d’un autre homme, 12 ans de loyauté balayée…Le choc ! C’est moi qui délire, c’est moi qui le déshabille, qui ôte ma robe, moi qui sort son sexe, qui le suce, c’est moi qui gémis quand il m’étreint. Je me suis sentie femme, je jouissais… Il était en moi, il me faisait l’amour…Que c’est bon un sexe qui te pénètre et te porte aux nues, jusqu’à l’orgasme que tu désirais, cet abandon des sens, ces instants où tu perds la notion du temps, de la réalité, emportée par ta libido, te laissant conduire dans les méandres du plaisir, lui offrant ton corps, sous toutes ses facettes, toute la nuit, sans manger ni boire jusqu’au matin, trouvant des ressources, et le cherchant encore, jusqu’au fond du lit, ivre de son membre, te livrant à l’infini, les yeux vagues, embués… Je l’ai aimé comme une lionne, sauvagement !…Rien n’était prévu, rien ne laissait penser que pendant ce week-end de travail, j’allais rencontrer ce beau blond magnifique, des yeux d’agent secret, un sourire d’arnaqueur…J’y ai mis un terme avant de le revoir, j’en étais malheureuse, mais petit Marc est arrivé, je n’ai rien regretté, et mon Marc n’en a rien su…-Et en ce qui te concerne, comment a-t’il réagit ? Tu lui as dit quoi ?-J’ai vu son regard méchant… Je ne l’avais jamais vu comme ça… J’ai eu peur… Mon fils n’était plus là… calmement, je lui avoué cette vieille incartade, le contexte différent… Là, dans notre nid, avec une femme, presque une amie… A ma barbe…Il a tiqué… Il regrettait d’avoir emmené notre fils. Il a pensé que n’importe comment, Marc était mieux là-bas, tant qu’on ne s’est pas expliqués…Je lui ai juré que c’était mon seul encart, juste un moment de stress, comblé par le sexe. Notre union est complète, ce n’est pas une liaison, contrairement à ce que j’ai entendu avec la rouquine… Il m’a juré que c’était aussi la première fois qu’il allait aussi loin, caresses volées, baisers appuyés, comportement aguicheur, elle essayait depuis quelques temps, car en diyarbakır escort proie à une crise conjugale, il avait cédé sur l’instant, sans réfléchir, et avait oublié le temps… Cela m’a calmée… Mais j’étais encore sous le coup et lui ai demandé un peu d’air, de quoi respirer… J’irai rechercher petit Marc lundi, puisque je suis fermée… Deux jours de plus… J’aimerais les passer ici, avec toi comme amie, conseillère, juge…-Tu as bien fait. Ce n’est pas très grave s’il dit la vérité. Il l’a congédiée ?-Elle ne revient que lundi soir, elle prend petit Marc à l’école, le baigne, fait ses devoirs, le fait manger, car nous avons des horaires très flexibles…-Bon, tout va bien alors ?…-Presque… Juste ce que j’ai sur le cœur… Je n’avais jamais envisagé autre chose avec lui. J’étais comblée, même après mon week-end. Je n’ai jamais connu d’autre chose que quelques amants avant mon mariage. Je n’ai jamais eu besoin de… piment, comme on dit maintenant… Oui, Marc m’a acheté un ou deux jouets, c’est tout… Je pensais qu’il serait temps de booster justement notre couple, afin d’éviter ces mensonges. Si on partage ces instants d’un commun accord, il ne peut y avoir tromperie, ni danger… Juste du sexe entre amis… Il m’en avait parlé, je n’ai pas remis ça sur le tapis… Ce serait le moment pour moi, de le tenter, d’essayer… Je ne suis pas lesbienne, je n’ai jamais connu que quelques abandons d’adolescentes…-C’est un stade, une progression vers l’échangisme entre couples, savoir donner et prendre du plaisir avec une femme. Ensuite c’est plus facile d’aller vers un autre homme si ton mari est avec sa femme et que tu le vois… Tu peux même y prendre plaisir, la voir jouir à ta place, son mari te faisant l’amour, jouir de lui sans arrière-pensée… Tu peux connaître ce que tu as vécu ce fameux week-end, cet abandon, sans autre but que le sexe et en toute sécurité pour ton couple. Et même plus car les liens entre vous s’accentuent, deviennent plus profonds, comme une redécouverte…-C’est vrai ?-Absolument, je suis bien placée pour t’en parler, ayant initié nombre de mes amies, et le faisant encore avec Romain dans nos escapades en camping-car…-Ah, il faut acheter un camping-car ?Rires… Elle est détendue, calmée, elle voit la vie avec sa blessure qui a entamé sa confiance en lui… Il faut qu’elle lui en parle, mais pas immédiatement…A midi, nous déjeunons d’une grosse salade, et de fruits achetés hier au marché…-On pourrait faire les boutique cet après-midi ?-Pourquoi pas, pour ça, je suis toujours d’accord !Elle prend sa voiture, un tapis volant, puis dès que l’on accélère sur la route, le moteur s’enclenche, adieu silence, mais c’est génial, surtout que l’on n’a pas à se soucier de l’autonomie électrique, comme dans un véhicule normal, juste l’essence…Le port recèle de boutiques à la mode, chères parfois, mais avec des produits que l’on ne trouve pas ailleurs…Elle me détaille lors de nos essayages, elle est svelte, je l’avais deviné, ventre plat, des seins parfaits, de longues jambes…Ce qu’elle m’a dit tourne dans ma tête, je ne dirais pas non…. Oui, je le reconnais, elle me plaît… Lui enseigner les caresses lesbiennes, l’amour au féminin, échanger de la tendresse, je suis émue… Surtout qu’elle essaie un maillot de bains arachnéen… Ses seins sont vraiment parfaits…Je fais la même chose, sans autre gêne désormais… Je n’ai pas à chercher…-Tu es vraiment belle…-Tu dis ça parce que je suis nue devant toi…-Je sais que tu aimerais m’enseigner la femme…-Mais ?