Tante Jacqueline Chapitre 01

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Visite et invitation

Pour Elias sa vie avait changé puisqu’il avait été décidé de changer de domicile et d’habiter dorénavant avec sa tante. Celle-ci vivait dans une petite ville distante de sa maison. Mais les problèmes de sa ville natale, avec sa criminalité et les écoles mal fréquentées avaient motivé ses parents à accepter la proposition de sa tante. En fait celle-ci était plutôt une parente éloignée, une grande-tante, du coté de sa mère.

– Et bien à Donner, il y a des écoles tout à fait convenables, je les connais toutes. Même celles qui sont gérées par des religieux. Je suis certaine qu’elles accepteraient Elias si je leur recommandais le garçon. Si vous le voulez, le peux leur poser la question. Je peux vous garantir de leur sérieux et des bons résultats de leurs élèves.

Elias sentit un frisson lui parcourir le dos. Quoi! Aller habiter dans cette ville de province et avec sa vielle tante, tellement maniérée et bardée de principes anciens. Ce serait l’horreur. C’était inimaginable d’aller vivre là-bas. A chaque séjour chez elle, surtout en l’absence de ses parents, elle devenait autoritaire et directive, intransigeante et sévère. Elle lui avait même baissé les culottes et donné une fessée il y a quelques années, après qu’il ait fait une bêtise. Il en rougissait encore de cette humiliation.

Il regarda son visage ridé et sérieux, puis détourna son attention sur ceux de ses parents qui semblaient captivés, comme si sa proposition faisait sens. Evidement ils ne pouvaient pas comprendre, n’ayant jamais vu le comportement inadéquat de la femme à son égard. Encore cette fois lorsqu’elle était arrivée, elle l’avait serré dans ses bras de manière gênante, pressant sa grosse poitrine contre lui et appuyant une cuisse entre ses jambes, la relevant et lui faisant mal, alors que les autres avaient le dos tourné. Elle lui avait coupé le souffle en heurtant ses testicules. Il rougit encore une fois et reprit le fil de la discussion.

– Mais comment cela se passe, il devrait loger à l’école, ou bien? demanda sa mère intéressée.

– Cela dépend, il y a des écoles et des pensionnats, les deux systèmes sont possibles. Selon les options recherchées, je peux déjà vous donner mon support, et si nécessaire, d’offrir le logement dans ma maison à Elias. Ma maison est grande et il a une chambre toujours prête, dit-elle en souriant chaudement.

La femme mis sa main sur la tête du garçon et lui ébouriffa les cheveux, comme si elle était complice avec lui. Elle le fixa et vit qu’il voulait protester, rejeter sa proposition, ayant attendu sa réaction, elle lui coupa la parole en donnant des détails et avec sa main sous la table, la posa sur l’intérieur de sa cuisse. Ils étaient l’un contre l’autre et la nappe masquait ce qu’elle faisait. Cela lui coupa le souffle et il devint écarlate devant son geste, écarquillant les yeux et s’assurant que personne ne voyait ce qu’elle faisait. Il sentit la main de la femme caresser le haut de sa cuisse lentement. Il ferma sa bouche, ne voulant pas attirer l’attention. Il était tétanisé, la main affectueuse de la femme l’excitait, une chaleur douce insidieuse se propageait de sa cuisse à son entre-jambe et malgré lui son pénis commença à durcir. Son comportement dominateur et possessif l’avait toujours troublé et il avait essayé de se rebeller, ce qui semblait plaire à la femme. Il avait des larmes de rage en la voyant essayer de le dominer à nouveau à ce repas, devant sa famille et sa tentative s’emparer de lui. C’était hors de question, il allait crier et tout dévoiler…repousser sa main chaude…refuser qu’elle décide de son avenir….

Il retint son souffle, espérant qu’elle ne le touche pas, essayant de trouver un moyen de la faire stopper, alors que sa verge s’était durcie entièrement, coincée par le pantalon, s’allongeant injustement sur la cuisse qu’elle caressait. Il ne pouvait pas se lever de table alors qu’ils parlaient de lui, se retournant vers lui fréquemment alors qu’ils débattaient de la question. Il avait perdu le fil de la conversation animée, faisant semblant d’être concentré sur ce qu’ils disaient. Il gémit de honte alors que la main de la femme avait ralentit en touchant le bout de son pénis durcit. Elle restât contre son gland et elle commença à pétrir sa cuisse, massant le bout de son pénis décalotté. il gémit de honte, espérant qu’elle ne le réalise pas et surtout, qu’elle ne l’expose pas à ses parents. Sa verge s’était embrasée et son gland était devenu le centre de son attention alors que la main de la femme le frottait résolument, répétitivement, entêtée. La chaleur envahit son ventre. Il paniqua soudainement en pensant qu’il allait avoir un orgasme devant tout le monde. Cela devait stopper.

– Cette situation ici doit stopper, dit-elle en tapotant sur sa verge durcie, créant la confusion avec les problèmes dans sa ville, n’est-ce pas? demanda-t-elle en le fixant. Elle avait suspendu sa caresse. Tout le monde le regardait. Il savait qu’elle le menaçait avec sa main et qu’elle lui demandait d’approuver

– ..euh….oui…je….pense aussi, s’entendit-il dire pour qu’elle stoppe sa caresse et voulant échapper aux regards.

– Il me semblait aussi que tu le pensais mais que tu étais Escort Bahçeşehir hésitant face à tes amis, après tout cela fera un changement mais tu retrouveras vite d’autres amis là-bas. En plus dans ces écoles, les élèves sont de bonne fréquentation, dit sa tante.

Cela acheva de convaincre sa mère qui ajouta enthousiaste ;

– C’est parfait alors, Jacqueline, s’il te plait regarde toutes les possibilités pour les écoles, pour qu’on puisse choisir, dit sa mère enchantée

Elias repris sa respiration. La main de la femme était toujours collée à sa verge, menaçante mais immobile, le muselant. Les plans s’échafaudaient rapidement. Il n’était plus dans la discussion. Le trouble sexuel fut progressivement remplacé par un sentiment de révolte. Il voulait crier et terminer ces discussions. Mais son pénis restait douloureusement dur et par moment se spasmait dans la main de la femme. A chaque fois elle le serrait un peu pour lui montrer qu’elle l’avait sentit.

Intrusion dans sa chambre

Aller habiter dans sa ville, et plus encore dans sa maison, était inconcevable. Il renonça à protester, son état et la main de la femme le tétanisait. Il allait devoir explique à ses parents son refus plus tard.

– …alors c’est important que je me mettes à jour, tu peux me montrer ta chambre….Elias? Elle tapota sa verge et le lâcha.

– ….euh…..oui, répondit-il essayant de comprendre la question, il avait perdu le fil de la conversation.

Ils rirent tous de sa confusion. Sa mère et sa tante se levèrent. Il les imita et fut gêné par son érection, il se tourna un peu, espérant que ça ne soit pas visible. Sa verge était douloureusement tendue et courbée dans l’habit. Il ne put pas se rajuster en voyant sa tante qui le fixait et attendait visiblement qu’il l’emmène voir sa chambre. Il fut soulagé en pouvant s’échapper des regards de tous et aller dans sa chambre.

– Venez, par ici, dit-il en lui tournant le dos et prenant les escaliers. Son visage était rouge de confusion. Il ouvrit sa porte et rentra précipitamment, espérant avoir quelque secondes pour réajuster son pénis. Mais la femme le suivait de près et ferma la porte derrière elle après être rentrée.

Il était debout, n’osant pas lui tourner le dos, sur le coté et attendit. La femme parcourra la pièce lentement. Son regard s’arrêta sur des affaires mal rangées.

– Elias, tu as toujours cette mauvaise habitude, je veux que cela change dès maintenant. Lorsque tu seras chez moi, je ne veux rien voir trainer….elle le fixa plus durement. Range ces habits, dit-elle fermement en pointant le sol.

Il était décontenancé par son ton autoritaire… il était chez lui et il n’était pas question d’aller habiter chez elle. Mais il n’osait pas la contredire, sachant que cela n’allait qu’empirer les choses, en plus son pénis ne lui laissait pas de répit. Il grommela en se penchant pour prendre les habits.

– Comment? je n’ai pas bien compris, dit-elle d’une voix menaçante.

– …euh…je….oui….bafouilla-t-il en se relevant

– Elias, tu n’as pas déjà tout oublié, tu te mets droit devant moi, les bras le long du corps, tu me regardes et tu me réponds correctement.

Il retrouva ses reflexes, qu’elle lui avait imposés lors de ses séjours à ses vacances, et se redressa et la regarda. Son pénis restait horriblement tendu et douloureux. Il savait qu’il était visible. Il leva son visage et la regarda. Elle lui semblait vieille à présent. Son visage sévère et puissant restait impressionnant et il savait qu’elle avait de la force. Sa poitrine proéminente le troublait toujours, les tétons pointant au travers du pull, son regard inexorablement attiré vers ceux-ci à chaque fois.

– Oui Madame, je vais ranger ma chambre, dit-il poliment. Il se maudit intérieurement, humilié, alors qu’elle restait silencieuse, comme pour juger de son sérieux.

– C’est bien garçon, range donc et présente-toi à moi lorsque c’est finit, dit-elle

Elias travailla rapidement, grimaçant en bougeant alors que sa verge frottait contre son pantalon. Il plia les habits avec soins, sachant ce qu’elle voulait de lui. Elle resta immobile, les jambes écartées, le toisant et suivant ses gestes appliqués.

– Voilà Madame, j’ai terminé.

Il vit la femme parcourir sa chambre, ouvrir les tiroirs de sa commode et fouiller dans ses affaires. Elle poussa des exclamations choquées au fur et à mesure

– Mon dieu….et bien!….tu as tout oublié……on va avoir du travail ensemble, dit-elle finalement sévère. Bon Elias, il est déjà tard. Je veux que tu te mettes en pyjama et que tu ailles te brosser les dents. Je profite pour faire un peu d’ordre ici, dit-elle en pointant le meuble.

– ….mais….je….bafouilla-t-il. Il s’inquiétât car il avait caché des revues pornographiques dans le tiroir du bas et en la parcourant elle allait les trouver sous ses habits. Il rougit violement en imaginant la scène qu’elle ferait en les découvrant. Il voulu lui dire d’arrêter mais il était comme paralysé, elle se comportait comme lorsqu’il habitait chez elle l’été. Lui disant quant se coucher et quand changer de vêtements.

Pourtant depuis déjà quelques années il ne se changeait plus devant elle. En Bahçeşehir Escort Bayan fait, il avait du protester avec énergie une fois, alors qu’elle le lavait entièrement malgré sa pudeur grandissante et le fait que depuis longtemps il le faisait seul à la maison. Elle s’était indignée, lui disant qu’elle avait du temps et qu’il fallait qu’il profite de sa disponibilité, qu’il n’avait pas à se gêner devant elle, ayant l’habitude des garçons et que ceux-ci avaient besoins d’être supervisés de près. Il avait cédé encore cet été, devenant écarlate lorsque la femme savonnait sa verge, le décalottant et passant sa main sur le gland. Sa verge s’engorgeait un peu plus à chaque fois. La femme l’avait remarqué et lui avait dit que c’était normal et qu’il grandissait.

L’été d’après il refusa qu’elle le lave, sachant qu’il aurait une érection et ayant découvert la masturbation, craignant un accident. Ils s’étaient affrontés, elle l’avait menacé d’appeler chez lui, et fait pression, mais il avait tenu bon. Depuis ce jour, elle le laissait seul dans la salle de bains et lorsqu’il changeait ses habits, mais il voyait que la femme était ulcérée et lui en voulait. Elle avait encore essayé avec insistance l’année d’après, le menaçant de différentes manières, mais il avait tenu bon. Là, elle recommençait, montrant qu’elle voulait reprendre le contrôle.

– Elias, tu as entendu? dit-elle plus fermement. Il sortit de sa torpeur. Il sentait son visage rouge et chaud de pudeur. La femme avait progressé et rangeait maintenant ses sous-vêtements, qu’elle plia adroitement. Il décida qu’il devait agir rapidement. Il se retourna vers le lit et sortit son pyjama de dessous les couvertures. Brusquement il retira son tee-shirt, puis son pantalon. Il enleva ses chaussettes en se penchant en avant, tournant le dos à la femme, sa verge tendue était moulée par l’habit. N’ayant plus que sa culotte sur lui il prit le bas du pyjama et l’enfila rapidement. Il profita pour faire glisser son sexe vers le bas, pour le rendre moins visible, il sursauta en entendant la femme lui parler dans son dos.

– Vraiment Elias, tu n’es pas raisonnable, cela n’a aucun sens de garder ta culotte sous le pyjama. Tu fais comme cela maintenant? dit-elle comme surprise alors que le garçon enfilait le haut.

– oui…oui..confirma-t-il ne voulant de toute façon ne pas lui montrer ses fesses. Hors de question, pensa-t-il

– Je ne suis pas d’accord, enlève-moi cette culotte tout de suite, ordonna-t-elle en en se rapprochant de lui, ses yeux lançant des éclairs.

-…je…non…c’est moi qui décide ici, dit-il d’une voix qu’il voulait ferme.

– Elias, ne soit pas puérile, soit tu m’obéis soit je te donne une fessée, dit-elle fermement.

Il la regarda estomaqué, pensant qu’elle bluffait, mais elle semblait sérieuse.

– Bien tu as gagné 15 coups de brosse. Tu peux décider maintenant de m’obéir ou en gagner encore 15.

Il s’agita, inquiet, réfléchissant qu’elle n’aurait pas les moyens d’exécuter sa menace.

– 30, dit-elle en le faisant sursauter. Et pour répondre à tes interrogations c’est une correction que tu recevras en arrivant chez moi, dit-elle en le fixant. Elle le vit pâlir et se trémousser de nervosité

– 45 Elias, c’est beaucoup, et si tu ne m’obéis pas maintenant, je te corrigerais devant Maria, ma femme de chambre.

Il devint écarlate en s’imaginant dans une position humiliante avec les deux femmes le regardant.

– Et je le ferais avec tes culottes baissées, ce qui t’exposera à Maria, et te sachant pudique, ce ne sera pas facile de la laisser voir ton pénis se balancer entre tes cuisses à chaque coup de brosse…

– …mais…mais……il s’étrangla de honte, les mots de la femme le troublaient et il ne pouvait pas répondre à ce qu’elle lui forçait à imaginer.

Elle le regarda moqueuse perdre ses moyens. Elle le savait excité et jouait avec cela. Il respirait de manière irrégulière et était comme paralysé devant elle. Elle sourit en comprenant qu’elle allait reprendre le contrôle.

– mais…de toute façon je ne viendrais jamais habiter là-bas, fit-il dit-il précipitamment, peu sûr de lui

– Et bien détrompes-toi, ta mère est enthousiaste, crois-moi cela fait plusieurs mois que je prépare tout avec elle, tu était le seul à ne pas le savoir, ce soir c’était simplement pour t’annoncer la nouvelle, dit-elle moqueuse

– non, vous mentez, dit-il murmura-t-il stupéfait

Il resta bouche-bée alors qu’elle lui donnait les détails, lui faisant comprendre que tout avait été décidé. Il était anéanti, mais cela faisant sens maintenant, leurs attitudes envers lui et ce repas inhabituel et surtout l’attitude autoritaire de sa tante. Il sentit des larmes de rage et de désespoir lui mouiller les yeux.

– mais….pourquoi vous faites ça, bredouilla-t-il, pourquoi vous me détestez autant

– Mais non, c’est tout le contraire. J’ai toujours eu de l’affection pour toi, comme si tu étais mon propre fils. Elle se rapprocha de lui et le prit dans ses bras, lui caressant affectueusement la tête et son dos. Il sanglota de plus belle, la tension et l’émotion se relachant. Il enfouilla son visage couvert de larme contre l’épaule de la femme Bahçeşehir Escort qui le tenait par la tête et le serrait contre elle.

– Là, c’est bien maintenant, ne t’inquiète de rien, je vais t’aider, je suis exprès venue pour toi. Elle saisit sa tête et l’écartat d’elle pour essuyer ses larmes avec les manches de sa chemise, comme lorsqu’il était petit.

– Chut garçon, calme-toi en voyant les larmes continuer à couler. Elle le prit par la tête et le pressa contre elle, cette fois son visage entre ses seins volumineux. La poitrine volumineuse était chaude et douce sur son visage. Il pleurait maintenant mais étrangement cela lui faisait du bien, comme si ses soucis s’effaçaient. Elle le berçait doucement.

– Je vais m’occuper de toi comme quant tu était plus jeune, tu en as besoin, je le sais. Tu vas redevenir le garçon docile et respectueux d’il y a quelque années, que j’appréciait tellement. Tu verras c’est cela qu’il te faut, tu n’es pas encore assez mûr pour décider, tu as besoin que je le fasse pour toi.

La femme l’écartat doucement d’elle et le regarda dans le yeux alors que ses mains descendaient de ses épaules sur ses hanches. Il était comme hypnotisé et paralysé alors que les mains de la femme poussaient son pyjama sur ses cuisses.