-Rien, un relent de morale…On n’en reparle plus, et elle m’offre une magnifique robe que je n’aurais même pas essayée après avoir regardé l’étiquette… Je suis aux anges, l’embrasse et deviens accro…Elle reste le week-end, elle fait la connaissance de Romain qui passe manger le dimanche…Il la regarde avec attention, lui parle d’Isa, de ses ennuis, de son couple et de son désir avoué d’aller vers d’autres plaisirs… Mais chut, pour l’instant c’est tabou !Dimanche soir, elle dort avec moi, nous bavardons librement entre copines…-Merci de m’avoir présenté Romain, c’est un bel homme, tu as de la chance…-Le tien est pas mal d’après ta description…-Tu aimerais le rencontrer, un peu plus tard, que je guérisse…-Tu sais ça pourrait être un médicament…Elle rêve un instant, perdue dans ses pensées, dans cette chambre éclairée par la lune, une baie ouverte sur la terrasse, les rideaux qui ondulent sous la brise tiède.-Si Marc est d’accord pour que nous élargissions notre vie intime, j’aimerais que ce soit toi qui m’apprennes les femmes…-Tu n’as pas envisagé de le tromper avec une femme ?Elle tourne la tête vers moi, les yeux luisants…-Tu l’as fait ?-Cela a été ma première réaction, j’ai construit un réseau de femmes dans mon cas, divorcées, trompées, battues, délaissées, de mes voisines, puis par connaissance… Nous avons organisé des ventes à domicile, qui sont devenues très intimes… je trompais Paul chez moi, lui étant au rez-de-chaussée, puni et les croisant sans arrière-pensées, que des images lubriques sans doute en macho patenté…-C’est génial… Et ensuite ?-Oh… J’ai repris goût au sexe masculin, j’ai plongé, très bas… 2 ans à oublier, puis une femme m’a tendue la main, nous nous sommes aimées, 6 mois de bonheur, et j’étais guérie… Divorcée, maison à moi, retraitée, j’ai commencé cette nouvelle vie, rencontré Romain au hasard de mon premier échange, c’était un collègue de mon mari.Puis de fil en aiguille j’ai gardé cette part aventurière, Romain la partage, mais il reste si tendre et si disponible que l’on coule des jours heureux ainsi, partageant notre libéralisme sexuel…-Tu as beaucoup d’aventures ?-Une dizaine de partenaires de chaque sexe par an…-20 !… Et qu’en camping-car ?-Pourquoi ça te dirait d’essayer ?-Le camping, pour moi, c’est la liberté, ça colle avec ce que tu dis, libération de la femme, plaisir partagé, vacances, flirts coquins, le goût de l’aventure comme tu dis, entre bourge délurée et hippie nouvelle génération, écolo libertine…-On peut le prévoir, il fait encore bon, on pourrait aller pas trop loin, à la mer…-Oui… Mais…-???-Si je te dis toute seule avec vous 2 ?-Oh, coquine…-Non, juste pour remettre les compteurs à 0 !… Mais…-Oui ?-En attendant, j’aimerais juste un avant-goût… Tu m’as mis l’eau à la bouche, cette après-midi dans les cabines…Son baiser est sublime de douceur, et je me sens fondre comme un bonbon… Tournée elle, nos lèvres embrassées sont le seul contact entre nous… Un goût d’interdit, de tabou, qui devient tendresse au fil des minutes…Je n’espérais rien ce soir, pas dans ce sens… La nuit passée avait été tendresse et amitié, parfois nos mains se touchaient, nos doigts se croisaient… Je laissais le temps faire son œuvre, ses idées prendre forme, son corps espérer.Sa main sur ma poitrine, jouait avec les boucles de mon déshabillé, effleurait un sein, j’attendais, tapie dans mon coin, ressassant ses propos.-Je ne me suis jamais masturbée…-Ah ?-Je délire, t’avouer cela d’un coup…-Tu vivais avec quelqu’un, c’est normal…-Une cliente m’avait dit le faire même quand son mari dort à son côté… Elle en ressentait le besoin, se touchait, entrait son doigt et se laissait porter dans la nuit… Cela m’avait marquée, il y a quelques années, après Petit Marc… Ma libido avait du mal à revenir, j’avais essayé, mais sans retour…-Et quand tu fais ta toilette intime ?-Non, je suis juste prise par le besoin de propreté et nullement excitée… Ce n’est pas normal ?-Chacune a ses propres réactions. En vivant avec un compagnon, ou une compagne, la libido est entretenue normalement et le désir n’arrive qu’avec les caresses de l’autre… Chaque couple a ses préférences, commence par ce qu’il aime, hommes et femmes pensent différemment, mais le but ultime sera atteint, quel que soit les préliminaires, du moment qu’ils apportent désir et plaisir…-C’est vrai. J’ai eu des moments si irréels, après mon adolescence et quelques flirts, à partir de mes vingt ans, coupée de mon corps, tournée exclusivement vers mes études, le souci d’y arriver, d’emmagasiner le plus possible d’expériences en les lisant, voir des cas difficiles, aller plus loin, pour être la meilleure… 25 ans et vierge, ou tout comme… La première fois c’était un étudiant, comme moi, inexpérimenté, puceau… Il m’a déflorée avec tendresse, je me suis laissé faire, tremblante, prenant mes précautions, pilule, capote, et on a remis ça la semaine d’après et ce fut l’explosion dans mon corps, j’ai joui toute la nuit, rattrapant des nuits d’amour perdues dans les livres de science… Au matin, il était vanné et hors service… Déçue, je me suis tournée vers les discothèques et des copines… J’ai trouvé, trente ans, divorcé, interne en médecine, beau gosse, il m’a prise debout dans les toilettes, j’ai vu 36 chandelles, le sommet de l’Everest, il n’en revenait pas, il m’a emmenée à l’hôtel, un truc pas cher, où on entendait nos voisins nous accompagner… Là, j’ai appris à faire le sexe sous toutes les coutures, j’étais enfin femme lorsque j’ai battu les autres en intensité, en volume, en durée…On s’est revus deux ou trois samedis, chez moi. J’avais gagné mes galons de chirurgien-dentiste, une paie de folie pour mon âge, des rêves pleins la tête, en premier lieu, un prince charmant qui pourrait me faire vivre la même chose, chaque nuit, toute ma vie…-Oh, ma douce !… Nous aussi, mais le cheval est vite fatigué et le cavalier se lasse de sa monture… On n’y prend pas garde car c’est insignifiant, l’habitude prend le pas sur le désir, sur la vie, le rythme de nos journées… Et hop, on se retrouve enceinte et là c’est fini. Baise du samedi établie, consensuelle, réglée, jusqu’à ce qu’on réagisse… En vacances, oui, un relâchement bénéfique, des zones dénudées avec adresse mais enfants, parents, voisins, environnement sont souvent perturbants… On a la sensation de faire mieux quelques jours et puis c’est le retour…-Tu as raison mille fois, que de couples tombent dans la monotonie… Il m’arrive d’effleurer certains patients avec un sein que j’appuie par mégarde, je sens aussitôt un intérêt nouveau, quel que soit le soin en cours… J’ai fait exprès avec certains pour savoir où ils seraient capables d’aller…-Et ?-Sous ma blouse, sans retenue…-Et ?-Fin des soins tagada…-Ça me donne une idée pour tester la fidélité des hommes… Tu pourrais m’aider à définir le fantasme, l’identifier, le reproduire et l’exécuter…-Tu es maligne… Un jeu… Si le patient est d’accord et beau, et avec toi…-Tu y viens…-Non, pas encore…Nos doigts croisés, nos bouchent se fondent, je vais exploser, bondir sur elle, c’est de la torture… Je pose une main sur un sein…-Continue, je suis trempée de désir, mais je ne sais si c’est de toi, ou d’un sexe…Ma main est faite pour elle, juste la taille, ses tétons érigés pointent, elle commence à se tourdre, respirer fort… Ma main glisse sur son ventre, touche le pubis, j’écarte mes doigts… Je caresse ce ventre plat, les poils épars, elle n’a plus de culotte… Je descends entre les cuisses, la vulve est détrempée, chatte ouverte, clitoris bandé… Mon doigt le pointe, le caresse, le tourne, elle gémit…Elle s’est écartelée, offerte à mes fantasmes lesbiens… Mon doigt explore, glisse, revient, au bord du puits, c’est un trésor que je ne veux pas ébrécher… Je coule comme une fontaine à savourer ce que mes doigts découvrent…Je masturbe sa fente de bas en haut, de haut en bas, reviens… Ses sonorités m’enchantent, elle vibre, jouit dès le premier instant…-Oh… Ouh !… Euh !… Euh !…Elle décide, je la maintiens à ce niveau, au bord du oui…Son bassin ondule suivant mon doigt…Ce qu’elle ne fait pas je le lui prodigue…Mes seins me font mal, mes bouts sont énormes…Rarement je n’ai atteint ce degré, cette intensité, essayant de me calmer…Elle s’écartèle de nouveau, je la suis, me soulève, mon escort diyarbakır doigt glisse doucement, revient sur le clitoris boursouflé, appuie, tourne… -Oh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !…Sa main rejoint la mienne, la pose, son doigt dirige le mien en elle…-Oh, oui… Vas-y ! Prends-moi…C’est un délice !… Son vagin est douillet, large du fait de son enfant, j’entre deux doigts, les plus longs, elle délire…-Ouh… Oui !…. Viens !… Encore !… Oh, oui !… Ne t’arrête pas… Fais-moi l’amour…Le baiser est différent, merveilleux, profond, et mes doigts vont et viennent, elle bouge, se donne, m’accompagne, me désire toujours, plus profond, plus loin, plus coquine…Alors mes doigts explorent, tournent, touchent son utérus, reviennent sur la paroi vaginale, massent, massent, elle jouit, jouit et un jet soudain inonde mes beaux draps de satin…-Mon dieu, j’ai fait pipi !…-Mais non, c’est ton désir qui s’est libéré, relâche toi… Laisse toi caresser, ouvre ton vagin à mes doigts, je te mène à l’extase…Mes deux doigts plongent de plus belle et se perdent dans son jardin, j’effleure un coin privé, mais elle ne réagit pas… Je recommence, en accélérant, elle te tend, se soulève, jouit son orgasme, merveilleuse en me serrant la tête contre sa poitrine, et pleurant de joie…-Oh, oui… Tu es magique… jamais je n’avais connu ça avant… Je veux tout connaître, je suis à la ramasse en matière de sexe, même du mien !-C’est un peu la logique des choses, de ce que tu viens de dire… Il faut des expériences diverses, des contacts féminins, des actes complets, intenses, profonds, une ambiance pour tout connaître, ou du moins s’en approcher. Tu as joui pleinement, j’ai trouvé ton point délicat, celui qui commande des glandes spéciales et tu t’es libérée expulsant ce délicieux nectar qui n’a rien à voir avec l’urine, mais se rapproche de celui des hommes, de leur prostate… -Je suis honteuse…-Au contraire, cela prouve que tu as atteint un niveau de plaisir supérieur. Il est difficile de « noter », « d’étalonner » le plaisir. Sache que tu as réagi à mes caresses, que tu étais dans un état d’excitation propice, et que ton orgasme n’a pas été feint !…-J’adore ce que tu m’as prodigué, ces caresses, avec tes doigts de fée… ta douceur, je me suis sentie partir… Puis j’ai joui, et je te voulais, vite, comme avec un homme, me sentir pénétrée, envahie, que c’est bon…-Je t’apprendrais d’autres choses, si tu t’ouvres à nos principes, et puis à plusieurs partenaires, le champ augmente… Les possibilités sont plus nombreuses…-J’ai du chemin à faire alors, pour être une femme accomplie ?-Juste aimer cela, faire abstraction de tes principes, de ta morale, te libérer de certains de tes tabous pour vivre une meilleure sexualité. Ce sont des expériences multiples qui repoussent ces limites, tu t’arrêtes quand tu veux, où tu veux.-L’amour à la papa-maman est révolu… Mais tant que tu n’as pas envie de franchir le pas tu y restes cantonné… Y a pas de mal…Elle se pelotonne contre moi, comme une amante comblée, s’endort comme un bébé, parfois une main ou une cuisse vient me troubler, elle est si belle et si désirable, j’att**** mon gode et me fais plaisir tout doucement, sans crier, juste jouir égoïstement…Chapitre II – Seconde partieIsabelle est retournée chez elle… Isabelle a coupé ses ailes…Je ne suis pas triste, juste un peu contrariée, je m’attendais à plus entre nous…J’ai repris ma vie tranquille, mon Romain enchanteur, ma fille au loin qui ne viendra pas cet été, autres projets, avion, îles paradisiaques au programme pour leurs dix ans de mariage.Quelques semaines plus tard, « Dring » à ma porte…Interphone car le temps a changé et je me suis enfermée…-Salut, c’est moi, Isabelle, tu as un instant ?Bien sûr que j’ai du temps, il est 09h00 du matin, je suis encore en pantoufles…Elle est habillée classe, robe fuseau, sac de marque, escarpins…Après une bise amicale…-Tu vas où ?