– …non….souffla-t-il faiblement

– Si garçon, tu sais que j’ai raison, et tu sais aussi que tu dois m’obéir. Elle le fixait inflexible alors que l’habit tombait à ses pieds. Il était hypnotisé par son regard alors que la femme se baissait devant lui, le tenant fermement par les hanches. Il la vit se mettre à genoux à ses pieds. Alarmé il sentit les mains glisser sous l’élastique de la culotte et la tirer.

– ..non….souffla-t-il encore, mais resta incapable de l’empêcher. Il regarda sa culotte. L’habit dévoila son pubis, puis le haut de son pénis, puis le pénis se libéra d’un coup. La femme stoppa son geste, fixant sa virilité finalement ramollie

– Tu vois, ça va mieux maintenant que tu ne luttes plus contre ma volonté, que tu acceptes, tu es détendu. Ton corps suit ton état mental. Elle le fit retirer sa culotte, le laissant nu depuis la taille.

– C’est comme cela que je veux que tu sois, lorsque tu habites chez moi, soumis à ma volonté. Son visage était à quelques centimètres de sa virilité et il sentait son souffle chaud. Elle détaillait son pénis qui s’était bien développé, allongé et épaissi. Ses testicules étaient volumineux et moulés par le scrotum. Elle réprima un sourire en voyant sa verge se tendre à nouveau.

– Tu ne pourras rien me cacher, je sais ce qui se passe dans ta tête, comme maintenant, je vois que tu résistes à te soumettre à moi, et tu te tends.

Il essaya de se dérober mais elle le tenait fermement et il était coincé par le lit qui appuyait contre ses mollets.

– Reste immobile, je veux te voir quant tu es complètement bandé.

Il sanglota alors que sa verge se dressait, impudique devant le visage de la femme. Elle l’examinait alors que le gland s’était découvert, violacé et tendu. Le membre pulsait lentement et parfois se spasmait, faisant gonfler les veines.

Elle sourit en constant sa victoire totale. Le garçon ne pouvait plus rien faire, elle avait pris le contrôle.

– Tu as grandis comme je l’espérais. Je voulais m’en assurer. C’est que je n’ai pas eu l’occasion de te voir nu depuis deux ans. A partir de maintenant ça va changer, je vais m’occuper de toi comme avant, que tu le veuilles ou non, dit-elle

Elle lui passa le bas du pyjama rapidement, recouvrant sa verge durcie et se releva.

– Chez moi, je n’accepterais que tu ais une érection seulement quant je te le dis, dit-elle en pointant sa main sur son entre-jambe. Et je veux que tu restes mou dans mes mains lorsque je te lave. Je ne veux pas d’un garçon qui a des érections à tout moment. Je ne veux pas que tu embarrasses ma femme de ménage ou bien mes amies lorsqu’elles te voient nu.

Il vit la femme se retourner et ouvrir la porte de sa chambre. Elle sortit et tenant la porte dans sa main le regarda.

– Essaye de te détendre un peu ici avant de venir nous souhaiter bonne nuit en bas, ce serait pas correct, dit-elle en riant et en pointant sa virilité qui tendait l’habit.

Il pleurait de rage et de honte alors que la femme quittait sa chambre en laissant la porte grande ouverte. Il savait qu’elle faisait cela pour l’humilier, le rabaisser et l’obliger à se taire. Elle voulait reprendre le contrôle malgré les années et sa résistance et était prête à tout pour le faire. Elle l’avait muselé et menacé puis dans sa chambre à nouveau. Elle avait ri en voyant qu’il était impuissant à lui tenir tête, malgré les années et ce qu’il pensait avoir gagné lors de leur précédentes confrontions. Elle voulait revenir en arrière lorsqu’elle décidait tout pour lui et faisait intrusion constamment dans son intimité. Elle voulait le laver comme dans le passé, réveillant son indignation et le trouble qui l’emparait les dernières fois qu’elle le manipulait longuement. Il avait fantasmé sur ces moments, rendant les séances de plus en plus difficiles. Même bien après, le souvenir du regard et de la main de la femme sur son corps nu l’avait stimulé et servit de fantasme pour se masturber. Souvent il avait imaginé la femme le forçant à faire des choses alors qu’il se branlait, le rendant encore plus honteux lorsqu’elle revenait à la charge. Il savait que la femme avait comprit son ambivalence et en profitait pour le soumettre à elle.

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Manon en Enfer 32

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Panties

EST CE LE BOUT DU TUNNEL

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Cela fait maintenant plus de deux ans et demi que Manon est contrainte à se prostituer et ses ébats sexuels sont nombreux.

Le DRH et Bernard le directeur commercial de la société qui emploie son mari se servent d’elle comme appât en l’offrant à leurs clients dans le but de gagner des parts de marché et d’obtenir de meilleurs contrats.

Bernard et le DRH offrent aussi Manon à leurs amis, ainsi qu’à des personnes de leurs familles et elle sert également de récompense pour des joueurs de foot de l’équipe que la société sponsorise.

Lors des rapports sexuels que les hommes soient corrects, vicieux ou sadiques n’a pas d’importance, Manon doit tout accepter.

Pour meubler son temps libre quand ils n’ont pas besoin d’elle pour des relations sexuelles ils la font tapiner au bord d’une route nationale pour un rapport journalier qui ne doit pas être inférieur à six cents euros et que ses souteneurs se partagent.

Au début le moyen de pression sur elle était la pérennité de l’emploi d’André son mari, ensuite ils sont passés au chantage la menaçant de révéler qu’elle se prostituait. Elle a peur des dégâts que pourrait faire la révélation de ses très nombreux ébats sexuels filmés avec des hommes (au nombre variable) et même ses relations lesbiennes, une chose qu’elle a du faire à contre-cœur.

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Tentative de mettre fin au cauchemar

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Il est maintenant prévu que Manon exerce le métier de prostituée dans des pays étrangers avec des séjours plus ou moins longs.

Sachant que son couple va obligatoirement voler en éclat elle est perdue et n’en peut plus. Tout ce qu’elle prend comme médicaments pour tenir n’arrange pas sa santé.

Il est temps pour elle de tout tenter afin de trouver une solution pour que tout ça s’arrête. Sortir des griffes de ces personnes sans scrupules devient vital.

Depuis un bon moment à l’instigation de son amie Laura, une femme à l’imagination débordante, un plan a été mis au point et s’il fonctionne il est susceptible de la sortir de cette situation.

Bien qu’elles ne soient pas sures que ça va marcher mais comme Manon n’en peut plus, il leur faut maintenant agir.

Laura se démène depuis un moment et s’active l’aidant dans le but de récolter des preuves contre les responsables de la déchéance de son amie.

Cela fait plusieurs mois que Laura surveille les clients de Manon. Quand ils quittent l’hôtel elle en suit certains pour savoir ou ils habitent et où ils travaillent. Elle prend beaucoup de photos.

Laura aborde certaines personnes se faisant passer pour une avocate, elle les interroge et les menace parfois seule mais aussi souvent accompagnée d’un ami qui n’hésite pas à exhiber une fausse plaque de police.

Les personnes Interrogées se montrent en général très bavardes après que Laura les aient menacées de révéler à leur patron et leur femme ce qu’ils faisaient, sans parler de la menace de garde à vue et de passer au tribunal.

Par crainte de perdre leur travail et conscients des conséquences de leur infidélité si leur famille l’apprend, ils n’ont pas révélé à ceux qui utilisent Manon que Laura enquête sur eux ni l’existence des conversations.

Les deux femmes ont fini par monter un beau dossier.

La mini carte SD mise dans le portable de Manon a permis d’enregistrer les conversations entre elle, le DRH et le directeur commercial de la société ainsi que les communications de l’unique numéro qui appelait.

Pendant environ 3 mois Manon s’est rendue aux rendez-vous avec sa propre mini-caméra qui a filmé les ébats et enregistré les sons.

Certaines conversations sont sans équivoque concernant le rôle du DRH et celui du directeur commercial, le chantage exercé contre Manon est facile à démontrer.

Le réceptionniste de l’hôtel ou Manon se prostitue le plus souvent est tout aussi coupable car c’est lui qui s’occupe de la caméra qui filme Manon et c’est aussi lui qui remet les cartes SD à Bernard le directeur commercial quand elle sont pleines. Menacé par Laura et le soi-disant policier qui l’accompagne il a fait un témoignage par écrit et remis le double des enregistrements vidéo qu’il faisait de Manon avec ses amants pour son usage personnel.

le plan mis au point par Laura avec Manon se concrétise et permet de contre-attaquer après avoir réuni suffisamment de preuves.

Manon demande un rendez-vous au DRH de la société.

Bien qu’il soit récalcitrant, prétextant qu’elle n’a qu’à faire son travail de putain et lui foutre la paix, il finit par accepter de la recevoir après plusieurs appels téléphoniques quand elle lui dit qu’elle a une idée pour démarcher de nouveaux clients et améliorer les ventes de la société.

Manon s’habille comme d’habitude quand elle ne se prostitue pas, c’est à dire sexy mais pas pute. Laura se coiffe et enfile Escort Esenyurt un costume loin d’être sexy pour avoir l’air sérieuse.

Laura tient dans une main une serviette dans laquelle elle a mis des documents et un ordinateur portable.

Arrivées sur les lieux les deux femmes se présentent à l’accueil. L’hôtesse téléphone au DRH pour lui dire que Manon est arrivée.

Pendant que Laura reste dans le hall et fait semblant de téléphoner, son amie se rend dans le bureau du DRH.

Manon frappe à la porte du bureau du DRH.

– entres –

Elle ouvre la porte, pénètre dans le bureau et referme la porte.

– bonjour monsieur, merci de me recevoir –

Sur de son pouvoir il apostrophe Manon.

– avant tout je ne parle pas à une putain tant qu’elle est habillée, tu es une chienne alors comportes toi comme telle –

– pas maintenant monsieur, je viens pour parler et vous proposer quelque chose –

-tu te déshabilles tout de suite, ensuite tu me raconteras ce qu’est ton idée et enfin tu me videras les couilles avant de disparaître de ma vue –

– bien monsieur –

Manon se met nue sans se presser puis attend immobile.

– à genoux, c’est la position pour une chienne comme toi. Avance à quatre pattes jusqu’à mes pieds puis tu lècheras mes chaussures –

Elle obéit, elle creuse les reins puis avance à genoux en direction du bureau.

En réalité pendant ce temps Laura écoute ce qui se passe car leurs deux portables sont allumés et communiquent.

Sans frapper elle ouvre la porte du bureau du DRH, la surprise de la voir apparaître est totale pour lui.

– bonjour monsieur, excusez moi je suis en retard, il a fallu que je règle une affaire urgente –

Laura regarde vers le sol.

– que fait ma cliente nue et à genoux dans votre bureau –

Après un moment de stupeur et de gêne le DRH répond.

– c’est un jeu entre nous mais vous qui êtes vous et pourquoi entrez vous comme ça dans mon bureau sans frapper, nous n’avons pas rendez-vous –

– je me présente: maître Chevalier, je suis l’avocate de madame Manon Colson –

– en quoi ça me concerne –

Laura essaie de faire preuve d’aplomb.

– rhabillez vous madame Colson, vous n’êtes pas une chienne pour être traitée ainsi et asseyons nous pour parler de ce qu’il vous font subir depuis au moins deux ans et demi –

– je ne comprends pas, sortez d’ici –

-calmez vous monsieur vous n’êtes pas en position de nous envoyer au diable, sauf si vous voulez que l’on se mette à parler fort dans les couloirs de ce que vous faites subir à cette femme –

Le DRH hésite sur l’attitude à prendre.

– Manon expliquez ce que vous reprochez à ce monsieur –

– au départ lui et le directeur commercial ont exercé un horrible chantage sur moi menaçant de licencier mon mari si je ne me prostituais pas auprès de leurs clients afin de leur faire signer des contrats intéressants ensuite ils en sont venus à me menacer de révéler à mon mari que je me prostituais pendant ses absences –

Le Drh est rouge de colère et vocifère.

– c’est faux, elle délire. Cette putain tourne autour de ma clientèle et couche avec tout le monde –

– ah oui! vous m’étonnez, arrêtez d’insulter ma cliente. Nous avons beaucoup de preuves: des photos, des vidéos, des enregistrements de conversations téléphoniques ainsi que les témoignages de certains de vos clients –

Il pâlit et elles voient bien qu’il est décontenancé.

– c’est du bluff vous n’avez rien car il n’y a rien à nous reprocher, je ne vois pas de quoi vous parlez –

– cessez de fanfaronner, je vais vous montrer des photos édifiantes et vous faire écouter des échantillons de tout ce que nous avons amassé comme preuves –

Après avoir posé des photos sur le bureau Laura sort son ordinateur et l’allume. Elle clique sur un fichier qui le concerne et daté d’un des jours ou Manon a du le satisfaire sexuellement à l’hôtel.

Ensuite elle clique sur un autre qui concerne le Bernard le directeur commercial. Pour finir elle lui fait écouter des enregistrements de conversations téléphoniques.

Elle sort de sa serviette une grosse pile de documents ( beaucoup n’ont rien à voir avec l’affaire dont elles parlent) et lui en montre un provenant d’un client de sa société.

– notre dossier est édifiant et confirmera au tribunal l’objet, je peux dire les objets de la plainte que nous allons déposer en sortant d’ici –

Le DRH est blême maintenant, ses mains tremblent.

– Nous allons porter plainte contre 3 personnes de votre société: vous, Bernard le directeur commercial et Marvin le chef de production pour chantage, intimidation, menaces, violences, incitation à la prostitution et proxénétisme –

Il reste la bouche ouverte à regarder les deux femmes.

– j’oubliais, le réceptionniste de l’hôtel où vous envoyez madame faire le sale travail en couchant avec vos clients ou autres personnes n’a pas été avare en renseignements, je peux vous faire écouter les enregistrements pour vous rafraîchir la mémoire –

Le Esenyurt Escort Bayan DRH reste encore un moment bouche-bée et son visage se décompose encore plus, il se ratatine sur son fauteuil et les mots sortent difficilement de sa bouche.

– ce ne sera pas nécessaire. On peut discuter et s’arranger –

– nous ne voyons pas pourquoi nous discuterions, ni de quoi –

Pendant un bon moment Laura reste ferme et refuse toute négociation, ne parlant que de plainte et de tribunal avant de finalement commencer à infléchir sa position.

– maître je pourrais vous proposer un arrangement après avoir étudié vos demandes –

– vous savez que vous n’avez pas le choix et d’abord le mari de madame doit retrouver un poste où il puisse rentrer chez lui tous les soirs avec une promotion et ne plus être menacé de licenciement –

– c’est faisable, je m’en occupe cette semaine –

– il ne doit plus côtoyer Marvin le chef de production car sa malhonnêteté est l’origine de ce désastre pour ma cliente –

– une mutation est envisageable –

– ce n’est pas suffisant, dans un premier temps nous exigeons aussi une rétrogradation pour cet homme –

Après avoir rechigné il accepte disant qu’il trouvera un motif et que l’homme sera réaffecté à un poste des simple monteur.

Laura demande au DRH de faire venir Bernard le directeur commercial et exige que celui-ci amène tous les films concernant Manon. Elles attendent sans parler que Bernard arrive.

Il est surpris de voir Manon assise devant le bureau, il pâlit et est de plus en plus mal à l’aise au fur et à mesure que Laura “l’avocate” parle et surtout que le DRH lui explique dans quelle situation ils sont avec le risque de prison, la perte de leur emploi, leur réputation salie et leur famille qui va voler en éclats.

Laura récupère le paquet que Bernard a posé sur le bureau et l’ouvre, le nombre de cartes CD qu’il contient est impressionnant.

– vu ce qu’il y a la dedans je vois que vous n’avez pas fait de cadeaux à ma cliente, ses fesses ont beaucoup servi et cela uniquement dans votre intérêt –

Les deux hommes mal à l’aise sortent des explications vaseuses.

– bon vous allez régler facilement le problème de monsieur Colson et pour madame qu’allez vous faire –

– comme elle n’est pas salariée de la société, nous nous engageons à la laisser tranquille –

– c’est maigre vu le préjudice moral et physique subi sans parler de son couple qui ne va plus bien, il n’est pas question que vous vous en tiriez par une simple pirouette –

– nous ne voyons pas quoi faire, que suggérez vous –

– d’abord que chacun de vous me remette un document reconnaissant ses torts avant que nous ne quittions ce bureau –

– ne nous demandez pas ça, vous vous rendez compte de ce que cela implique –

– oui! avez vous eu pitié de cette femme que vous traitiez de putain et que vous avez prostituée sans états d’âme. C’est non négociable –

– ensuite que voulez vous –

– qu’elle reçoive une compensation au moins égale à la période ou vous l’avez prostituée, la somme doit comprendre des congés payés –

– je ne peux pas lui donner un salaire sans qu’elle soit salariée de l’entreprise –

Se sentant en position de force Laura en remet une couche.