-Je ne pars pas, j’arrive. Enfin, je ne sais pas…-Ton cabinet ?-J’ai pris deux jours et mis une remplaçante.-Ah ! Et ?-Je suis désolée… Je sais que je n’ai pas été franche avec toi, ni, disons très loyale…Tu m’as hébergée, consolée, remis sur le chemin de l’espoir, du pardon, avec ta classe, ta touche, et ce dont nous avons parlé, mon ouverture au sexe, à l’échange, le sexe au féminin… Bref j’en ai parlé un soir, après avoir repris mon rôle d’épouse avec Marc, petit Marc endormi… Je ressentais du plaisir, mais pensais ailleurs… Mon infidélité, certes pardonnée, puisque ancienne, la sienne avec Julia, et cette nouvelle voie que tu m’as ouverte. Tout cela tournait dans ma tête…Mais nos rapports reprenaient, la vie continuait presque comme avant… Julia était toujours là, j’évitais de rentrer après Marc, elle venait faire la cuisine, récupérait petit Marc à la sortie de l’école, comme d’habitude et s’occupait de lui le mercredi. Je n’avais rien dit, égale à moi-même, mais elle a dû sentir le souffle du boulet…Un lundi, voulant clarifier la situation, je l’ai appelée.Elle est arrivée vers 14h00, je venais de coucher petit Marc pour sa sieste…Nous pouvions bavarder…Je savais !… Elle me regarda, tournant ses doigts dans ses mains…-Je… Je me suis mal comportée avec toi… J’aurais dû m’excuser plus tôt. Un instant de déprime, Marc était là, devant moi, beau, gentil, attentif… Les jours passaient et j’aimais me retrouver avec lui, près de lui… Délaissée par mon mari, trompée, je ne brillais pas et cherchais une épaule. Mais c’est dur de se confier.-J’étais là, je pensais justement que j’étais aussi une amie…-Tu étais son épouse, aussi… Et s’il venait à me regarder c’est que tu ne lui donnais pas ce qu’il voulait…-Ah… Ma faute !… Par négligence de mon époux !…-Je sais, mon jugement était erroné, j’ai des circonstances… Un soir, je lui parlais de moi, de mon couple… Il m’a prise dans ses bras et m’a consolée… Je me suis faite des idées à partir de là… J’essayais d’être là à son retour, avant que tu arrives, je parlais, amplifiais mon désarroi, le vampais outrageusement et il a craqué enfin ce soir-là… J’étais la reine des femmes, comblée, il m’avait fait l’amour !… Il m’a appelée le lendemain, disant que tu nous avais vus et que tu étais partie…Le monde s’écroulait, je pensais ne plus devoir venir, le voir, le toucher, c’était déjà fini… Et le pire, ne plus voir petit Marc, mon petit Marc…Il le fit garder par ses parents…Je ne pouvais lui dire ma pensée, Julia était désespérée, son mari, Pat, proche de Marc, avait appris la trahison de sa femme… Il parlait de séparation…Elle était là, devant moi, éplorée, je la serrais contre moi, tu m’avais appris l’amour saphique, tu m’avais tant bouleversée que maintenant, mon corps réagissait à son contact… Elle était abandonnée dans mes bras, comme moi en cette dernière nuit où j’avais tant envie… Mais je m’étais endormie, et ce fut la fin de notre week-end…Mes sens étaient en éveil, je la caressais doucement, sur le canapé rouge du salon, là où elle s’était offerte à Marc…Je sentis l’envie, le désir, elle était belle, offerte, je captais son regard… Ses yeux me suppliaient, on s’embrassa…Feu d’artifice, coup de foudre, je ne sais pas, mais nos gestes se complétaient, je me retrouvais nue, avec elle, dans mon lit…Je découvrais son corps de brune, sa toison impeccable, son pubis sculpté, son abricot glabre, un délice… J’appliquais ce que nous avions échangé, je me laissais guider par mes sens, par mon propre plaisir, elle répondait, refaisant, imitant, se donnant sans parler, et se mit à jouir de mes doigts, de mon corps, gémissant sans cesse…-Oh, oui, j’en rêvais aussi… Je suis à toi, prends mon corps, prends-moi, fais-moi jouir, apprends-moi le plaisir au féminin, je ne sais rien de lui, seulement que j’ai envie de toi…-Alors elle devint mon amante, et je trompais Marc avec elle, plusieurs fois, le lundi, et d’autres jours volés à mon planning… J’étais amoureuse d’elle…-Bien, tu as eu un retour assez mouvementé… Sache que de mon côté, je ne voulais pas te brusquer, j’espérais simplement que ce soit toi qui décide, à ton heure… J’ai repris mon quotidien, mais tout est gravé, et tu me plais toujours autant…-Merci, Marika, tu es une véritable amie, sincère. Je tiens à cette amitié. Si je me suis conduite un peu comme un papillon, je te dois ces instants de plaisir partagés avec elle… Mon premier amour lesbien… Mais je n’ai pas connu la même intensité, ni le même plaisir, si profond au point de déclencher en moi des mécanismes inconnus… Je gardais mon self control, l’amenant à la jouissance, à l’extase des orgasmes qu’elle ne connaissait plus depuis pas mal de temps… Elle se lâchait, nous étions des lionnes, combattant pour le plaisir… Marc n’était plus dans mes pensées, je voguais sur mon nuage…Jusqu’à ce qu’il nous trouve, un lundi, tendrement enlacées après l’amour, dans mon lit conjugal…… Je ne sus que faire sur l’instant, tétanisée… Elle me regardait… Je me suis entendu dire « Viens ! » et il nous a prises toutes les deux, un taureau en folie, je ne l’avais jamais vu ainsi…J’ai pensé à ce que tu disais, le sexe pour le sexe, partager, pour le plaisir… Ce partage, entre moi, lui et Julia, la voir et l’entendre jouir sous ses coups de reins, me prendre ensuite et me donner autant de plaisir tandis qu’elle ajoutait sa féminité, ses caresses et sa tendresse…Le lendemain, à mon cabinet, je réfléchissais, les pensées ailleurs qu’à mon travail. J’ai fait mal à un patient, je me suis reprise, mais….Et puis le soir, en arrivant, seule, je me suis mise à pleurer. Me traitant de tout, offrant à Marc l’occasion de se la refaire à loisir, en mon absence… Je lui en parlais immédiatement, dès qu’il rentrait avec petit Marc…-Tu n’as qu’à inviter Pat, son mari, mon copain. Ils en sont au même point que nous, il m’a parlé au téléphone. Il a saisi une occasion, attiré par la découverte d’un autre corps, avec la sensation de plaire, en bon macho. Julia est coincée sur des points de morale… Elle ne voulait pas le partager avec une autre, bien qu’elle me vole à son amie… Elle n’avait jamais fait de sodomie, éducation chrétienne… Je lui ai ouvert la voie… du plaisir…Bref, si Pat te plaît, si tu es d’accord, nous pourrions tester samedi, ici, on fait garder petit Marc par mes parents et on s’accorde des vacances sexuelles tout le week-end…-Elle te plaît tant que ça ? Tu veux la garder, la baiser dans mon dos ?