– vous devez d’abord lui donner tout ce qu’elle a gagné en tapinant au bord d’une route, pour ça nous connaissons le nombre de jours qui sont à multiplier par six cents euros –

– nous ne voyons pas comment calculer la somme que vous attendez –

– c’est facile à calculer. Monsieur Bernard nous vous demandons de nous remettre sans arracher de pages le cahier sur lequel toute l’activité de madame colson est notée, cela va du premier jour jusqu’à aujourd’hui –

– quel cahier –

– ne faites pas l’innocent, vous avez eu le tort de le montrer à plusieurs de vos amis qui n’ont pas hésité à en témoigner par écrit Donc vous connaissez exactement ce que vous devez à ma cliente –

– d’accord mais une bonne partie a été dépensée, on va devoir s’arranger –

En position de force une pensée vient dans la tête de Laura, elle tente un coup de poker.

– on va aussi parler de ce que vous avez touché en vendant les films dans lesquels on voit ma cliente en action, les sommes ne doivent pas être négligeables –

Ils tombent dans le piège, Laura avait visé juste.

– nous n’avons pas comptabilisé ce que nous avons gagné –

– mensonge! les sociétés qui diffusent ce genre de film vous ont donné des factures donc vous devez reverser tout ce que vous avez touché à ma cliente et ensuite l’indemniser comme-ci elle avait été votre meilleure commerciale ce qui est d’ailleurs le cas –

– c’est impensable, nous ne voyons pas comment trouver autant d’argent –

– déjà sur vos comptes personnels. Sinon débrouillez vous, faites un emprunt, vendez vos maisons ou faites autre chose mais indemnisez ma cliente en liquide si vous voulez tout comme elle le souhaite que cette affaire reste entre nous –

– nous allons en parler entre nous Esenyurt Escort et voir ce que nous pouvons faire –

– d’accord nous revenons vous voir dans une semaine, si l’arrangement ne nous convient pas nous irons directement déposer une plainte car ma cliente dont l’honneur a été bafoué n’a plus rien à perdre dans l’état où est maintenant sa santé sans parler de son couple à cause de vous –

– revenez mercredi prochain à 14 heures –

Les deux femmes quittent le bureau avec les confessions des deux hommes.

Elles sont sures qu’il vont se renseigner sur la qualité d’avocate de Laura, c’est un nom qu’elle a emprunté après l’avoir lu sur la plaque d’un cabinet d’avocats.

En fin d’après-midi Manon rencontre par hasard (?) Marvin le chef de production quand il sort de la société, elle l’aborde et le baratine lui disant qu’elle regrette de ne pas avoir été assez conciliante avec lui quand il l’a emmené tapiner en bordure d’une route nationale une première fois puis quand il est venu la punir. Elle lui affirme qu’elle comprend sa position.

Lui disant qu’elle veut des relations apaisées avec lui et qu’elle est prête à le prouver elle l’entraîne dans un coin discret du parking puis elle se jette à son cou et l’embrasse.

Elle caresse son sexe puis prend la main de l’homme et la pose sur son sexe sous sa jupe, tout ça en veillant à ce que ces gestes soient bien visibles.

Ensuite elle s’adosse contre un mur, relève sa jupe et écarte son string, Marvin se colle contre elle et la pénètre puis fait aller et venir sa queue jusqu’à ce qu’il éjacule dans le vagin de Manon qui le repousse.

– tu n’aurais pas du me faire ça, maintenant ça va couler et tâcher mes vêtements. dégages tu n’es qu’un porc –

Marvin ne comprend pas le revirement de Manon et la menace d’en parler au DRH et à Bernard.

– parles en à qui tu veux, je n’en ai rien à foutre connard –

– tu vas le regretter, attends toi à ce que le DRH ne te fasse pas de cadeaux et là je vais m’occuper de toi et crois moi tu vas beaucoup souffrir car tu ne sais pas jusqu’à quel point je peux être violent –

En colère il se dirige vers son véhicule pendant qu’elle s’éloigne.

Postée un peu plus loin Laura a pris le couple plusieurs fois en photo. Elle a donné rendez vous à son amant du moment qui coopératif se rend au domicile de Marvin et rencontre sa femme.

– madame vous pouvez dire à votre mari de laisser tranquille mon épouse même s’il n’est pas satisfait sexuellement avec vous ce n’est pas une raison pour voler la femme des autres comme il a l’habitude de le faire -.

Elle s’indigne. Il lui donne les photos que Laura à prises puis s’en va.

Les deux femmes pensent que s’en est fini du couple de Marvin et ce n’est que justice car il est à l’origine de la déchéance de Manon à cause de son mensonge et de sa manipulation, s’il avait été honnête rien ne serait arrivé.

Ensuite les deux femmes se déplacent dans la région parisienne et vont menacer les dirigeants de la société qui a acheté des enregistrements des ébats de Manon.

Il leur faut beaucoup insister et menacer pour que leurs interlocuteurs détruisent les films et suppriment ce qui est déjà en ligne sur leurs sites.

Les deux femmes sortent des bureaux de la société leur laissant le soin de se retourner contre ceux qui leur ont vendu illégalement les enregistrements.

Lorsque elles se rendent la semaine suivante dans les bureaux de la société les deux compères sont là à les attendre, elles voient tout de suite que n’ayant pas trouvé de parade ils ne sont pas très rassurés.

Ils les avisent d’abord qu’André le mari de Manon a été informé qu’il allait remplacer le responsable du SAV qui part en retraite dans deux mois avec une belle augmentation de salaire et fourniture d’une voiture de fonction.

Les deux coupables ont sorti en liquide une belle somme qu’ils remettent à Manon, les deux femmes ne cherchent pas à savoir de quels comptes cela provient.

La somme n’étant pas suffisante vu le préjudice subi, après discussion, ils s’engagent à contracter un prêt bancaire et à verser à Manon rapidement par l’intermédiaire de Laura une somme conséquente.

Ce que les deux hommes n’ont pas vu c’est qu’à chaque entretien avec eux elles ont enregistré les conversations.

En quittant la société Manon est soulagée et pour la première fois depuis longtemps elle sourit et a une mine radieuse.

Les deux copines très complices vont fêter ça dans un bon restaurant en bord de l’océan sans regarder à la dépense.

Après un repas arrosé au champagne Manon et Laura sont un peu pompettes. Elles se promènent dans le centre ville à La Roche-Sur-Yon et atterrissent finalement dans un bar.

Un peu folles elles parlent beaucoup et surtout rient un peu fort ce qui attire les regards des autres consommateurs.

Au bout d’un moment deux hommes s’approchent d’elles.

– pouvons nous vous offrir un verre et nous assoir à votre table –

Elles se regardent.

– pourquoi pas –

Chacun et chacune se présente puis elles passent un moment avec les deux compères qui se nomment Axel et Valentin.

Après un moment La discussion sort du cadre général pour dériver sur le sexe, les deux femmes jouent les vierges effarouchées mais sans convaincre.

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Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 06

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Babes

Chapitre 6 – Analement votre –

Les deux derniers samedis endurés en leur compagnie avaient été plus tranquilles. Enfin quand je dis tranquille tout est relatif, car ils les ont passés à assouvir leurs envies. Mike tout particulièrement qui n’a cessé de me rappeler et me faire comprendre que « mes deux petits trous de salope » étaient à leur disposition quand et comme ils le voulaient!

Même en pleine préparation culinaire, son hobby où il ne faut jamais le déranger, pendant que je tenais le rôle de son assistante, vous savez la potiche qui présente les ingrédients dans les émissions télé (plus pour la courbe de son Q que pour celle de son QI!). Alors qu’il jouait au maître queux, il m’a prise contre la table, les seins dans la farine, au beau milieu de la réalisation de sa tourte au poireau.

La farine a fait son office, je n’ai pas accroché à la table! J’ai, par contre, fini la préparation les cuisses toutes collantes par son foutre!

Ma précédente épopée gastronomique, ce voyage au pays des saveurs et autres piments, n’a pas laissé trop de traces. Souvenez-vous il y a 3 semaines cette initiation à l’équitation … à cheval sur une corde! Mon sexe est quand même resté très sensible pendant quelques jours! J’ai évité, inconsciemment sûrement, le rayon condiment / sauce piquante depuis lors de mes courses, allez savoir pourquoi!

Paul, quant à lui, ne m’a pas épargné ses odieuses positions humiliantes, ce rituel de début de rencontre m’exaspère! Ce salaud déborde d’imagination pour me mettre mal à l’aise. J’ai supporté le premier samedi au coin, jupe relevée derrière tenue par une pince à linge, les mains sur la tête, alors que je n’avais pas raté mes devoirs! Et lors du second, une posture plus vicieuse qui m’a carrément cassé les jambes pour le reste de l’après-midi. Une vraie attitude de sumo avant le combat avec mes jambes écartées, en position assise dans le vide, les mains sur les cuisses et le bas de ma robe coincé entre mes lèvres!

Depuis 15 jours il me harcèle régulièrement pour connaître l’état du compte à rebours, m’obligeant parfois à me réfugier aux toilettes du taf pour consulter en toute quiétude l’application! Il varie ses messages et sait là aussi faire preuve d’inspiration. Ses quelques bons mots ou allusions finissent souvent par m’agacer et parfois je n’hésite pas à l’envoyer c… pour bien lui faire comprendre mes sentiments.

Mais depuis quelques jours à chaque consultation, en découvrant cette échéance si proche, mon estomac se noue, j’en arrive même parfois à avoir de petites suées! Et oui je suis stressée à l’idée de le perdre!

Hier soir, vieille de mon premier week-end complet chez lui, j’ai opté pour une soirée ciné entre copines pour me détendre. Une superbe séance en compagnie d’un Joachim Phénix admirable dans cette succulente composition de ce nouveau Joker! Nous étions en plein débat d’après film, toutes subjuguées par la performance de l’acteur, dans le pub de mes déboires (je n’y avais pas remis les pieds depuis la fameuse soirée, pourriiiiiiiie, en compagnie de Paul et Mike! Je me voyais mal refuser le lieu à mes amies sous ce prétexte!) qu’un funeste « tic tac tic tac » apparaît à l’écran me projetant au lendemain. Je joue ma muette ne voulant pas gâcher la soirée!

Acte 1 – vendredi – home sweet home

—–

Paul est impatient de ce 1er week-end, depuis plusieurs jours une sourde excitation le taraude, il ne l’avait pas été autant depuis fort longtemps! Il l’a préparé avec minutie, ajustant les moindres détails, anticipant ses réactions, imaginant les situations, s’en délectant par avance …

Il a été agréablement surpris qu’elle accepte aussi facilement le piercing, est-elle vraiment plus docile qu’elle ne le laisse paraître? A-t-elle ça en elle, bien cachée, profondément enfouie sous ces nombreuses années d’éducation bourgeoise? Ces prémices sont encourageantes, il va falloir faire émerger cette qualité, la faire progresser et lui révéler sa vraie nature! Un challenge, un chemin aussi long qu’excitant.

Il va ajouter quelques règles de vie et vérifier que les autres sont toujours bien ancrées en elle. Il n’en doute pas, mais il a noté qu’elle n’était pas retournée à la piscine depuis sa visite chez Christian (le pierceur), prétextant des piercings trop voyants sous son maillot de bain moulant qui questionneraient ses amies. Il a été obligé de lui rappeler fermement la semaine dernière de ne pas changer ses habitudes et de continuer à y aller, seule si cela l’arrangeait. Un petit selfie devant le grand bassin en milieu de semaine l’a rassuré, elle avait compris le message!

—–

J’ai eu tout juste le temps de repasser chez moi après le boulot pour me changer. Ce midi son dernier texto avait été très clair, je dois cette fois venir dans une tenue correcte, me mettant en valeur et devant lui plaire! Je m’étais, depuis quelques samedis, efforcée de les rendre aussi effroyables que possible, me surprenant même par mon imagination! Mais Escort Esenyurt si mon nouveau style campagnard l’avait amusé au départ, j’avais senti la semaine dernière un certain agacement au ton commentant ma parure!

À peine arrivée en fin de journée qu’il m’a débarrassé du petit sac qui m’accompagnait pour l’enfermer dans un placard. Bien sûr il m’avait précisé de venir les mains dans les poches, mais je n’avais pu m’empêcher de prendre quelques affaires de rechange et la trousse de toilette de survie nécessaire à toute jeune fille bien éduquée!

Là, je joue à la gymnaste, dos à son canapé, les mains touchant mes sandales marines, cuisses écartées, la robe à volant bleu pastel tombant sur les seins, découvrant une paire de bas noirs et une culotte dentelle assortie en partie transparente que Paul m’a enfoncée entre les fesses pour détacher ma croupe!

Après une demi-heure passée à me refaire le film du Joker, tout en lui offrant une magnifique vue sur mon hémisphère nord, il me félicite sur ma tenue … avant de me demander de l’enlever! Je le suis ensuite dans une chambre attenante au salon les bras encombrés par mes affaires.

— Tes nouveaux appartements, je te laisse les découvrir et en prendre possession! me les présente-t-il d’un geste auguste.

Une pièce très spacieuse me fait face, au ton pastel, au grand lit recouvert d’une couette épaisse (un véritable appel aux nombreuses grasses matinées paresseuses!), aux murs décorés par quelques tableaux : une mer déchaînée d’une pointe du Raz submergée par la houle et les embruns d’une tempête hivernale captée par un célèbre photographe. Un grand Kandinsky sur le mur face au lit, j’adore cet artiste, son style, sa vision, ses formes, j’ai surtout un faible pour sa période art abstrait dont est issu celui-ci. Je me plais à penser qu’il est là pour moi, mon côté pétasse nombriliste!

Au-dessus du lit, le « Rouge », de Georges Mathieu, un artiste que je ne connaissais pas, lui aussi du mouvement expressionnisme, enrichit la collection. Une fenêtre donne sur le parc à l’arrière de la maison, je n’ai pas encore eu le droit de le visiter, mais comme je me balade à poil chez lui, je ne suis pas pressé dans cette période automnale d’aller faire un petit tour à l’extérieur!

Une salle de bain individuelle avec tout le nécessaire et une petite pièce adjacente formant le dressing-room complète le luxe de mes appartements. Je fais ma curieuse et écarte le pan de la penderie, quelques cintres sont garnis de robes aux divers tons de rouge, un vrai maniaque, que j’ai pour certaines déjà portées.

En y accrochant la mienne je reconnais le cintre utilisé il y a quelques semaines sur mes tétons, je réprime un frisson et évite son regard envieux de revenir prendre possession de mes seins. Plus libre là mes tétons!! Je l’écarte et en choisis prestement un autre pour ma robe!

Je farfouille dans ce qui m’apparaît comme un véritable hymne à Dita Von Teese, découvre dans une tripotée de tiroirs le sac à main, la collection de rouge à lèvres, de nombreux ensembles de lingerie en dentelle, bustiers, bodys, guêpières …, en tout genre. De grands talons aiguilles aux formes d’avaleuse de trottoir tiennent compagnie à quelques paires de Stilettos et autres escarpins hauts perchés. Je referme rapidement le dernier tiroir en y découvrant le bâillon boule!

Toutes ces toilettes semblent, en plus, être à ma taille et ont l’air de n’attendre que moi pour prendre vie! Je dois reconnaître qu’il sait recevoir, je suis médusée devant cette garde-robe aussi bien étoffée. Une nouvelle fois un petit sentiment de fierté me traverse l’esprit en pensant que tout était là pour moi, comme si c’était mon style!

— J’y ai même rangé tous tes jouets, tu notes qu’il reste beaucoup de place pour en accueillir de nouveaux! Tu pourras essayer tout ce qui s’y trouve dans tes moments libres, mais pour l’instant le dîner est servi!

Je ne l’avais pas entendu arriver absorbée par ce que je découvrais dans cet immense dressing.

— Elles sont toutes à ma taille? lui demandé-je en désignant les robes, mais il est déjà reparti!

Nous passons un repas studieux, moi tout particulièrement, répétant entre chaque bouchée les règles de bonne conduite et de tenue que je devais appliquer! Il constate avec satisfaction que ma mémoire est toujours aussi efficace en lui récitant celles émises lors du contrat comme « avoir le sexe toujours fraîchement rasé quand je viens le voir » … et que je sais intégrer aisément les nouveautés comme celle « de porter des toilettes agréables et soignées pour nos rencontres »!

La suite l’est tout autant, studieuse, mais pour d’autres raisons, sur la 5 un documentaire « la vie sexuelle des manchots du Grand Nord en pleine aurore boréale » retient son attention, tout un programme! Deux heures de grand froid pour eux et de désarroi pour moi!

Car je les passe avec la queue de Paul dans la bouche! Lui confortablement installé dans son canapé en peignoir de bain, détendu du gland. Esenyurt Escort Bayan Moi à genou devant lui, la tête entre ses cuisses, les mains dans le dos, le nez écrasé dans ses poils, ses couilles contre le menton, la respiration difficile avec sa bite prenant toute la place dans mon suçoir!

Je tente de résister, m’efforce de tenir la position, mais sans autre appui que ma bouche je fatigue rapidement et me retrouve avachie, les seins écrasés contre le canapé, la tête tentant désespérément de trouver une posture moins désagréable sans jamais vraiment y parvenir!

— Alors comment trouves-tu ce documentaire? Tu crois vraiment que c’est parce qu’ils serrent les fesses qu’ils ont cette démarche si particulière les manchots?

Qu’est que j’en ai à battre de la marche de l’empereur! Sa queue vit et vibre dans son nouveau fourreau et m’oblige régulièrement à ajuster ma posture sous peine de la voir m’étouffer en prenant ses aises. Je la suce de temps en temps sur son ordre, toujours sans la sortir de son antre, cela serait rédhibitoire à la réussite de ma soirée selon lui, suggérant ainsi qu’elle pourrait mal se terminer dans ce cas.

Alors je lutte, je combats au mieux cette foutue envie de la lâcher, de la mordre, de m’octroyer une pause, de récupérer mon minimum d’espace vital, de lui cracher à la face du gland, de l’insulter copieusement, de retrouver une bouche libre et non asservie!

Seuls quelques grognements sourds répondent à ses questions sans intérêts! Il est au pays des manchots et moi à celui du gland chaud! Occupée à réchauffer un iceberg qui passe son temps à me montrer toute son ampleur.

Après avoir joué une bonne heure au yoyo dans ma bouche, sa queue m’offre une première giclée abondante et vient récompenser la douceur de ma langue experte (Paul dixit). J’espère en avalant difficilement tout son foutre avoir atteint l’apogée de la soirée et qu’il me libère de ma tâche. Mais la paluche qui force ma tête à accompagner la débandaison de son chibre me fait vite perdre espoir et me replonge dans la noirceur de ses poils!

Je couine, râle, soupir, tente de lui faire comprendre que j’étouffe, je le supplie d’abréger, essaie de le convaincre de l’intérêt du documentaire pour ma culture personnelle …, mais il n’est pas facile de parler la bouche pleine!

Pour toute réponse il me caresse la tête, joue un peu avec mes cheveux comme avec un animal à ses côtés, commente une levrette chez les manchots, note le sensationnel de la scène pour cette figure de leur kamasutra rarement usitée. Il m’attache même les mains avec la ceinture de son peignoir, trouvant que je tentais de m’en servir trop souvent pour soulager ma position.

Ce n’est qu’après avoir reçus une seconde bordée tout aussi généreuse et difficile à avaler, pris soin de bien nettoyer, comme vivement recommandé, ce braquemart fraîchement essoré, embrassé mainte fois ce gland pour le remercier de ses dons copieux et réguliers, comme gentiment conseillé, que Paul m’autorise à la lâcher. En arrière-plan le jingle d’une page de pub sonne la fin de mon calvaire!

Je peine à me relever, la mâchoire à moitié bloquée, le cou tendu, les seins martyrisés par ces deux heures de compression, j’offre un plein d’air frais à mes poumons reconnaissants, reprend mes esprits et vais pour l’incendier, mais …

— Alors comment c’était cette apnée? N’arrêtes pas la piscine surtout sinon tu n’auras plus le prix Jacques Mayol de la bite! rigole-t-il, on peut en faire des choses quand même avec une petite bouche!

— Vous savez ce qu’elle vous dit ma bouche!

— Tu as apprécié j’espère (?) moi je t’ai trouvé à ta place, comme une bonne femelle au service du mâle, servant de fourreau à cette queue qu’elle se doit de vénérer. Je suis sûr que tu rêves de passer tes soirées en sa compagnie!

— Vous êtes complètement taré, purée j’ai la mâchoire en vrac avec vos conneries!

— Pourquoi, c’est le côté fourreau à bite qui t’a dérangé ou c’est ta conscience de végane qui a du mal à accepter un morceau de viande aussi longtemps dans la bouche?

Acte 2 – samedi – Objectif lune

Je me réveille vers 9h30, la soirée ayant été plus humiliante que chargée je n’ai pas vraiment besoin d’une vraie grasse matinée, même si j’adore ça. Je reste cependant flâner encore une bonne demi-heure bien au chaud sous cette couette moelleuse à souhait avant de me lever, Paul m’a simplement précisé d’être prête pour midi.

J’ai dormi nue, ma tenue obligatoire chez lui, une première, pas désagréable du tout, mais c’est un peu particulier de sentir le frottement de la couette sur son corps à chaque mouvement dans le lit. Cela en serait presque un peu excitant à force.

Un petit fond de jazz m’accueille en arrivant dans le salon, je ne vois pas Paul, mais découvre un copieux petit déjeuner qui semble n’attendre que moi. J’en profite, debout forcément!

Après une petite douche pour finir de me réveiller, comme il n’est toujours pas rentré, je flâne Esenyurt Escort un peu dans la maison. L’étage m’est interdit, alors j’essaye d’ouvrir quelques portes encore inconnues du grand salon sans grande réussite! Cette partie de la maison restera pour l’instant encore un mystère.

Une grande baie donne sur le parc, un peu de vie animale, quelques oiseaux, le passage fugace d’un écureuil et le martèlement d’un pivert qui rythme ce tableau de nature. Je réalise que moi aussi je le suis, nature, j’ai un petit mouvement de recul pour m’extraire du regard d’un éventuel voyeur, je ne suis pas exhibitionniste! Mais face à moi ce parc entouré de grands pins n’offre aucune possibilité de voir la maison!

Mes envies de curieuse ne sont pas rassasiées, j’avoue c’est un de mes défauts! J’explore alors un peu le contenu des meubles, y dégote une chaîne hi-fi avec un tourne-disque, un ancêtre, à côté une belle collection de vinyle où Brel et Brassens tiennent compagnie à Barbara, Moustaki et Ferré.

À côté, un versant plus moderne composé d’une série de cd où domine très largement le pop rock des années 70 / 90, Paul remonte un court instant dans mon estime. Une 3ème partie est consacrée à sa marotte pour le jazz, c’est moins mon style, mais je reconnais quand même quelques grands noms.

Je décide de remplacer le jazz par un petit Prince de la grande époque avec son album Purple Rain, la qualité du son est magnifique et je pousse un peu les enceintes. Je m’assois sur le tapis moelleux devant le meuble pour continuer de découvrir sa collection musicale.

Oui « mon postérieur n’a pas le droit de connaître la douceur des sièges de la maison », une des règles édictées par Paul. Je peux seulement m’asseoir par terre en tailleur ou me mettre à genou, c’est assez limité et inconfortable malgré la présence de quelques tapis épais.

Une petite tornade vient briser la quiétude de cette fin de matinée, Paul vient d’arriver les bras couverts de paquets et courses en tout genre.

— Alors la petite femelle a-t-elle bien profité de sa première nuit à la campagne?

— Oui, la nuit a été très agréable, merci Mr.

— Bien ce Prince pour se réveiller, tu as du goût même si un petit Elton John aurait été plus adapté à la thématique de la journée!!

— Pourquoi Elton John?

— Et bien tu sais lui aussi aimait la sodomie!

No comment!

Acte 2 – samedi – « Allô Houston »

Mike nous retrouve pour le repas, il n’avait pu être que de passage la semaine dernière, j’ai dû lui manquer, car sa main ne quitte pas mes fesses pendant cet encas!

À l’heure du café, il s’empresse d’aller brancher mon téléphone sur la télé. Il ouvre l’application et le décompte s’affiche en grand et en toutes lettres. J’avais un peu réussi à m’évader de cette échéance ce matin bercée par Prince, mais à un peu plus d’une heure de la perte de mon dernier pucelage ma boule au ventre revient à toute vitesse!

Un petit plug, abondement lubrifié, vient prendre fermement possession de mon cul. Paul me tient par la taille et ne me laisse aucune chance d’y échapper. Il l’insère en douceur, vérifie sa bonne tenue et me claque les fesses satisfait du travail accompli.

—–

Il la prépare pour plus de confort, desserrer un peu cet étroit goulet, mais pas trop, il adore les culs serrés! Il faut trouver le bon dosage, juste ce qu’il faut pour permettre au gland de se frayer un chemin!

Il ambitionne de la faire jouir lors de sa première sodo, il perçoit ce challenge relevé, mais il espère tout du moins mélanger un début de plaisir avec cette désagréable sensation qu’elle aura forcément lors de cette initiation. Il la sait très hostile à cette pratique, il a dû lui rappeler une ou deux fois le contrat cette semaine pour bien lui signifier ce qu’il attendait d’elle aujourd’hui et continuer à lui mettre la pression.

Elle n’a pas, depuis son arrivée, tenté de négocier comme à son habitude, peut-être s’est-elle faite à l’idée, le chrono a peut-être bien joué son rôle pour la préparer!

Il prévoit un dépucelage en douceur, il ne veut pas lui laisser un mauvais souvenir de sa première sodomie, cela l’aidera sûrement à accepter plus aisément de mettre ses fesses à disposition par la suite. Par contre pour les suivantes il ne promet rien!!

Il connaît l’importance de l’instant, le savoure, s’attache comme d’habitude à observer ses réactions, ses émotions, il jouit de son inconfort et de ses appréhensions.

—–

En quelques instants je me retrouve allongée, les mains au-dessus de la tête attachées au pied de la table basse, une grande barre fixée à mes chevilles m’empêchant de fermer les cuisses et le bâillon boule dans la bouche coupant court à toute revendication. Ils m’encadrent, Mike, côté cour, tenant délicatement un énorme plumeau bien garni, Paul, côté jardin, jouant avec des glaçons dans un bol, un petit sourire vicieux aux coins des lèvres!

Ils m’observent et prennent plaisir à mes interrogations, ils semblent attendre un moment favorable, indéfinissable en soi, totalement subjectif, presque irréel. C’est alors que les tintements d’un glaçon contre le bol donnent le départ du ballet.

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Le Tournoi de Billard

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Caption

Je suis une femme mariée âgée de 58 ans. Lorsque cette histoire m’est arrivé j’avais 45 ans. Mon nom est Josée et mon mari Patrick. Il a 48 ans. Il en avait 35 ans. Patrick est un très bon joueur de billard. Son jeu préféré est le 9. Des amis à lui ,pas très recommandables, organisaient un tournoi de billard et la mise de fond était de 10 000 dollars. Patrick n’avait pas 10 000 dollars. Alors ;

Patrick :” ECOUTE JOSÉE, TU SAIS QUE JE PERD TRÈS RAREMENT. ACCEPTERAIS-TU QUE JE TE METTES EN GAGE?”

Moi :” T’ES FOU?!! ET QU’EST-CE QUI ARRIVE SI TU PERDS?”

Patrick :” ÇA N’ARRIVERA PAS. IL FAUDRAIT QUE TU COUCHE AVEC TOUTE LA GANG. “

J’étais tellement Escort Esenyurt insultée et excitée je dois avouer, que j’ai accepté. Le jour du tournoi arrive. Je mets une tenue très très très sexy; robe courte et ample bleue ciel, bas nylon à jartierres blancs, talons hauts bleus ciel, dessous en dentelles blanches , coiffée et maquillée. On arrive au tournoi. Il y a 24 hommes et 4 femmes qui elles aussi seront mises en gage. Le tournoi débute. Il y a de l’alcool à volonté et des substances illicites. ( extassy, cocaïne, marijuana, etc,etc,…). Une des jeunes filles, environ 19 ans, m’offre une ligne de coke. Patrick est en train de jouer sa 3 ième Esenyurt Escort Bayan partie. Il me voit pendant que je renifle ma ligne de coke. 5 minutes après, je commence à me sentir excitée. À cause de la cocaïne. Tout le monde en a renifler. Les gars espèrent tous que Patrick va perdre bientôt pour pouvoir me partager tous ensemble. Et j’avoue que moi aussi. Je commence à me sentir aguicheuse. Je croise et décroise mes jambes lentement. Je passe près de mon mari Patrick et lui murmure ;” JE VEUX QUE TU PERDE .” Il sourit et il perd la partie.

Alain :” BON BEN MON PAT,….”

Alain approche de moi, descend ses pantalons et met son pénis à 2 Esenyurt Escort pouces de mon visage. Je regarde Patrick qui me fait oui de la tête. Alors j’ouvre la bouche et commence à sucer le pénis d’Alain.

Alain :” OH SHIT MON PAT! TA FEMME SUCE COMME UNE VRAIE PROFESSIONNELLE! OH WOW LES BOYS! VOUS ALLEZ CAPOTER!”

Pendant que je fixe mon mari dans les yeux je reçois le sperme d’Alain dans la bouche. J’avale tout. Un à un, les 24 hommes ont éjaculé dans ma bouche. La jeune fille de 19 ans se lève et vient m’embrasser pour goûter au sperme dans ma bouche. Alain approche pendant qu’elle est penchée sur moi ,relève la jupe de la jeune et la prend en levrette. Guylaine, la jeune fille, râle. Devant tout le monde je frenche une fille de 19 ans pendant qu’elle se fait baisée. Alain crache son sperme dans le vagin de Guylaine et retourne jouer.

Pendant 12h non stop je me suis fait utiliser à volonté

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Le Club – Partie 21

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Gangbang

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel Guri, 20 ans, serveuse. Fille aînée d’un homme d’affaire, elle doit désormais se plier à la volonté de Diaz et de son âme damnée Humberto pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune feme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, Marius a découvert qu’elle a envoyé un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d’elle à chaque fois qu’il le désire.

CHAPITRE 1

La camionnette de Thierry roulait le long des quais de Lilleland. Cette Escort Avcılar partie de la ville était réservée au stockage des marchandises mais constituaient aussi le dernier repaire des truands en tout genre. Ils passèrent notamment au milieu des prostituées racolant leurs clients, bien souvent des marins de passage dans cette grande ville qui accueillait des dizaines de bateaux de fret divers, avant d’arriver dans la zone de stockage proprement dite. Il s’agissait d’un immense réseau de hangars qui formaient un véritable labyrinthe dans lequel il était facile de se perdre et qui permettait à des personnes traquées de se cacher facilement.

– Sur la droite, indiqua Emily qui guidait Thomas et Thierry dans ce dédale de corridors étroits.

Ils l’avaient autorisé à appeler son supérieur qui, après une petite discussion avait convenu d’une rencontre avec eux. Il semblait que l’échec cuisant du cambriolage du bureau du juge de Saint Servier avait convaincu l’unité de la policière qu’elle n’était pas aussi à l’aise dans le contexte de Lilleland qu’elle semblait le penser. Ils étaient donc partis dans la nuit, dans la camionnette de Thierry. Le détective privé était au volant, Thomas prenant place prés de la portière passager et Emily entre eux deux afin de pouvoir guider le conducteur. Ils avaient également emmenés avec eux le flic ripoux, toujours plongé dans le sommeil. Thomas regardait défiler les hangars sous ses yeux. Pour le néophyte, ils se ressemblaient tous mais ce n’était qu’une apparence et il le savait très bien. Un habitué comme lui pouvait tous les différencier se repérer dans le dédale des rues qu’ils formaient. Ce fut pour ça qu’au bout de quelques instants, il eut l’étrange impression de reconnaître la route qu’ils suivaient.

– Et là nous allons prendre…, commença Emily.

Sans attendre la fin de sa phrase, Thierry tourna à droite puis accéléra indiquant qu’il ne prendrait pas la prochaine intersection. La policière se pencha alors vers lui, l’air interrogateur.

– Je sais où nous allons, affirma le détective privé. Le hangar 17.

Emily reprit cette expression de surprise grotesque qu’elle avait affiché quand Thomas lui avait révélé son nom et ce dernier fut persuadé qu’à ce moment elle en était en se demander s’ils n’étaient pas des médiums. La réponse était bien plus simple en réalité.

CHAPITRE 2

Il était midi et le « Fundo » était encore désert. Le bar sordide de Guillermo Diaz n’ouvrait ses portes qu’en début de soirée pour accueillir toutes sortes de pervers et curieux qui venaient tâter les fesses et autres parties charnues des serveuses du lieux. Cependant, le maître de lieux était présent en ce jour car il recevait un invité.

L’homme devait avoir une cinquantaine d’année, il était assez petit et dégarni sur le haut du crâne. Visiblement mal à l’aise, il suait beaucoup. Assis en face de lui à une table du bar, Diaz le regardait affichant un de ses sourires de carnassier qui faisait tellement trembler ses esclaves.

– Mon cher Francis, je suis vraiment désolé de vous revoir dans ces circonstances, affirma faussement l’homme d’affaire hispanique. Si j’ai voulu vous voir c’est parce que mon comptable m’a fait prévenir que vous avez de nous contracté de fortes dettes à mon égard…encore une fois.

Francis Guri se contracta sur sa chaise mais ne prononça aucune parole. Diaz décida alors de continuer à parler.

– C’est très gênant. La dernière fois déjà la somme avait atteint une valeur conséquente mais il semblerait que cette fois vous ayez dépassé les limites.

– Je vous rembourserais, promit Francis.

– Mais je n’en doute pas. Personne ne dupe Guillermo Diaz. Cependant, je sais que vous n’avez rien pour me payer et que cela ne risque pas de s’arranger avant pas mal d’années.

– Mais…

– Taisez-vous, idiots!!!

Guri se recroquevilla sur sa chaise alors que Diaz se redressait dans cette situation, il apparaissait encore plus petit devant cet immense force de la nature constituée par l’homme d’affaire qui naguère avait été son employeur. Il fallait dire qu’ils avaient même été amis à une époque avant que Diaz ne devienne l’homme riche et puissant qu’il était désormais quand leurs familles devaient survivre à « la cour des miracles ». Quand Diaz avait fait fortune, il avait offert un très bon emploi à Francis et celui-ci avait pu extraire sa famille de la misère mais ce dernier s’était mis en tête qu’il pouvait lui aussi réussir comme son employeur et ce fut sa plus grave erreur. Depuis il allait d’échecs en déconvenues et se retrouvait désormais condamné à retrouver la situation misérable qu’il connaissait 10 ans plus tôt…si Diaz le permettait.