-Pas du tout, puisque tu le sais maintenant. C’est partager des instants de sexe, pour booster nos libidos, avoir une certaine complicité, dans un cocon de respect et d’amitié. Mais nous restons un couple, et nos sentiments ne changent pas, je t’aime et t’aimerai encore après des heures de coït avec elle, à l’entendre jouir de mon sexe, à la prendre partout, et avec son mari pour l’envoyer au paradis…-Il m’a fait réfléchir, perturbée, il rejoignait ta pensée… Je connaissais Pat, Marc les avait invités à notre mariage, nous étions revus lors de fêtes, chez et chez eux. C’est lui qui nous avait proposé sa femme en tant que nounou.Il était devenu mon patient quand je me suis installée. Il m’avait draguée gentiment lors d’une séance… J’avais apprécié. Ça aurait pu… Il n’est pas mal, sait parler, il a de l’humour, plus que Marc, il est sympa… Et il adore la cuisine…-Et tu en es où ?-C’était hier… J’ai peur de cette soirée…-J’ai le remède à ta peur…-Ah ? Donne-le-moi alors, vite, je les ai invités ce matin, Julia est aux anges ! Marc monte notre fils vendredi soir chez ses parents, et revient samedi midi… J’ai peur que cette soirée devienne un enfer, que Julia se paye Marc en bondissant comme je l’ai vue et que je me fasse violer par Pat…-Tu ne l’apprécies pas, tu ne le désires pas ?-Le désirer, non… Je ne sais pas, je n’y ai pas songé… Je pense aux diyarbakır escort bayan moments échangés avec elle, je la vois me sourire, quand je la croise et qu’elle me sourit avec la même intensité, comme par amour… Mais lui, non, rien… Quand je pense à lui, je ne ressens rien…-Pourtant il t’a draguée…-Oui, par jeu… Seuls tous les deux après un soin, un geste, on se disait au revoir… Je n’avais plus repensé.-Tu ne l’as pas revu ?-Euh… En vitesse, chez eux, je suis allé récupérer mon fils, il était là, sans plus…-Bon… Alors je vais te proposer une solution à ton angoisse, car si tu rates ce rendez-vous, alors que tu te trouves dans les meilleures conditions de sécurité, d’affectivité, d’environnement, pour une première expérience de votre vie sexuelle, de votre vie de couple, et de la leur… Et en plus tu as eu un premier essai gratuit à 3…-Oh !… Mais !… Si… Alors ?-Venez ici, tous les 4, Romain sera aux anges. 3 couples c’est un bon nombre. Vous vous connaissez tous les 4, enfin pas complétement, mais 3 sur 4… Vous désirez passer le pas vers le pluralisme, la mixité, l’échangisme. C’est le moment, et c’est dans un lieu neutre pour vous. Tu le connais, même mon lit… Tu as dîné avec Romain. Mon salon est grand, il est à toi pour cette expérience. Tu les as invités chez toi, à deux pas, venez ici, ne leur dis rien avant, entre désir de découverte, nouveauté, appréhension, tentation… Qu’en dis-tu ?-Génial, oh, oui !… Elle te plaira, je la partagerai avec toi aussi, et Romain adorera son grain de beauté coquin… Je partagerai Marc pour la seconde fois, et Romain me séduira, car je l’ai trouvé craquant…-Et nous partagerons Pat toutes les deux, tu seras en confiance, tu vas adorer ces moments de sexe… Au fait elle ne divorce plus ?-Non, aux dernières nouvelles, après notre « rapprochement » et la perspective d’autres liens, d’autres découvertes, une nouvelle vie pimentée de parenthèses consensuelles, il a abandonné, elle a approuvé et pardonné.-Julia est perfide, non ?-Sans doute. Elle a été privée de ces plaisirs pendant pas mal de temps…Isabelle me sourit…-Tu as toutes les solutions à nos problèmes de femme, de mère, d’épouse ?-Oh, que non. Mais mon expérience en tant que DRH et après dans mon groupe de femmes délaissées, mères cougars, épouses trompées et autres délices du mariage, je sais trancher, aménager, et surtout panser les plaies. Parler est le plus important, il faut encore trouver les mots et être crédible et à l’écoute.-Et tu donnes de toi chaque fois ?-Ah, ça c’est coquin. Mais c’est le risque, les victimes tombent dans les bras de leurs sauveurs…Son fourreau tombe sans bruit, le reste glisse sur le plancher…Elle est plus mature, plus entière, plus femme, elle vient me chercher, et nous montons les degrés du plaisir lesbien, accolées, tendres, lascives. Elle me fait jouir par surprise, une caresse appuyée et longue sur ma vulve, un geste oublié, un simple doigt qui me vide de ma liqueur de femme, qui s’épand, qui m’entraîne. Je lui fais l’amour, sexe contre sexe, moment intense de plaisir, délivrant un orgasme commun, un tremblement de terre…Je ne la reconnais pas, si directive, joueuse, précise dans ses gestes, comme dans son métier, cherchant le but ultime du plaisir de l’autre… Mon baiser n’est pas feint, notre jeu est si intense, que l’heure tourne, nous retrouvant épuisées sur ma descente de lit…-Tu es ma meilleure amante…-Tu es ma seule amante…Je la fais jouir classiquement, allongée sur le lit, écartelée, son sexe ouvert sous ma bouche et ma langue qui la porte à pleurer son plaisir en se tordant en tous sens… quelle merveilleuse fin pour ce matin, ses trésors baignant de nos sucs, de salive, de désir, de liberté !