L’homme d’affaire se rassit et Guri osa enfin se redresser un peu.

– Je pourrais effacer votre dette bien sûr, en souvenir de notre passé commun, proposa Diaz.

Il vit la lueur d’espoir dans le regard de son ancien employé et attendit quelques secondes avant de porter son estocade.

– Mais il faudrait pour cela payer le même prix que la dernière fois, ajouta-t-il.

– Mais… , balbutia Guri, Avcılar Escort Bayan je …

– Essayez donc de terminer une phrase je vous prie où dois-je vous rappeler la façon dont vous vous êtes acquitté de votre dette la première fois. Muriel!

Il tapa dans ses mains et Muriel accourut dans sa tenue de serveuse. Le visage de Guri se décomposa en voyant sa fille aînée vêtue d’une veste de majorette mauve et totalement nue à partir de la taille. Diaz goûta à cette scène avec un plaisir immense. Il attira alors la jeune fille à lui et plongea ses doigts dans son intimité. A peine gênée par la présence de son père, Muriel écarta immédiatement les cuisses afin d’ouvrir sa vulve au maximum pour faciliter son exploration par les doigts inquisiteur de celui à qui elle avait été vendu.

– La dernière fois nous avions conclu une affaire intéressante, j’effaçais vos dettes en échange du cul de votre fille aînée qui s’est révélée être une telle chienne que j’y ai gagné dans l’affaire.

Il tourna le regard vers Muriel qui se tenait toujours bien droite à ses côtés et il put apprécier les quelques larmes qui coulaient au coin de ses yeux. Il en profita pour pincer légèrement son clitoris et quand elle se contracta, il comprit qu’il avait obtenu ce qu’il voulait. Il revint à Guri qui avait baissé les yeux.

– Je suis tellement satisfait de mon acquisition, fit Diaz en haussant le ton pour s’assurer que Guri lève à nouveau les yeux, que je souhaiterais renouveler l’opération.

Le teint de Guri devint d’une blancheur cadavérique et le sourire de Diaz s’accentua.

– Je,… commença Guri. Je n’ai plus de fille majeure.

– Ne me mentez pas mon cher, lui rétorqua Diaz. Je sais que dans votre smala vous avez une petite Sandra qui vient tout juste de fêter ses 18 ans. Elle doit être fraîche comme la rose.

– NON, s’emporta Guri. PAS SANDRA!!!

Diaz se redressa alors et sans crier gare expédia un coup de poing dans le nez de Guri. La force du géant hispanique était telle que le petit homme tomba de sa chaise, le nez en sang. Muriel voulut aller relever son père mais la main ferme de celui désormais dirigeait sa vie la retint, lui interdisant toute rébellion. Ce fut Humberto qui remit Guri sur sa chaise, sans ménagement.

– Personne n’élève la voix dans ma maison en dehors de moi, précisa Diaz le regard froid planté sur Guri.

– Pitié, pleurnicha Guri, Pas Sandra, elle est si jeune.

– Alors que moi…, murmura alors Muriel.

Diaz fut le seul à entendre cette remarque qu’il nota précieusement ainsi que le fait que Guri n’avait pas montré autant de remords à sacrifier l’aînée de ses 5 enfants au nom de l’intérêt général de la famille.

– Laissez-moi un peu de temps, supplia alors le petit homme. Je vais trouver une solution.

– Du temps mais vous en avez eu, affirma Diaz. Presque un an depuis que vous m’avez vendu Muriel maintenant, il est trop tard, il faut payer.

A ce moment-là, la porte du « Fundo » s’ouvrit et Ronaldo entra poussant vigoureusement une jeune fille et il ne fallut qu’une seconde à Muriel pour reconnaître Sandra.

CHAPITRE 3

Thierry gara donc la camionnette devant l’entrée du hangar 17 et un flot de souvenirs submergea les deux hommes.

– C’est incroyable de se retrouver ici, commenta alors le détective privé.

– Il n’y a jamais de hasard, philosopha alors Thomas reprenant une phrase si souvent utilisé par leur ami Corentin. Si on y réfléchit bien quand le réseau a déserté Lilleland, il a bien dû vendre toutes ses propriétés et qui pouvait être intéressé par un hangar transformé en bunker géant et possédant tous les équipements nécessaires pour la surveillance et la détention de prisonnier si ce n’est une organisation gouvernementale comme la police interrégionale?

Ils descendirent de voiture et furent accueillis par deux hommes. Le plus proche d’eux était un homme à la peau noire claire large d’épaules et aux cheveux taillés très courts. Quand il vint pour lui serrer la main, Thomas comprit qu’il devait être l’agent de terrain de cette bande de grosses têtes et il se demanda alors pourquoi ce n’était pas lui qui s’était introduit dans le palais de justice. La réponse s’imposa d’elle-même, ce gaillard devait mesurer presque 1,9M pour 85 kg et aurait été incapable de se glisser dans le conduit emprunté par Emily Proctor.

– Je m’appelle Shemar Morgan, déclara le géant. Enchanté et voici, Spencer Gubler.

Il indiqua un jeune homme de petite taille portant des lunettes et qui tentait de paraître plus impressionnant en se laissant pousser la barbe et en affichant la même coupe rase que son collègue. Cependant, Thomas n’était pas dupe, il s’agissait bel et bien d’un de ces psys et il était certainement là dans le but de faire une première évaluation de leur état. « Et bien, ne te gêne pas gamin, pensa Thomas, de toute manière, je ne suis pas venu ici pour jouer un jeu de dupe. ».

Ils entrèrent dans l’immense hangar et Thomas ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil circulaire. Il constata presque déçu que tous les impacts de balles avaient Avcılar Escort été recouverts et qu’il ne restait rien du point de départ de ce que les anciens de Lilleland appelaient « La bataille ». Ils prirent le monte charge qui desservait l’étage supérieur et les bureaux quand ils débouchèrent, ils prirent sur la droite mais presque contre sa volonté, Thomas emprunta la passerelle qui se dirigeait sur la gauche surplombant le vide. Il ne prêta aucune attention aux appels de Shemar qui lui intimait de faire demi-tour et il savait très bien que ce chemin menait à une impasse. La passerelle aboutissait toujours à une zone de stockage qui donnait directement sur le vide. Thomas s’agenouilla alors entre deux caisses, posa la main sur le sol et fut immédiatement projeté 10 ans en arrière au moment de la mort d’Alice. C’était à cet endroit précis que le premier amour de sa vie était morte, victime parmi tant d’autre de cette maudite guerre qu’il avait été incapable d’arrêter avant qu’il ne soit trop tard. Il fut incapable de retenir ses larmes pour la première fois depuis des années.

– Pour qui sont ces larmes? fit une voix d’homme derrière lui. Pour un des 58 policiers que vous avez fait tuer en ce lieu?

– Ces hommes étaient venu pour nous assassiner mes amis et moi, répondit sombrement Thomas presque heureux d’être arraché à ses souvenirs.

Il se retourna pour se retrouver en face d’un homme de plus de 40 ans, brun et d’environ sa taille. Il avait le regard dur et déterminé et d’une certaine façon, Thomas eut l’impression de se voir dans un miroir déformant. « Si je n’étais pas né à la cour des miracles, se dit-il, peut être aurais-je été cet homme ».

– Certains de ces policiers ne faisaient qu’obéir aux ordres, reprit l’homme.

– Je sais, répondit Thomas, mais c’était aussi l’excuse des gardiens de camps nazis. Comprenez-moi bien, je regrette la mort de chacun de ces hommes mais je ne regrette pas de les avoir tués. A ce moment là, je n’avais pas le choix.

L’homme le fixa un instant puis lui tendit la main.

– Enchanté de vous rencontrer Thomas Serfati, je suis le chef de cette unité et je m’appelle William Fossett.

CHAPITRE 4

Jean Laroquette décrocha son téléphone.

– Bonjour, monsieur le directeur, fit une voix de femme au téléphone, je m’appelle Véronique Mola.

Le directeur Laroquette réfléchit un instant et mit un visage sur la voix qui était en train de lui parler. Véronique Mola était en fait une des filles du célèbre Patricio Moratti, le plus grand propriétaire terrain de la région. Laroquette ne connaissait pas personnellement cet homme ni aucun membre de sa famille car il était l’un des seuls notables de la région de Lilleland à ne pas envoyer ses enfants à l’école Oscar Bono. Moratti vivait comme un patriarche qui avait obligé toute sa descendance à vivre autour de lui et à s’occuper de la gestion de ses immenses propriétés qui fournissaient l’essentiel des ressources alimentaires de la ville. Il n’était pas exagéré de dire que la smala Moratti était la plus riche de Lilleland depuis la disparition de Sabato Orso, la plus discrète aussi. Ce coup de téléphone ne pouvait qu’intriguer Laroquette.

– Madame Mola, répondit Laroquette tout mielleux, que puis-je pour vous?

– Je vous appelle car j’ai été mis au courant de votre programme de remise à niveau scolaire. Je suis une amie proche de Stéphanie Bastier et elle est enchantée de la métamorphose de sa fille.

Jean Laroquette sourit intérieurement, officiellement Morgane Bastier était sur la voie royale pour obtenir son bac avec mention et pour intégrer dans la foulée la prestigieuse section qu’il était en train de monter censée lui assurer un avenir doré. La réalité était tout autre puisque la jeune fille passait toutes ses soirées dans le lit du vieux directeur qui n’hésitait pas à la prêter à ses bons amis comme le juge de Saint Servier qui appréciait tout particulièrement son petit fondement bien ferme et que Guillaume Uron avait déjà émis l’hypothèse qu’elle aille faire quelques stage de « perfectionnement » au « chat brûlant ».

– Ma formation est malheureusement bientôt terminée pour cette année, signifia le directeur. Les premières épreuves sont fixées pour le mois prochain, il est trop tard pour commencer un stage.

– Je comprends, fit Véronique Mola, mais comptez-vous la relancer l’an prochain?

– Si j’ai des candidates, oui. Pourquoi?

– Il se trouve que je suis dans une situation très délicate. Voyez-vous depuis des années, mon père a toujours eu pour politique de garder ses enfants prés de lui et donc ils ont toujours suivi leurs cours dans les écoles publiques proches de la propriété familiale. Cela a toujours convenu du temps où mon père était jeune et que son autorité était puissante, maintenant il est plus vieux et les jeunes de maintenant son tellement plus durs.

– Je comprends très bien ce que vous dîtes.

– Notre famille gère l’entreprise Moratti depuis toujours et cela requiert des qualités c’est-à-dire des diplômes pour les hommes comme pour les femmes. Si les hommes peuvent se permettre de passer par ses filières plus professionnelles, les femmes si elles veulent continuer à être utiles à la famille doivent à tout prix décrocher des diplômes universitaires dans le domaine agronomique, de la gestion ou commercial, c’est ainsi.

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La Queue de Sirène

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Hot

Bonjour, aujourd’hui, le texte que je fais paraître n’est pas de moi. C’est une traduction d’un auteur en langue anglaise du nom de Corvid. Je l’ai trouvé sur le site ravishu. Je l’ai adoré. Avec l’aimable autorisation de l’auteur, j’en ai donc fais la traduction. Il a écrit pas mal de textes du même genre, que je traduirais également, si celui-ci rencontre du succès. Je tiens à signaler que ce texte très violent, est basé sur le viol. Il est imaginaire, et toutes ressemblances avec des personnages existants, dans la même situation, serait purement fortuite. Toutes les personnes sont majeures, et personne n’a été réellement blessés. Pour ceux qui n’aime pas les histoires violentes, ou de viols, passé votre chemin, vous n’aimerez vraiment pas celui-ci. Pour les autres, j’espère que vous prendrez autant de plaisirs à le lire, que j’en ai eus. Bonne lecture.

J’ai volontairement laissé certaines expressions, bien que traduite, dans leurs mots d’origines, quand leurs traductions en français a un sens. Pour les unités de mesures, j’ai là aussi laissé les unités anglo-saxonne, mais je donne leurs équivalent en mesure européenne.

La « Queue de Sirène » n’est pas là pour vous accueillir.

Lundi n’est pas « gratuit pour les filles ». Il n’y a pas d’« Happy Hours ». Il n’y a pas de boisson signature avec un nom à double sens, servie dans un bol de poisson, avec du poisson suédois flottant dans le curaçao bleu et un coffre au trésor en plastique au fond. Le téléviseur derrière le bar est un vieux tube cathodique et n’a pas de bouquets satellites, de câble ou de box, pour suivre tous les grands événements sportifs.

Il ne suffit pas simplement de dire que « la Queue de Sirène » ne se souci pas si vous êtes là. Il est plus proche de dire qu’elle est tranquillement hostile à votre existence. Quand vous êtes venu une douzaine de fois, malgré cet accueil, quand vous avez célébré au moins une fête là-bas, parce que vous n’aviez personne d’autre avec qui le célébrer, quand vous vous êtes étiez réveillé dans le lit à l’arrière, avec un mot disant que vingt dollars ont été ajoutés à votre note, pour nettoyer le vomit… Ensuite, seulement, vous pouvez aller jusqu’à dire que la « Queue de Sirène » a accepté que vous alliez resté dans le coin, et ira jusqu’à tolérer votre présence.

Les habitués l’aiment de cette façon. Ils sont pour la plupart des marins, des pêcheurs, plus la poignée qui gagnent leur vie en approvisionnant et en réparant leurs bateaux. Quand ils sont en mer, ils travaillent fort dans des eaux impitoyables; pendant qu’ils sont à terre, ils envoient une pension alimentaire pour enfants à leurs ex, se plaignent des choses qui se brisent sur leurs bateaux, se plaignent que les eaux ne sont plus ce qu’elles étaient, que les prises sont rares, que les nouvelles mains sont un tas de chattes; et, bien sûr, boire.

C’est tout cela la « Queue de Sirène », et en un mot, c’est la ville de Wry. Venez au travail, restez pour faire pousser de la mousse ou ne venez pas du tout.

Donc, quand ces deux-là sont arrivés, cette nuit-là, tout le monde comprend qu’ils cherchent à causer des problèmes.

Ce type, il a l’air d’avoir été ciré dans des endroits inconfortables. Il a un de ces bronzages parfaitement uniformes qui provient probablement d’une cabine de bronzage, sûr que l’enfer n’est pas venu de travailler au soleil. Les muscles, aussi, mais même problème. Ce sont des muscles de spectacle, des muscles qui viennent d’un gymnase, de poudre de protéines, d’un entraîneur personnel, pas des muscles né d’un travail acharné, encore et encore. Il porte un polo à manches courtes et un jean de créateur, ses cheveux semi-décolorés sont dans l’un de ces putain de chignons… pour l’amour du Christ!

La fille est un morceau de cul chaud, très chaud. Il n’y a pas deux façons de le dire. Une peau parfaite, des cheveux roux négligemment ébouriffés qui ont dû prendre une heure à réaliser, deux seins majestueux, énormes, empilés en orbite et avec un cul assorti, sur de longues jambes toniques et une petite taille serrée pour les montrer. Et juste pour pousser l’effet à l’absurde, elle porte une chemise verte boutonnée avec peut-être deux boutons réellement fermés et le reste, en dessous, attaché, joli et serré dans un nœud bien au-dessus de sa cage thoracique, montrant un décolleté ridiculement obscène ainsi que tout son ventre, pour finir par un short en jean coupé serré, qui a été coupé bien au-dessus de ses cuisses. En bref, la parfaite tenue du petit canon, juste destinée à allumer la gente masculine.

Les touristes, ce ne sont que des touristes, pensions-nous tous. Venu ici pour l’amour de foutre la merde. Bien qu’il aurait pu être aussi exact de dire que les touristes et pour l’amour de foutre la merde soient des synonymes.

Ils ont donc eus le nez froid en venant ici, nous avons pensé qu’ils finiraient par obtenir l’indice qu’il n’y a rien d’intéressant pour eux dans le coin. Pour aller ensuite dans l’une des autres villes Escort Avcılar côtières, avec leurs nombreux bars qui s’adressent réellement aux touristes, plutôt que d’essayer de se prouver quelque chose en s’enfonçant dans un bar de travailleurs à la sueur de leurs fronts. Tout ce qu’eux deux ne sont pas.

Après une dizaine de minutes à ne pas être servie, Nancy est finalement venue; leurs demandant ce qu’ils boivent. Tan Man a demandé une sorte de microbrasserie de boutique, et Nancy, bénis son cœur, n’a pas levé les yeux au ciel quand elle a dit que, bien sûr, ils ne l’avaient pas. Il en cite alors quelques autres, devenant de plus en plus mordants, Nancy lui dit qu’ils ne les ont pas non plus; peut-être aimerait-il un Heineken? Il semble qu’elle vient de lui offrir un verre de morve chaude, mais il dit : très bien, donnez-en deux d’entre eux. Juste avant qu’elle ne puisse vraiment l’offenser en suggérant quelque chose fait par Budweiser ou Miller.

La fille repousse son cul sur le tabouret afin que chaque homme dans la place puisse clairement voir ce que son short couvre, ou plutôt, ne couvre pas. Elle se cambre le dos et s’étire, vous pouvez alors sentir les hommes autour du bar devenir raides à plus d’un titre. Pendant ce temps, le gars parle de ce qu’est une décharge, de ce qu’est une décharge en parlant de la ville, du bar, de pourquoi sont-ils venus ici, quel genre de perdant deviez-vous être pour vous retrouver dans un endroit comme celui-ci. Il le dit tranquillement, mais pas vraiment; à la fille, mais pas vraiment qu’à elle. Juste assez fort pour que beaucoup l’entende.

Les bières viennent. Le bar ne sert pas beaucoup d’importations, bien sûr car l’enfer ne les garde pas au robinet pour les pressions, mais il y a quelques dizaines de bouteilles dans une glacière derrière le bar. Certains des habitués se sont retrouvés dans des endroits intéressants, pour le service militaire ou d’autres aventures, et parfois quelqu’un a envie de quelque chose de nostalgique.

Tan Man grimace avec la première gorgée. Il tape une carte de crédit haut de gamme sur le bar et dit à Nancy de faire tourner la facture là-bas, ils ne resteront pas longtemps. La jeune fille frotte sa propre bouteille le long de son décolleté, laissant des gouttes de condensation s’y répandre, puis glisser le long de ses seins, sous le col à moitié ouvert de sa chemise.

À ce moment-là, je sais que nous voyions un scénario bien usé se dérouler.

Tout d’abord, la fille a l’attention de tous les hommes du bar. Elle l’aurait eu dans n’importe quel bar qui ne favorise pas une clientèle gay, franchement. Si un tel bar avait eu des couples, les hommes de ces couples n’auraient pas eu de chance, cette nuit-là, après que leurs femmes aient vu la façon dont leurs hommes avaient regardé la rousse. Tout cela a fait des merveilles pour l’ego de la fille et du gars qui peut alors dire qu’elle est à lui, rien qu’à lui.

Deuxièmement, la façon dont la fille présente et se comporte, elle invite presque quelqu’un à lui dire quelque chose, sinon à saisir quelque chose. Le gars montre ensuite un truc qu’il a apprit d’une école de karaté se trouvant dans un centre commercial, mettant en jeu ces biceps polis au gymnase. En éliminant « l’agresseur » de sa petite amie, il établit ainsi une domination non seulement sur le joker malchanceux, mais sur tous les clients du bar.

Ayant eu leur petite « promenade du côté sauvage », se faisant comprendre qu’elle est folle de chaleur, qu’il est un loup alpha, et qu’ils sont tous les deux aventureux et imprévisibles, les deux font alors leur sortie, retournant alors dans un endroit confortable pour baiser comme des lapins.

Derrière le bar, Gus m’a jeté un coup d’œil. Il jette un coup d’œil à la porte d’entrée, puis revint vers moi et hoche la tête. Je me suis levé tranquillement de ma table d’angle, j’ai tiré la chaîne sur le panneau « ouvert » au néon et j’ai tourné le loquet de la porte. Ici on n’est pas dans le bar le plus bruyant du monde, mais entre le juke-box et la télévision, il y a suffisamment de bruit pour que mes actions n’attirent pas l’attention des nouveaux clients.

Dans beaucoup de bars, le petit fantasme de pouvoir de Tan Man et Gros Seins s’est probablement déroulé plus ou moins comme ils l’ont écrit. Soit tout le monde regardent la fille mais personne ne fait un geste, soit un suceur a testé les eaux et a été publiquement humilié par Tan Man pour ses douleurs. L’un ou l’autre sont bien pour leur routine « Roi et Reine de l’Univers », mais ces fins dépendent du fait que les clients du bar les trouvent intimidants et ne soupçonnent pas vraiment leur jeu. Quiconque s’approche doit parler à elle d’une manière si timide, d’une manière qui aille plus que la simple politesse, d’une façon emplit de dévotion.

Paulo s’est approché du gars, l’a tapoté sur l’épaule, et quand il s’est retourné, la bouche à moitié ouverte, Paulo a brisé sa propre bouteille de bière sur le côté de la tête du gars.

Oui, Avcılar Escort Bayan ils n’ont pas enseigné ce coup là à l’école de karaté pour petit bourgeois pédé.

Tan Man titube, serrant son visage, le sang coulant sur le côté de son profil glamour, j’y vois de dizaines de petites coupures. Paulo ne s’est pas arrêté là non plus, le poussant hors de son tabouret sur le sol, commençant alors à lui donner des coups de pied puissant.

– Tu penses que c’est drôle, toi petite merde? Vous pensez que vous allez venir ici et pisser partout sur nous, avec votre pute et votre carte bleue en or? Que vous allez être le grand homme? Tu te sens si grand maintenant, connard?

La rousse crie d’abord de manière hystérique, puis pour que Paulo le laisse tranquille. Le pêcheur portugais ne montre aucun signe particulier d’écoute, alternant entre donner des coups de pied à l’homme abattu, à la tête et à l’aine, selon l’endroit où il essaie de se couvrir avec ses bras, allant parfois chercher le torse juste pour la variété. Paulo portait cette nuit-là de bonnes bottes de travail à bout d’acier,

La magnifique rousse commence tout juste à réaliser qu’elle ferait mieux d’essayer un autre type d’intervention, avant que Paulo ne donne le coup de pied de trop, celui qui battra son petit ami à mort, lorsque Kurt et Sam l’ont prise par les bras et l’ont retournée vers le bar.

– Maintenant, vous vous tenez juste bien là, sans plus bouger tes énormes seins de salope! Grogne Kurt. Vous gardez ce cul planté sur le siège pendant que nous décidons de ce que nous allons en faire. Paulo s’occupera bien de ton garçon, ne t’inquiète pas. »

Et Paulo l’a fait. Il n’est ni un tel animal, ni si profondément hors-de-lui, qu’il ne va pas réellement donner le coup de pied de trop à la merde stupide allongé sur le sol, enfin pas pour l’achever en tout cas. Mais il ne l’a pas fait à moitié non plus. Au moment où il a lâché prise, un œil était complètement fermé, son visage était enflé, il avait perdu plusieurs dents et il lui faisait clairement mal de respirer. Je n’aurais pas été surpris non plus, si Tan Man va découvrir qu’il a du sang mélangé à son urine la prochaine fois qu’il va allé prendre une pisse.

« Asseyez-le », grogne Paulo. Cal et Red John l’ont traîné sur le sol du bar, le soutenant en position assise sur le sol, le dos contre le séparateur entre deux des cabines. Tan Man a abandonné un gargouillis et a vomi sur le devant de son polo taché de sang.

Au bar, détruite par la démolition de son petit ami, la rousse tremble et émet un petit gémissement. Elle regarde Nancy, la seule autre femme de l’endroit, espérant une sorte d’influence apaisante sur tous les grands hommes brutaux.

Nancy la regarde durement. Elle est au bar depuis vingt ans, baisant avec certains clients, se faisant baiser par d’autres. Elle sait qu’il n’y a personne qui peut parler de quelque chose pour les calmer, ce soir-là. Car une fois qu’ils ont mis leurs moteurs en marche, la règle cardinale est vraiment putain d’évidente, en ce qui la concerne: Surtout ne vous mettez pas dans une mauvaise situation en premier lieu, alors la mauvaise merde ne vous arrivera pas. Ayant échoué à ce test d’intelligence le plus primitif, tout ce qui s’est passé ensuite, est exactement ce que le couple avait à gagner à venir ici, la mauvaise nature en action, rouge dans les dents et la griffe en marche.

Ou, pour faire plus simple comme l’a dit le sage: jouez à des jeux stupides, gagnez des prix stupides.

« Hé, la putain, » appela Paulo. « Ne pensez surtout pas que nous vous avons oublié. Vous êtes celle qui a eu un grand homme, se trouvant maintenant ici, tout gonflé, pensant que c’est quelqu’un où qu’il aille. Pensant que vous pouvez exhiber ces gros seins, faire baver les hommes sur vous, puis les laisser tous avec des boules bleues, parce que vous avez le Roi Merdeux là-bas pour surveiller votre précieux cul. Vous êtes pire que lui! Il pense qu’il est de la merde chaude parce qu’il vous a, mais vous pensez que vous avez tous les hommes autour de vous, qui sont enroulés autour de votre doigt sans avoir à leurs abandonner votre cul si précieux? Vous pensez que j’ai mal compris? Que vous ne jouez pas à ce petit jeu? »

Paulo a ponctué ses paroles, sans attendre de réponse de la rousse, en donnant un coup de pied à l’homme, le cognant à la cuisse. Il a essayé de se faufiler sur le côté, seulement pour que Red John le ramène à une position assise.

« Tu te fais déchirer, tu baises putain. Seulement vous allez l’avoir vraiment intime, comme une pute qui est venue ici pour se faire un max de fric, mais vous, vous n’aurez pas la garantie de repartir indemne. »

En marchant jusqu’à l’endroit où Kurt et Sam ont poussé la rousse, la tenant encore par les bras, sans avertissement, Paulo a poussé ses mitaines sous ses aisselles, il a alors attrapé ses gros seins à travers sa chemise, avec les deux mains, serrant fort. La rousse fait un bruit comme si Avcılar Escort tout l’air avait été évacué hors d’elle, puis cria.

« Pédé, retire-toi, enlève tes mains de moi! Ne me touche pas! Lâchez prise! Immédiatement!»

Sa voix est douce, haute et totalement girly. J’ai deviné que son petit ami parle la plupart des discussions pour elle, ce n’est pas étonnant, cette voix n’inspirera jamais le respect, même à une fille dans le même genre qu’elle. Elle ne hélerait même pas un taxi dans une rue animée.

Paulo relâche son emprise, seulement pour se pencher en avant puis donner une claque à deux mains à ses seins. Cela lui a valu un autre bon cri, et les hommes autour d’elle ont souris, se sont caressés puis se sont léché les lèvres. Des mésanges qui sont si grosses et si sensibles? Alors la rousse va être dans une nuit d’enfer.

« Tais-toi, salope. Ferme ta gueule, obtenez ce qui vous arrive, tu l’as voulu ben tu vas l’avoir. Vous ne ferez qu’empirer les choses si vous nous énervez davantage! »

Il se penche contre elle, pressant sa poitrine contre son dos, alors qu’il continue à saisir et à meuler ses gros seins. Je me demande si elle s’attend à tout ce qu’il va lui arriver. Si elle est prête à ça. Je veux dire, une femme qui a joué à ce genre de jeu a probablement un intérêt à penser que son homme est un méchant alimenté par la testostérone; peut-être que la position du goujon est ouverte? Qu’elle est prête à se faire baiser? Ce n’est pas que cela a vraiment de l’importance, même vraiment pas beaucoup; Paulo a clairement indiqué qu’il a l’intention de la blesser, et il était impatient d’aller bien au-delà de : « donne-moi une petite fessée, je suis une mauvaise fille ».

Gouge et tirer, tordre et écraser, il a enfoncé ses doigts profondément dans les seins de la rousse, les travaillant vraiment, écoutant comment elle respire, comment elle gémit, comment elle grogne. Il a pris note des choses qui l’ont fait se raidir, des choses qui l’ont fait vaciller, des réponses qu’elle ne peut pas exagérer ou simuler, ce sont les choses qu’il a faites encore et encore. Il a clairement indiqué que ses seins étaient là pour qu’il lui fasse mal, ce soir, et qu’il allait les utiliser dans cette optique. Et même plus que ça…

Elle gémit de peur, quand il secoue ses hanches en arrière, tirant son dos du tabouret, mais Sam et Kurt ont une bonne prise sur elle, la rousse ne tombe pas vraiment. Paulo a creusé ses mains sous les côtés de ses coupures et les a secouées le long de ses jambes. J’ai eu un bref aperçu d’un string en G, mais il a dérapé jusqu’au sol avec le short; Paulo ne voulait apparemment aucune sorte de strip-tease ou de préliminaires, il voulait juste y accéder. Puis son cul est nu, et oui, c’est vraiment glorieux. Les aperçus en demi-lune sortant des coupures du short, avaient été tentants, mais ce cul majestueux est le repas complet. Sans me vanter, j’en ai vu des culs, des petits, des gros, des ronds, des plats, mais des comme celui de la rousse, aussi parfait, jamais.

Il a fallu un moment à Kurt et Sam pour comprendre ce que Paulo voulait quand il l’a poussée vers l’avant, mais ils l’ont rapidement compris. Il voulait qu’elle revienne sur le tabouret de bar. Des hanches perchées sur le bord de son dos, penchées en avant, ce cul qui dépasse vers lui pendant qu’ils la tienne en place, contenue entre les hommes qui la maintienne, et le tabouret pour qu’il puisse isoler et infliger la plus grande souffrance à cet arrière-train si érotique…

Son petit ami hurle de son point de vue, sur le sol, ce qui lui a valut un coup de pied dans le ventre par Cal. Cela l’a fait taire. Paulo a ouvert la braguette de son jean, il sort sa grosse saucisse portugaise, une bonne dizaine de pouces, soit un peu plus de vingt-cinq centimètres. Une sorte de bâton de drapeau dur, devenu violet avec le désir urgent de déchirer la chienne. Kurt et Sam ont poussé ses épaules vers l’avant, épinglant son visage contre le zinc du bar, alors qu’elle sanglote. Retenant son souffle alors qu’elle sent Paulo qui s’installe derrière le tabouret d’où son cul ferme dépasse.

La tête de sa grosse bite va droit entre ses joues arrière, puis contre son trou du cul, pas de pause pour cracher ou tout autre type de lubrifiant. Elle laisse échapper un gémissement vif, bruyant, quand elle réalise ce qu’il a l’intention de faire, ses hanches se balançant d’avant en arrière sur leur perchoir, mais il y a quatre cents livres, soit près de deux cent kilos, d’hommes silencieux, habitué au travail portuaire, qui la maintienne en place. La rousse ne va allée nulle part ailleurs, son putain de cul va rester sur ce tabouret… Offert… Elle peut se débattre autant qu’elle veut, cela est totalement inutile, elle ne peut bouger d’un centimètre…

Paulo se penche à nouveau en avant, attrapant cette fois sa chemise et déchirant ce nœud stupide pour que ceux qui l’entourent puissent mieux regarder ces gros seins, ces mamelons durs, ces marques de ses mains rugueuses qui seront sûrement des ecchymoses demain. Mais seulement pour un moment, parce que rapidement les mains de Paulo sont pleines de cette chair, une fois de plus, creusant profondément dans ces orbes, cette fois pour l’effet de levier.

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La déchéance de Sophie Ch. 05

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Toys

J’étais étendue sur le dos dans mon lit et je ne dormais pas. Allongée dans le noir au côté de mon pauvre mari, je songeais encore et encore à ce maelström d’émotions qu’avait été cette journée.

Dans mon esprit se disputait l’horreur de la découverte du sort de Sonia et le soulagement que j’avais ressenti quand j’avais cessé de lutter. Car oui, au fond de moi j’étais soulagée de ne plus rien avoir à défendre.

J’avais admis que tout était vain, je m’étais rendue corps et âme et j’y avais pris du plaisir. Je m’étais découverte un désir de soumission que je n’osais m’avouer jusqu’alors, j’avais été forcée de l’assumer et cette expérience avait été une révélation. Tout au moins, mon corps avait rendu les armes. Avec le recul,

Une partie de mon esprit avait honte et se sentait souillé mais curieusement même ce sentiment m’apportait du plaisir.

Mes pensées dérivèrent vers les heures qui avaient suivi cette séance particulière chez Eric. Ma sortie honteuse sous le regard du voisin qui était resté dans le couloir, mon retour au domicile et la gêne que j’avais éprouvé en voyant ma fille.

Et enfin cet instant présent où sous ma nuisette et en mon corps je conservais les preuves de mon appartenance à mon nouveau Maître. J’étais remplie de lui et jusque dans le lit conjugal, il me possédait.

Longtemps je veillais, écoutant les bruits nocturne et la respiration de mon époux endormi.Le soir, il m’avait annoncé que sur décision de son patron, il serait en déplacement jusqu’à dimanche prochain inclus. Quelque part, égoïstement, cette situation me permettait de mieux gérer ma culpabilité et je lui étais reconnaissante de son absence.

Je dû finalement sombrer dans le sommeil car quand j’ouvrais les yeux le soleil filtrait à travers les persiennes. Ce qui m’avait réveillé n’était pas cette lumière toutefois mais une sensation familière au creux de mes reins. IL avait décidé que je devais me lever et IL activait sa poupée télécommandée pour me le faire comprendre. Quelques minutes plus tard, ses instructions arrivaient sur mon portable.

“Bonjour. J’espère que tu as passé une bonne nuit et que tu n’a pas oublié ta place…aujourd’hui tu es autorisée à prendre un soutien gorge”

Non, bien sûr je n’avais pas oublié. Je n’avais pas feint. Distraitement je lui répondais d’un “Merci Maître” en songeant que paradoxalement, il me respectait plus depuis que j’étais devenue SA chose.

Je pris ma douche matinale. La maison était encore silencieuse et en moi, l’oeuf ronronnait doucement. Je savonnais mes seins et en pinçais les pointes. Ma main descendit le long de mon ventre et caressa un instant mon abricot tout lisse. Puis, l’oeuf cessa ses vibrations et la magie de l’instant s’évanouit.