-Je t’aime plus que tout, apprends-moi à inventer ce sexe délirant, jusqu’au bout de mes seins, de mes cuisses, l’envie d’être sucée par toi, à en crever…-Samedi je t’en ferai encore, jusqu’à vouloir un homme pour atteindre le nirvana…Elle se d**** de son fourreau, nue, désirable, les yeux brillants…J’ai envie de la baiser encore, qu’elle demande grâce, mais je me réserve…Romain s’est habillé sport, il fait encore beau et tiède. Nous dînerons dehors, le jardin est accueillant et propice aux échanges discrets…Isabelle a passé une robe ultra-courte, Julia est en jupe noire aux genoux et chemisier blanc, décolleté. Pat, en Jean bleu roi et sweat, et Marc en pantalon de golf, polo ouvert vert…Une bienvenue à tous, autour de la table de jardin. Je dis les choses simplement…Bonsoir les amis. Je peux dire cela puisque c’est le but de la soirée. Nous sommes voisins, certains se connaissent, ont souffert… sous les doigts de notre dentiste, Isabelle que je remercie et qui est à l’origine de ce repas. Bienvenue donc, Romain et moi sommes à votre service.La vie peut réserver des surprises, l’amitié est là pour nous aider à passer les pires instants et les oublier. Le plaisir est rare, le bonheur fuyant. Chacun viendra puiser et partager dans nos échanges de ce soir, ce sentiment de quiétude, ce plaisir infini que procure le sexe, des instants facilités par le respect de l’autre et la bienséance. Pas de vulgarité, pas de jalousie, ni de v******e, ni de contrainte physique ou morale. Pas de triche, pas de faux-semblant, nous entrons dans un monde libertin et profitons de cette première soirée sans arrière-pensée, pour faire connaissance, oublier nos tracas, notre quotidien, vivre une sexualité nouvelle, entre adultes, et qui doit raffermir celle de notre couple, en pouvant librement échanger, comme une parenthèse dans notre contrat moral…Merci d’avoir accepté cette invitation, bonne soirée et bonne nuit…La musique retentit, douce, calme, les apéritifs sont servis, nous dansons, Marc se précipite dans mes bras…-Merci… Mille fois merci… Je sais ce que tu as fait, un miracle. J’aurais aimé te parler, mais tu as manœuvré adroitement, et finement. J’ai fait un accroc, elle l’a vécu comme toutes les femmes trompées, tu as su la consoler, attendre, la convaincre, lui donner la force de voir l’avenir, notre couple, avec d’autres yeux. Merci d’en être arrivée là. J’ai ma maîtresse et ma femme ce soir je suis comblé, grâce à toi…-Ce n’est pas pour toi que j’ai fait cela, mais pour elle. Pour moi aussi car Isabelle est un bijou, pur, droit, avec tout ce qui va avec, éducation, sensibilité, intelligence, passion, amour, pour toi et votre fils. Il est dans la vie des caps difficiles à franchir pour chacun. Travail, âge, avenir… La femme s’investit souvent plus dans plus de choses. Maison, éducation, maternité, profession, elle survole certains aspects, en oublie de regarder à son côté. L’homme est plus direct, terre à terre, il craque souvent sans réfléchir aux conséquences… La femme aussi, mais dès qu’elle se trouve seule, perdue, oubliée, délaissée mais à faible dose, imperceptiblement moins attirante…Alors le crash arrive. Une occasion, une tentation, une de trop parfois. Et l’homme reprend sa chasse, savoure l’instant, oublie souvent le lendemain. Parfois c’est plus profond. Le malaise est avéré et faute de discussion, s’envenime au fil du temps jusqu’à la rupture…A un instant donné de vie commune, il faut réagir, repartir, s’orienter. Cette soirée est là pour ça. Tromper entre amis libertins, consentants, honnêtes, dans le même dilemme, n’est pas tromper. Se rencontrer, échanger des caresses, des baisers, faire l’amour ouvertement, favorise la libido, la propulse vers des horizons nouveaux. Si l’un des partenaires avait des limites trop strictes, morales, principes personnels, ce genre d’échanges est là pour l’aider à les repousser, à tenter d’autres, ou simplement apprendre, découvrir, vivre un nouveau plaisir. Pas de sentiment, rien que du sexe.-Bien dis-donc, tu connais ton sujet, tu devrais ouvrir un cabinet de sexologue…-J’y ai pensé, mais maintenant, je suis trop vieille pour me lancer…-En tous cas merci pour nous. Je sais que tu puises beaucoup de plaisir à l’aider, ne t’en prive pas, je vous comprends, je te comprends, elle est transformée…-Julia est aussi une belle femme, attirante…-Même chose pour eux, il a craqué car moins de passion, moins de présence, d’attention… Elle a réagi pareil, en allant voir si elle plaisait toujours…-Elle plaît, à beaucoup…-Coquine… Tu viens boire un verre ?Nous descendons au jardin, je lui montre la piscine, le chalet, notre havre de verdure, on s’assied…Le baiser est soudain, franc, plein, long, intense… C’est torride, rapide, son sexe est contre moi, je suis nue, je me penche…Il est long, dur, doux, blondissant…Il me veut aussi, insiste, caresse mes seins, masse longuement jusqu’à déclencher mes gémissements… Sa langue douce, divine, ses doigts effleurent mes douceurs, les ouvrent, les savourent je me livre, ils me font délirer…Il est sur moi, il va me prendre, je suis trempée de désir et m’ouvre…Son membre explore, ouvre, découvre, puis lentement, plonge dans mon abîme…Il y rejoint ma source, et s’excite avec tendresse, me portant lentement à l’extase…En remontant, nous apercevons Romain et Julia, enlacés sur notre espace détente, notre havre en bordure de piscine, dans lequel le dernier couple improvisé, Pat et Isabelle semble se donner beaucoup de plaisir…Le ton est donné, je sors un peu d’alcool, les pose sur une table dehors, nous rejoignons nos amis, étalés sur les matelas, reprenant quelques forces…Julia vient près de moi, me remercie, m’embrasse et nous échangeons caresses et délices, Marc nous accompagne, puis Pat, un quatuor de choc, Isabelle et Romain se joignent à nous, et c’est une orgie qui