Délicatement je le laissais s’échapper de mon petit trou et en le recueillant, de la semence coula sur ma main. Comme en transe, je portais mes doigts à mon nez pour sentir SON odeur et après avoir brièvement hésité, j’en léchais les extrémités en me traitant de salope.

C’était atroce et dégradant. Un frisson de plaisir me parcourut.

Comme chaque jour dorénavant, je m’habillais succinctement tout en essayant de deviner les épreuves perverses que j’allais devoir affronter dans la journée.La grande différence était que cette appréhension se teintait de plus en plus d’une espèce d’impatience. Comme si pour me punir, je désirais être sans cesse humiliée.

Au petit déjeuner, David me demanda presque gêné s’il pouvait dormir chez un copain ce soir. Sa mère se chargeant des les emmener à l’école et de les récupérer pour l’après-midi le lendemain. Comme j’essayais depuis le week-end de me rapprocher de lui je n’y voyais pas d’objection. J’espérais même que cette escapade le sortirait de son enfermement de plus en plus prononcé.

Finalement, après avoir fait des adieux bien pâles à mon époux je donnais le signal du départ.

Au volant, je regardais disparaître mes enfants dans l’enceinte de l’établissement et prélevais dans mon sac à main, mon nouvel accessoire que je m’attachais avec un frisson. Afin de dissimuler au mieux l’accroche de la laisse, je n’avais pas attaché mes cheveux qui tombaient en cascade sur mes épaules.

J’attendais le dernier moment, celui où les trottoirs se vident et où le balai des voitures cesse pour oser me montrer à mes juges. Je m’aperçue en m’approchant qu’ils arboraient tous un sourire en coin qui ne me dit rien qui vaille mais il était trop tard pour s’en inquiéter.

-“Bonjour Maître”

Je m’étais demandé auparavant comment prononcer ces deux mots. Je savais que si je les chuchotais, IL me les ferait répéter jusqu’à ce qu’il soit satisfait mais je ne voulais pas les crier non plus. J’avais donc opté pour un ton neutre suffisamment puissant pour que ces amis soient pris à témoins de ma défaite. Mon succès fut vite balayé par une situation que je n’avais pas anticipé.

Sourd à mes efforts, il fronça les sourcils et me pointa du doigt accusateur.

-“Qu’est ce que c’est que ça??” me dit-il d’un ton sec.

Sans comprendre, je baissais les yeux sur Escort Avcılar mon chemisier déboutonné.

-“Enlève moi ça!”

Je crue deviner qu’il parlait de mon soutien-gorge et perplexe je balbutiais.

-“Mais…je..le message disait…”

Il ne me laissa pas le temps de terminer.

-“Tu ne sais pas lire? Il disait que tu pouvais le prendre…je ne t’ai jamais dit que tu pouvais le porter! Vire le tout de suite!”

Je devins cramoisie. J’étais totalement déstabilisée par cet ordre et, sensation nouvelle pour moi, j’avais honte de l’avoir déçu.

Impassibles, ces acolytes commencèrent à faire cercle autour de moi et je compris qu’ils étaient au courant depuis le début de ce piège.

-“Mais…on va me voir…je ne peux pas…”

Avec mes talons, j’étais plus grande que la majorité d’entre eux et le risque de se faire surprendre était évident.

Bien sûr il avait un coup d’avance et avait prévu la parade à mon objection.

-“Pas si tu te mets accroupie”.

Plus qu’une suggestion, sa façon de s’exprimer ne laissait pas de place au refus.

Résignée, je m’abaissais donc, et, m’apprêtais à dévoiler une fois de plus mes charmes aux 5 ados.De par ma position et les efforts que je devais déployer pour ôter mes vêtements, ma jupe remontait dangereusement le long de mes cuisses et jusqu’à la limite de mon fessier.

J’en terminais avec mon calvaire. Chemisier envolé, je fis glisser les bretelles de mes épaules et exposais ma large poitrine à la vue de tous. Le soutien-gorge dans la main, je relevais la tête et ce que je vis me figea.

Profitant que j’étais occupée, Eric avait descendu sa braguette et présentait son sexe déjà dur face à mon visage. J’avais accepté bien des choses, je m’étais donné à LUI, je m’étais même exhibée sur son ordre mais ce qu’il exigeait de moi en public était une étape supplémentaire. Stupidement, je restais immobile et sans un mot, Il se saisit de ma crinière et m’attira vers lui.

Surprise, j’entrouvris la bouche par réflexe, laissant de fait, son membre s’enfoncer jusqu’à la gorge.

-“HmMmPFfff”

Je suffoquais et il ne tarda guère à tirer avantage de la situation. Autoritairement il me guidait sur sa tige que j’enduisais de salive. Sans défense, je sentis des mains parcourir mon corps et maltraiter mes seins et, preuve que dans mon dos ses compères ne restaient pas inactifs, le vent frais caressa mes globes quand on me remonta totalement ma jupe.

Un garçon plus téméraire que les autres aventura deux doigts le long de mon intimité et joua avec l’entrée de mon vagin. Mortifiée j’entendais les commentaires qui s’abattaient en pluie sur moi.

-“Comme elle mouille la salope!”

Et c’était terriblement vrai. La pression sur mon crâne avait cessé et je continuais de moi-même à aspirer sa hampe. Je faisais même tourner ma langue autour de son gland. Son plaisir était le mien. Les ados à ma droite et ma gauche s’emparèrent chacun d’un de mes bras et on força mes mains à se refermer sur deux colonnes de chair qu’instinctivement je me mis à branler lentement puis de plus en plus vite.

Dans ma bouche, je perçus la tension augmenter dans le chibre de mon Maître et j’étouffais un gémissement de plaisir anticipatif. Au moment où, je le savais, il allait éjaculer, il s’échappa de ma bouche avide de son jus.

-“Tiens ton soutif devant toi!”

Sans comprendre, j’obéis à son injonction et me rendis compte que j’étais cernée par 5 bites que leurs propriétaires astiquaient violemment. Totalement ahurie je regardais ce spectacle les yeux exorbités quand celui de gauche grogna et envoya de longs jets de sperme dans les bonnets donnant le signal au groupe.

Un à un ils se vidèrent, remplissant mon soutien-gorge de leur crème odorante. Eric fit comme les autres mais me fit nettoyer les dernières traces sur sa verge.

-“Maintenant tu peux le porter”.

Je le regardais, interdite.

-“Et n’en laisse pas échapper une goutte”.

Je les dévisageais les uns après les autres, recherchant une lueur de pitié ou de sympathie mais ne lus que de la luxure.

Sachant que toute rébellion était inutile, je trempais mes mamelons dans leur jouissance et plaquais mon soutif contre mon buste. La sensation était terrible et mes seins étaient gluants et tièdes. Ce sentiment de totale dégradation se traduisit par une décharge électrique qui atteignit mon clitoris.

Sans attendre que je me rhabille ils se séparèrent de moi, m’obligeant à enfiler mon chemisier précipitamment.

-“Tu le garderas toute la journée”.

Toujours accroupie et les fesses à l’air, je murmurais un “oui Maître”. Puis je me relevais et cette fois sans hâte, regagnais mon véhicule.

———————-

J’arrivais bien sûr en retard au travail. Gérard et André étaient déjà là mais Jessica manquait à l’appel. Un bon moyen pour moi quand elle arriverait de réaffirmer mon autorité. 1h s’écoula dans le cliquetis des claviers et le brouhaha propre aux espaces ouverts. J’essayais de ne pas penser à mes seins tout poisseux et à cette odeur douceâtre Avcılar Escort Bayan qui effleurait mes narines par instants.

J’en étais à me demander comment j’allais faire pour éviter de m’approcher le plus plus possible de mes collègues quand mon interphone interrompit mes pensées.

-“Sophie, vous pouvez monter s’il vous plait” demanda la voix de Richard.

-“Tout de suite Richard”

Ne me restait qu’à espérer qu’il ne me demande pas de venir près de lui cette fois.

Tout en me dirigeant vers son bureau je m’étonnais de cette convocation matinale. En générale Richard me faisait appeler le soir pour “discuter” de la journée. Peut-être que cela avait un rapport avec mon départ précipité de la veille… Quoiqu’il en soit j’allais en avoir très vite le coeur net. je frappais et sa voix m’invita à entrer.

Je refermais la porte derrière moi, me retournais et marquais un temps d’arrêt. Richard était assis à son bureau et à ses côtés debout se tenait une Jessica rayonnante.

D’un ton neutre, mon supérieur m’éclaira brièvement la situation.

-“A Sophie, je voulais voir certains points avec vous. Les résultats de votre équipe sont en baisse ces derniers temps et je vous sens vous même fragilisée. Peut-être que vous ne vous ménagez pas assez. Quoiqu’il en soit j’ai décidé de manière provisoire..pour l’instant, de confier la direction de votre service à Jessica”

Je réagis au quart de tour.

-“Mais enfin Richard vous n’allez pas…”

-“Allons, allons, ne vous emballez pas Sophie” me coupa t-il en levant les bras “prenez plutôt cette nouvelle comme une opportunité pour retrouver sereinement votre efficacité. Je suis certain que vous reprendrez vite les choses en main…”

J’étais soufflée. C’est donc ainsi qu’il avait décidé de se venger de ma résistance à ses avances. J’ouvrais la bouche pour protester quand il me devança.

-“Ce sera tout merci. Je crois que votre nouvelle manager a prévu une réunion pour mettre les choses au point” conclua t-il d’un ton sans réplique.

A côté de lui, la petite parvenue faisait semblant de rester impassible mais je sentais qu’elle jubilait.

Blême de rage, je refusais de poursuivre un combat truqué perdu d’avance et me retirais.

*L’enfoiré!* pensais-je. *Je vais le trainerais au prud’homme pour ça!*

Enervée, je me rassis à mon poste et me renfermais sur moi même. Le parfum qui s’échappait de mon décolleté devenait de plus en plus entêtant et commençait à me troubler malgré moi.

Comme annoncé par Richard, Jessica nous appela peu après pour la rejoindre en salle de réunion. Quand j’entrais dans la pièce elle s’était déjà installée en bout de table (ma place jusqu’à présent). Indifférente je m’installais à gauche pendant que mes homologues masculins s’asseyaient à droite en échangeant des coups d’oeil surpris.

-“Bien. Je vais faire bref. A partir d’aujourd’hui je suis en charge de notre équipe en lieu et place de Sophie. Notre responsable m’a chargé de faire remonter le chiffre d’affaire qui, suite à certaines lacunes, baisse de manière inquiétante…”

S’en suivit 15 mns de monologue où cette sale gamine arriviste ne manqua pas une occasion d’insister sur mon incompétence. Je résistais de mon mieux, je restais de marbre mais quand tout en parlant elle fit le tour de la table et posa une main sur mon épaule pour affirmer sa supériorité je me mis à bouillir intérieurement.

Un instant elle parut chercher ses mots. Je levais la tête et la vis froncer le nez et les sourcils. Je me détournais légèrement, honteuse. A force de baigner dedans je n’avais plus conscience de l’odeur qui émanait de moi mais ça ne faisait aucun doute que celle-ci devait être facilement perceptible.

Elle nous libéra sur une dernière pique à mon endroit et en sortant je découvris la catastrophe!

Totalement saturé de liquide, mes balconnets avaient fini par imbiber mon chemisier et deux tâches suspectes se formaient peu à peu à des endroits stratégiques. Prise de panique, je me précipitais aux lavabos des toilettes pour femmes. Heureusement, l’endroit était désert mais de toute façon je n’avais guère le choix. En grimaçant j’ôtais mon chemisier et j’entrepris de le rincer comme je le pus.

J’avais pratiquement terminé quand la porte s’ouvrit brusquement sur Jessica qui fonça droit sur moi. Le temps s’arrêta un instant pendant qu’elle profiter de mon immobilité soudaine pour m’observer de bas en haut. Il était trop tard pour me cacher. Elle écarquilla les yeux au moment même où je sentis un peu de liquide s’échapper de mon bonnet gauche et couler lentement le long de mon ventre.

Elle se pencha sur moi en reniflant.

-“Bon sang! Mais c’est…c’est…” elle s’interrompit net dans sa tirade alors que je rougissais furieusement et tentais de disparaître sous terre. Un vilain sourire de triomphe lui déforma les traits et je compris que je venais de lui offrir ma tête sur un plateau.

Sans conviction je tentais de me justifier.

-“Jessica je…”

-“Ta gueule je réfléchis! D’abord c’est Miss Avcılar Escort Jessica pour toi”

Dans ma position je ne savais comment réagir. Je ne pouvais pas me laisser traiter ainsi par elle mais en même temps ce n’était pas le moment d’engager un rapport de force.

Elle dut prendre mon hésitation comme une acceptation. Elle tendit 2 doigts et récupéra le sperme sur mon corps puis, elle les me les tendit.

-“Lèche!”

J’en restais sans réaction.

-“On va la faire courte. A partir de maintenant soit tu fais tout ce que je dis comme un bon toutou, soit dans les deux minutes toute la boîte est au courant que la grande commerciale se balade tartinée de foutre!”

Je soutins quelques secondes son regard avant d’abdiquer sous la contrainte. Je baissais les yeux et poussais une langue timide qui effleura ses doigts. Devant mon acception elle ne se fit pas prier et les enfourna soudain dans ma bouche. 1 puis 2 phalanges qu’elle faisait aller et venir comme deux petites verges miniatures.

-“Suce les comme tu as l’habitude de sucer les queues!” dit-elle.

Servilement je pompais ses doigts et les nettoyais de leur souillure. Quand elle me les enfonça jusqu’à la gorge, je faillis vomir.

Finalement Jessica retira ses doigts mais si j’avais cru une seconde qu’elle en resterait là, je me trompais.

-“Maintenant, enlève ton soutif!”

Je rechignais à cet ordre. Tout en la suppliant du regard j’essayais de lui inspirer pitié.

-“S’il vous plait…je ne peux pas faire ça…si quelqu’un entre…”

Peine perdue. Sur ce point là, sa cruauté n’avait rien à envier à celle d’Eric.

-“Alors tu devrais te dépêcher pendant qu’il n’y a personne. Fait moi encore attendre et tu finiras à poil dans le couloir”

Je sursautais et rapidement je passais les mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. Lentement, en essayant de ne rien renverser, je le fis basculer et lui présentais mes mamelles maculées de traces blanchâtres. Devant ce spectacle pitoyable elle se mit à ricaner de manière hystérique. Je crois qu’elle n’aurait jamais imaginé dans ses rêves avoir autant de pouvoir sur moi et que cette chance la rendait folle.

Grisée par cette sensation elle poussa son avantage jusqu’au bout.

-“C’est gentil d’avoir apporté deux bols mais je te laisse ma part”

De sa main elle me désigna les bonnets où au fond s’accumulaient deux petites flaques de semence.

-“Avale grosse salope!”

Ce fut la goutte d’eau. Depuis une semaine mes nerfs qui avaient été mis à rude épreuve lâchèrent. La terrible réalité dans laquelle ma vie avait basculé me heurta en pleine face et des larmes silencieuses coulèrent sur mes joues. Comme hypnotisée par l’odeur écoeurante qui maintenant emplissait toute la pièce, j’enfouissais mon visage dans mon soutien-gorge et me mis à aspirer goulument le liquide visqueux.

Le bruit de succion, le goût infâme, l’avilissement dans lequel je me vautrais torturait mon esprit autant que mon corps qui s’échauffait par ces actes. Irrémédiablement je mouillais.

Je me redressais enfin, le visage barbouillé de foutre gras, fixais mes yeux dilatés sur ma tortionnaire et sans que celle-ci m’en donne l’ordre, j’ouvrais ma bouche remplie et d’un coup avalais la liqueur. Je la sentais couler dans ma gorge et j’en eus la chair de poule. A ce plaisir sale s’ajouta cette petite joie d’apercevoir un instant une lueur de dégoût illuminer le regard de Jessica.

Sans un mot elle me tourna le dos et sortit, me laissant plantée dans les toilettes à moitié nue.

Seule à nouveau, le besoin d’aller au bout de ma honte se fit impérieux et les jambes écartées face aux lavabos ma main chercha mon mont lisse et s’y appuya avec force. Quelques instants suffirent à cette violente masturbation pour me faire exploser. Ce n’est qu’une fois satisfaite que je repris conscience de mon environnement. Je lavais mon visage et ma poitrine aussitôt souillée à nouveau par le soutien-gorge et regagnais mon poste de travail.

Au moins, plus rien ne risquait de s’écouler maintenant me consolais-je. Je ne fus plus dérangée ni par Richard ni par ma nouvelle chef, bien qu’elle m’observait à la dérobée et que mon collier de chienne semblât l’intriguer au plus haut point. Je n’avais pas de message non plus d’Eric et l’un dans l’autre j’appréciais le répit offert par cet après-midi tranquille.

A l’heure habituelle, je m’apprêtais à quitter les lieux et m’attendais à être convoquée quelque part mais ce ne fut pas le cas. Cela me parut si étonnant que je le pris comme un cadeau et décidais d’en profiter pour me promener un peu en ville.