démarre, femmes et hommes se livrent entièrement, respectant nos principes, je vois des positions étranges, d’autres obscènes, provocantes, les hommes sont vite débordés, les femmes s’entremêlent… Isabelle, puis Julia découvre le pluralisme, entreprise par deux hommes, leurs hommes, arrivant enfin au but de leurs échanges et nous délivrent leurs orgasmes sans retenue, Surtout que Romain s’en mêle et vient parfaire leurs ébats…Je n’en suis pas exclue, mon tour arrive, et tous les trois me font vibrer, m’assaillent, me font délirer, jusqu’à un tremblement de terre…Que de plaisir dans cette soirée particulière, que de tendresse dans ces deux jeunes épouses venues pimenter leurs libidos, je crois que le but est atteint… Largement, car le dimanche est autant érotique, entre piscine et délassement, seuls ou à plusieurs, les ébats continuent, tendres, épiques, sonores, émouvants parfois, Isabelle chevauche son Marc en toute liberté, nous offrant une séquence intime très agréable, et nous rejoignons aussi nos conjoints et partenaires, pour des moments de tendresse et d’amour partagé…Nous leur offrons un trio de déesses, un échange lesbien, moitié en piscine, puis au sec, entrelacées, délirant nos orgasmes, les excitant par nos gémissements de chiennes en chaleur, les provocant pour finir de nouveau tous les six avec un progrès notoire, le second niveau… Marc prend Julia par derrière, devant Isabelle, la faisant jouir sans répit, Isabelle avec Pat, redécouvre la sodomie et la pluralité, aidé par Romain qui ne m’oublie pas pour autant… J’anime les trios et les duos, partage, embrasse, je deviens actrice, perverse… Elles se laissent guider, ne refusent rien, offrant et prenant leur plaisir, comme de véritables et délicieuses libertines… Les hommes sont aux anges, épuisés…En fin de journée je sors une bouteille de champagne, les remercie, surtout nos hommes de nous avoir emmenées dans les délices du plaisir…-Merci à tous d’avoir joué le jeu, dépassé vos limites, respecté notre charte et profité de cette première séance… Je pense que le but a été atteint, je n’ai pas enregistré de plainte… Bonne soirée, à bientôt j’espère, avec autant de charme et de passion.Isabelle est revenue me trouver le lundi suivant, un après-midi délicieux, accompagnée de Julia et elles m’ont prouvé qu’elles avaient assimilé mes leçons au-delà de toute espérance, jusqu’au soir, sans répit, un récital de tendresse entre amies…FINMarika842010 – Août 2018 – Série Confidences de…

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Meine Erlebnisse !

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Meine Erlebnisse !Hallo ihr Lieben !Mein Name ist Anna ich bin 37 und komme aus Aachen. Habe blonde Haare, grüne Augen bin 164cm und wiege ca.58 kg. Mittlerweile bin ich seit 2 Jahren glücklich vergeben. Würde hier gerne einige Erlebnisse mit euch teilen einfach weil ich manchmal gerne in Erinnerungen schwelge und es meinem Mann nicht unbedingt auf die Nase binden muss was ich für ein teilweises wildes Leben ich vor ihm geführt habe. Einige meiner Erlebnisse sind Jahre her und deshalb kann ich natürlich nicht immer genau sagen was geredet worden ist aber werde versuchen es ähnlich wiederzugeben. Die Namen habe ich geändert aber alles andere stimmt wie z.B. die Orte. Alkohol wird auch öfter eine Rolle spielen. Dazu möchte ich nur sagen das bei mir wie bei den meisten die Hemmschwelle tekirdağ escort sinkt und ich mich nicht jeden Tag am besaufen bin. 😉 Manche werden denken das ich mal eine kleine Schlampe das hat mich aber damals nicht interessiert und wird es heute auch nicht tun ! Hatte mit vielen Männern an vielen verschiedenen Orten Sex. Manchmal waren es auch 2 Männer gleichzeitig oder mehrere an einem Tag und auch einen Gangbang habe ich hinter mir einfach weil ich wissen wollte wie es ist. Angefangen hat alles als ich 15 war. War mit meinem ersten festen Freund zusammen und das Thema Sex wurde bei meiner besten Freundin Melanie und mir immer häufiger. Melanie kannte ich vom Volleyball und auch unsere Freizeit verbrachten wir meist zusammen. Natürlich übernachteten tekirdağ escort bayan wir auch oft beieinander. Wusste natürlich auch das Melanie einem Typen bei uns im Jugendheim einen geblasen hatte und fragte sie komplett aus. Meine Neugier war geweckt und ein Tag später sagte ich meinem Freund ganz direkt das ich es mal machen möchte. Da es weder bei ihm noch bei mir möglich war gingen wir wir bei uns im Viertel auf einen Spielplatz. Ab in ein Gebüsch Hose auf und 2 Minuten später waren wir wieder draußen. Es dauerte noch ei nige Monate und dann entjunferte er mich auch. Bis dahin hatte ich ihm fast täglich mindestens einmal einen geblasen und ich machte es gerne. Bis auf das erstemal gefiel mir Sex auch sehr gut aber gekommen bin ich damals nie. Kurz bevor escort tekirdağ ich 16 wurde trennten wir uns dann. Meinen ersten Orgasmus hatte ich dann wirklich an meinem 16. Geburtstag. Wir planten mit unserer Clique das wir die Nacht am Lousberg durmachen wollten und besorgten Alkohol. Wir hatten alle schon gut was getrunken da packten mich du Jungs und fingen an mich zu kitzeln. Bekam kaum noch Luft vor lachen und versuchte mich zu wehren. Sie hielten meine Arme und Beine fest und während sie mich durchkitzelten spürte ich immer wieder Hände an meinen Brüsten an meinem Po oder zwischen meinen Beinen. Es dauerte vielleicht eine halbe Minute da stieg in mir eine Hitze hoch die ich noch nicht kannte. Muss einen knallroten Kopf gehabt haben. Ich quickte, lachte und japste nach Luft als sie mich wieder los ließen. Erst langsam danach realisierte ich was gerade passiert war und rief ganz aufgeregt Melanie. “Glaube hatte gerade meinen ersten Orgasmus” sagte ich nur zu ihr danach lachten wir uns zusammen kaputt und feierten weiter.

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Herkese Selam bir hikayemi anlatmak istiyorum. Bizim buralarda her hafta sonu pazar kurulur. Bir hafta sonu yine bizim alt komuşu pazara çıkmış alışveriş yapmış ve evine dönüş yapmaktaydı. Bizim alt katımızda oturuyor bu kişi yolda görünce kendisine yardım etmemi istedi maşallah pazarı toplamış resmen eli poşet doluydu  elinden poşetleri alıp eviinin içine mutfağına kadar bıraktım tam çıkacakken olanlar oldu. Herkesin uydurma hikayelerine karşın ben başımdan geçen gerçek bir olayı sizinle paylaşmak isterim.. Ben 19 yaşında 1,86 boyunda 87 kilo esmer ve bekar biriyim İstanbul’da ikamet ediyorum.. 2012 haziran aylarıydı ailem memlekete gitmişti evde oturmuş erotik bir film izliyordum filmde bir yaşlı kadını sevişirken gördüm ve çok etkilendim.. ve o an bende bunu denemeliyim dedim ve etrafımda bu tarz kimlerin olduğunu düşünmeye başladım o anda aklıma zemin kat komşumuz münevver abla geldi.. 1,70 boylarına yakın zayıf yalnız yaşayan 55 yaş civarında bir kadındı biraz buruşmuş vücuduna rağmen hala iş görür bir fiziği vardı.. Artık kafaya takmıştım ne yapıp ne edip münevver ablayı kandırmalı ve onunla birlikte olmalıydım..o günden sonra münevver abla kafayı ne tarafa çevirse karşısında ben pazardan gelirken poşetlerine yardım etmeler onun için markete gitmeler kapısını açmalar dolmuş filan bekliyorsa bende o tarafa gidiyorum numarasıyla gideceği yere bırakmalar.artık kocaeli escort alında aşına olmuştum..bir fırsat kolluyor ama bulamıyordum.. Yine bir gün iş dönüşüydü baktım münevver abla pazardan geliyor hemen elindeki poşetlere sarıldım yardım edeyim diye her neyse ve kadar geldik her zaman kapıdan poşetleri veri yukarı çıkardım ama bu defa poşetler ağır mutfağa bırakayım dedim..ben yukarı çıkarken münevver abla senin lar hala yokmu dedi bende yok gelmediler dedim.kal sana da yemek hazırlayım dedi.bende kabul ettim tabi kaçırılmayacak fırsat her neyse yemekleri yedik sohbet ettik ölen kocasından hiç çocuğu olmadığından şu bu derken artık bir yerden konuya dalmak gerekiyordu ve dedim ki münevver abla yaşına göre bakımlı ve güzelsin neden evlenme dinki sen kısmet olmadı filan dedi biraz daha iltifatlar filan.. samimiyet daha iyi oldu ona eşi öldükten sonra cinsel yönden hiç ihtiyacının olup olmadığını sordum biraz şaşırdı birazda tereddütle hepimiz insanız filan dedi oldu tabi dedi dedim tam fırsatı … ben evime çıkmalıyım dedim ve çıkarken kulağına lütfen beni yanlış anlamayın ama bir ihtiyacınız olursa ben her zaman sizin için hazırım dedim ve tokadı yedim.. ama kızıp bağırmadı bu iyiye işaretti eve çıktım o arada 15-20 dakika sonra kapı çalındı gelen münevver teyzeydi sigara ve çakmağımı unutmuştum onu getirdi içeri davet ettim girmek istemedi en son çıkarken sen bana kocaeli escort bayan gel çay içeriz dedi içimden tam zamanı dedim ve gittikten sonra bir astırıcı hap attım 30 dakika kadar sonra aşağıya indim münevver teyze üzerine askılı bir uzun elbise giymiş saçlarını yukardan bağlamış ve birazda makyaj yapmıştı.. içeri odaya geçtim ama hapında etkisi ile penisim dimdik olmuş ve yerimde duramıyordum mutfak yanına gittim arkadan götüne penisimi dayadım ve sarıldım beni geri itmek filan istedi ama kararlıydım boynundan öpmeye başladım göğüslerini okşamaya artık karşı koymuyordu yüzünü kendime çevirdim ve buruşmuş dudaklarından öpmeye başladım artık oda beni öpüyor dilini azımda gezdiriyordu.. Hemen onu kucağıma alarak yatak odasına götürdüm ve yatırdım bacaklarını hafif ayırarak elbisesin altına girdim ve kadınlığını yalamaya başladım münevver abla ufak küçük inlemeye başlamıştı hemen bende pantolonumu çıkardım ve 69 pozisyonuna geçtim ben onu yalarken oda benim sikimle oynuyordu ama azına almıyor sadece eliyle sıkıyor okşuyordu ben daha şehvetli bir şekilde kadınlığını emmeye yalamaya başladım artık sesi biraz daha yüksek çıkıyordu o anda penisimde azının sıcaklığını hissetim artık penisimi azına almıştı ileri geri hareketlerle beni boşalttı ama hapında etkisi ile penisim hala dimdikti ve arzuluydum içine girmeme dayanıp dayanamayacağını sordum çıldırmış gibi izmit escort ne duruyorsun dedi yatağın kenarına onu çektim bende yataktan indim bacak arasına yaparak tek seferde hızlı bir hamleyle içine girdim çok tiz bir çığlık attı kendinden geçmeye başlamıştı içinde ben ileri geri giderek oda artık daha yüksek sesle inliyordu her
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