Je flânais sans but, errant devant les vitrines. J’étais tellement habituée maintenant à ne plus porter de sous-vêtements et aux hauts-talons que je n’y prêtais même plus attention. Parfois je m’attirais des regards réprobateurs des femmes qui contrastaient furieusement avec ceux d’envie et de désirs de la plupart des hommes que je croisais.

Moi qui avais toujours été complexée et pudique, j’étais aujourd’hui excitée par la lubricité que je provoquais chez ces mâles en rut. Contente de m’être donnée en spectacle, je décidais au bout d’une heure de rentrer chez moi et de passer la soirée en famille. Je n’imaginais pas à cet instant que le destin allait cruellement m’exaucer.

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Juge Kimmy Ch. 03

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Babes

Traduction d’un texte de Doctor_devon.

Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.

**********

Des mois ont passé depuis que je suis victime de chantage et que je suis devenue une salope pour Lenny et Devon. C’était intense les premiers mois mais depuis quelques temps ça diminuait. Les visites quotidiennes sont réduites à une voire deux par semaine. D’une certaine façon je suis soulagée mais d’autre part… Je dois avouer que je me viole encore. Une fois par semaine, je renifle de la drogue et je me maltraite toute la nuit. A part ces jours-là, ma vie est presque normale. Éric ne sait toujours rien et j’ai le plaisir parfois de rendez-vous galant avec lui. Ça me dérange de ne plus avoir d’orgasmes avec lui. Bien sûr, je fais semblant de ne pas me sentir trop mal. Mais le sexe avec lui est trop… normal. Après son départ, je reprends les choses en main et je me fais jouir.

Ce vendredi, en arrivant à la maison, je trouve une note sur ma porte. Je reconnais l’écriture de Devon. J’entre et je déchire l’enveloppe. Mon cœur s’arrête presque quand je lis.

« Salut, il est temps pour toi de voir Lenny. Demain tu iras à la prison et tu lui rendras visite dans une cabine. Ne rate pas ce rendez-vous sinon… »

Voir Lenny? Oh mon Dieu… Je sais tout de suite ce que ça veut dire. Cette nuit-là, je ne peux pas dormir. Je suis horrifiée à la perspective de ce que je vais devoir faire. Si bien que je ne me masturbe pas même si ma chatte est mouillée.

Le lendemain matin, je roule jusqu’à la prison. Lorsque j’y arrive, je vois que les véhicules sont dirigés par les gardes vers la droite. Je mets mon clignotant, mais après que le gardien ait regardé ma carte d’identité, il me dit d’aller à gauche. Je suis confuse mais j’obéis. Je conduis peu de temps jusqu’à un endroit où une voiture de patrouille est garée. Un gardien me dirige vers une place de parking et il s’approche.

– Venez avec moi! Dit-il simplement.

Je le suis dans un bâtiment faisant partie des communs de la prison. A l’intérieur on retrouve un autre gardien, noir et Escort Beylikdüzü costaud. Il me commande :

– Déshabillez-vous, on doit vérifier que vous ne faites rien entrer.

– Quoi? C’est tout ce que je peux dire.

– Je vous ai dis de vous déshabiller. Maintenant!

Je cherche les boutons de mon chemisier à tâtons. Voici encore une humiliation supplémentaire. Comme si j’avais caché des choses sur moi? Je me retrouve en culotte. Le gardien noir me dit :

– Tout!

J’enlève ma culotte. Je réalise qu’elle est mouillée. Le garde noir me regarde longuement tandis que son collègue, un homme blanc d’environ 25 ans fouille mon sac à main et mes vêtements. Je remarque son sourire quand il touche ma culotte. Je suis encore plus humiliée en réalisant qu’il sait que je mouille.

– Rien là-dedans!

Sur ces mots, le gardien blanc fourre la culotte dans sa poche et quitte la pièce. Même si je ne suis pas tellement au courant du règlement de cette prison, je sais que toute fouille corporelle nécessite un médecin et un témoin. Le gardien noir me dit :

– Venez ici! mettez vos mains derrière la tête et écartez vos pieds de la largeur de vos épaules.

Je le fais sans poser de questions. Il commence à passer ses doigts dans mes cheveux, pour vérifier que je n’y cache pas d’objets je suppose. Il passe ensuite sa main entre mes jambes et enfonce deux doigts dans ma chatte. Un sourire en coin s’affiche sur son visage quand il remarque que ses phalanges glissent facilement dans mon sexe humide. Je me sens rougir et ma respiration s’accélère.

Ce qui devrait être une simple vérification rapide pour vérifier que je ne rentre rien dans la prison dure plusieurs minutes. Je suis proche de l’orgasme quand il retire ses doigts. Un sentiment de soulagement mais aussi de déception me traverse. J’étais si près de jouir. L’homme passe derrière moi et fourre dans mon cul un de ses doigts maintenant bien lubrifié. Maintenant qu’il est derrière moi, je remarque un grand miroir en face de moi. Je me regarde alors qu’un inconnu me doigte le cul. Et ça suffit à me faire jouir. Le garde glousse et dit :

– Il ne reste rien à vérifier sauf l’intérieur de ta bouche.

Avec ces mots, il me pousse Beylikdüzü Escort Bayan à genoux, mes mains toujours derrière ma tête. Il s’avance devant moi et défait son pantalon. Une bite assez grosse en sort, déjà raide. Il ne perd pas de temps et la fourre dans ma bouche. Il me baise sauvagement et je suis obligée de prendre toute la longueur de sa bite dans ma bouche. Il ne lui faut pas longtemps avant qu’il ne décharge une énorme quantité de sperme dans ma gorge. J’essaie de tout avaler comme Devon m’ordonne de le faire quand quelqu’un jouit dans ma bouche. Mais la quantité est telle qu’un peu de foutre coule le long de mon menton sur mes seins nus. Il retire sa bite et me dit de passer par la porte à côté du miroir. Je vais pour prendre mes vêtements mais il me dit de les laisser. Je lui obéis.

Quand je pénètre dans la pièce à côté, je suis frappée par la peur. Là, dans la pièce, il y a Lenny qui me regarde. Il a le même regard que le jour où il a été condamné dans mon tribunal. Je remarque que le miroir est un miroir sans tain et qu’il vient de voir tout ce qui s’est passé à côté. Je me mets à trembler.

– Eh bien? Qu’avons-nous ici? Dit-il.

Je ne réponds pas alors il se lève et se dirige vers moi. Je remarque qu’il est nu à part un caleçon. Je remarque aussi un renflement dans ce caleçon. Mon Dieu, que sa bite doit être énorme!

– J’ai dit : Qu’avons-nous ici?

Je lève les yeux et réponds simplement :

– Une salope Monsieur.

Je suis terrifiée. J’ai peur qu’il me batte à mort. Il tourne autour de moi, me détaillant de haut en bas.

– Tu as l’air mieux en vrai que sur les photos que mon frère m’a envoyées.

Je me sens faible. J’ai l’impression d’être sur le point de m’évanouir. Il m’attrape par les cheveux et me pousse sur un lit dans la pièce.

– Occupe-toi de ta chatte! Dit-il.

Je comprends ce qu’il veut dire immédiatement. Ma main se pose sur ma chatte. Et bizarrement, je suis encore surprise de la trouver plus humide qu’il y a quelques minutes lors de ma fouille. Je frotte avec vigueur mon clitoris et avec mon autre main je me doigte. Lenny regarde attentivement et caresse sa bite à travers son caleçon.

– Qu’est-ce que tu es? Demande-t-il.

Beylikdüzü Escort Une salope! Dis-je.

– Quoi comme salope? Demande-t-il encore.

– La votre! Dis-je.

Avec ces mots, les larmes remplissent mes yeux pour la première fois depuis longtemps. Je me rends compte que je suis bien sa salope et que je n’ai pas le choix. Mes larmes semblent lui plaire et il enlève son caleçon. Mon dieu, je pensais que certains hommes qui m’avaient baisée avaient de grosses bites Mais celle de Lenny était énorme. Une peur supplémentaire m’envahit car je sais déjà que ça va me faire mal. Cette peur et cette pensée me provoque un nouvel orgasme, et un gros. Je pleure encore plus fort quand je réalise que mon corps me trahit encore. Je viens de jouir devant l’homme responsable de ma déchéance.

Me voyant pleurer de plus belle, il se jette sur moi et me pénètre d’un seul coup avec sa grosse queue. Je crie sous l’invasion soudaine de ma chatte. Je ferme les yeux mais il me gifle et me dit de les ouvrir et de le regarder. Je lui obéis et je ressens une immense humiliation à devoir regarder dans les yeux mon violeur. Des larmes coulent sur le côté de mon visage pendant qu’un autre orgasme me traverse.

Lenny commence à me traiter de grosse salope et il me demande si mon copain me baise aussi bien. J’ai honte quand je réponds non et je jouis à nouveau. Il continue à me baiser durement tout en m’insultant et me dégradant. Puis il me fait le supplier d’avoir son sperme, que j’ai envie de son foutre :

– S’il vous plaît, baisez-moi… S’il vous plaît, jouissez en moi.

Il le fait et je suis traversée par un orgasme qui me fait presque m’évanouir. Il éjacule en plusieurs fois si bien que je me demande depuis quand il ne l’avait fait. Il gicle tellement de sperme que celui-ci coule le long de mes fesses. Puis il se retire et m’ordonne de le nettoyer. J’ouvre ma bouche et il me demande de me masturber pendant que je lèche sa bite. Ma main trouve mon clitoris sensible et je le titille maladroitement. Lenny pousse autant de sa bite dans ma bouche que ce que je peux prendre. Je peux goûter son sperme et mon propre jus.

Enfin il se retire et enfile son caleçon. Et il me dit de partir.

Je pars de la même façon que je suis entré mais je rencontre le gardien blanc qui me dit alors :

– Gémeaux!

Il me retourne, me penche au-dessus d’une table et m’encule sans aucun ménagement. Hébétée, je le prends comme une bonne salope.

A suivre…

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Ecole Privée Ch. 10

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Cumshots

Traduction d’un texte de « Anne ».

Avertissement : Ce récit raconte l’humiliation et la dégradation d’une jeune enseignante. Certains passages sont assez durs et peuvent choquer. Si vous avez l’âme sensible, fermez cette page.

*********

18 — Sous la coupe des filles.

– Tu peux poser ton cul, salope. Personne ici ne va t’enculer, même si tu supplies. Remarqua Lydie.

Sa voix dégoulinait de mépris. Elle continua :

– Je savais que tu étais une honteuse salope quand tu m’as léché le cul et que tu as semblé aimer. Mais je ne savais pas que tu étais assez pute pour te faire baiser par tous les garçons. Imaginez, nous avons une putain comme professeure.

– Mais Lydie, tu ne peux pas parler de Mme POISTOUT de cette façon.

Cette voix calme appartenait à la belle et timide Valentine RIVIERE. Elle ajouta :

– Après tout c’est notre professeure.

Lydie sourit.

– Et alors? Que penses-tu qu’elle va faire? Nous faire échouer nos examens à toutes? Nous allons avoir les meilleures notes de tous les temps.

– Non nous ne pouvons faire ça. Interrompit Belinda.

– Éric a expliqué très clairement que quoi que nous fassions avec elle, nos cours et nos notes n’ont rien à voir avec ça. C’est lui qui a mis ça en place. Il la contrôle et a dit que nous pouvions avoir tout le plaisir que nous voulions avec elle, mais elle ne nous fournira pas de bonnes notes sans travail pour notre dernière année.

Puis elle ajouta en souriant :

– Remarquez qu’elle est toujours notre putain.

– Je dis toujours que nous ne pouvons pas traiter notre professeure de cette façon. Affirma Valentine.

– Allez Valentine, c’est amusant et je suis sûre que Mme POISTOUT sait qu’elle est une salope et qu’elle ne le dit pas. En plus j’en ai marre de jouer toute seule avec ma chatte. C’est plus agréable de l’avoir elle pour se faire lécher. Je ne sais pas pour vous les filles, mais le spectacle m’a laissée complétement excitée. Allez, lèche-moi la chatte!

Katia baissa sa culotte et écarta les jambes.

– Katia! Comment peux-tu? Ici devant nous! Cria Valentine.

Rose l’interrompit.

– Oh arrête Valentine, nous avons vu les chattes de chacune dans les vestiaires et sous les douches. Et n’oublie pas que nous partageons la même chambre. Je sais que tu te masturbes parfois et tu sais que je le fais aussi. Alors où est le problème? Et puis regarde notre petite lécheuse de chatte. Elle ne partage pas tes objections.

Tous les yeux se tournèrent vers Anne, déjà occupée, la tête sous la jupe de Katia, et la langue sur son clitoris.

Belinda sourit et dit :

– Eh bien, au moins maintenant, elle se souvient à quoi sert sa bouche. Mais une chose dont je me rappelle, il ne s’agit pas de l’avoir à notre service, ce qui, je suis sûr, sera son but à l’avenir, mais bien de la punir de ne pas se souvenir qu’elle peut être utilisée pour lécher des chattes au lieu de simplement sucer des bites.

Bon sang, mais elle ne pouvait pas savoir que les filles étaient là et elle n’avait pas voulu dire aux garçons ce qu’elle avait fait avec Belinda et Éric, et encore moins ce qui était arrivé avec Katia et Lydie. Maintenant elle allait être punie par les filles.

– Alors que faisons-nous avec Mme POISTOUT? Demanda Rose.

Belinda répondit en souriant :

– Tout d’abord nous nous assurons que tout le monde réponde à son nom. Katia, tu pourras l’avoir plus tard, mais pour le moment nous voulons toutes nous amuser. Viens ici salope!

Anne hésita un moment en espérant que Katia proteste. Au moins, cette fille Escort Beylikdüzü était très gentille avec elle, et de plus, tant que son visage était caché sous la jupe, elle n’avait pas à les affronter toutes. Mais aucune protestation ne s’éleva. Katia commença à fermer ses jambes, et, à contrecœur, Anne s’éloigna et fit face à Belinda. La jeune fille tenait un marqueur dans sa main. Elle s’approcha d’Anne. Celle-ci, sans baisser les yeux, put deviner ce que l’étudiante écrivait sur sa poitrine. Belinda dit alors :

– Voilà! Et quiconque l’appellera maintenant Mme POISTOUT devra payer une amende. Comme ne pas avoir sa chatte léchée pendant une heure. C’est une salope, après tout c’est ce qu’elle a dit, et même vingt-cinq fois.

Dans la joie générale Belinda s’assit.

– Bon pourquoi pas laisser chacune d’entre nous faire une suggestion. Je suis sûre que nous allons toutes profiter des idées des autres. Et toi la salope, vas t’agenouiller dans le coin et couvre tes oreilles. Nous voulons te surprendre.

Anne fit comme elle lui avait dit. Son corps entier était toujours blessé. Elle était incertaine sur ce qu’était le pire pour elle, la douleur physique et l’humiliation d’être utilisée par tous ses élèves, ou la perspective de subir plus de punition et être ensuite baisée par tous les garçons. Elle posa volontiers ses mains sur ses oreilles pour tenter de résoudre son problème. Comment en était-elle arrivée là? Elle savait qu’elle était si profondément plongée dans sa situation qu’il n’y aurait aucun retour en arrière, si elle voulait continuer de travailler. Elle aimait cette école avec ses professeurs et elle se voyait rester ici. Mais d’abord elle devait passer cette année, d’une manière ou d’une autre? Ça allait être une longue année. Une main toucha son épaule.

– Nous allons jouer à un petit jeu salope. Nous allons te donner la chance de décider toi-même de l’ampleur de ta punition. Si tu fais attention, ça ne sera pas grand-chose, mais si vous…

Lydie laissa la fin de sa phrase en suspens.

– Les règles sont si simples que même une salope comme toi peut les comprendre. Tu va venir au milieu de la pièce et tu vas nous écouter attentivement. Chaque fois qu’une partie de ton corps sera mentionnée dans une conversation, tu feras de ton mieux pour la montrer. Compris salope?

– Oui Lydie.

– Alors pourquoi ne montrerais-tu pas ta chatte salope!

Lydie rigola.

– Et ce sera Mademoiselle Lydie à partir de maintenant.

– Oui Mlle Lydie.

Anne se laissa tomber sur le dos et écarta les jambes.

– Ok les filles, de quoi allons-nous parler? de sa chatte, de son cul ou de ses seins?

Anne se dépêcha de se tourner pour montrer son cul, puis roula en arrière et releva ses seins.

– Non parler de sa chatte est ennuyeux.

Rose reprit le fil tandis qu’Anne levait rapidement sa jambe pour montrer sa chatte.

– Parlons de l’école. Saviez-vous qu’il y avait un trou dans le toit. L’eau est entrée et a mouillé deux gros sacs. Je l’ai entendu de la bouche du concierge mais comme j’étais derrière un pilier, je n’ai pas tout entendu.

– Je pense que nous devons motiver notre salope un peu plus.

Belinda leva les yeux d’un papier sur lequel elle était occupée à écrire.

– Elle a deux « chatte », un « cul » et un « seins », mais elle a manqué le « trou », « gros sacs », « bouche » et « derrière ». Pas dans le même contexte, mais peu importe. Tu as vraiment besoin de réfléchir plus, salope, et de penser à tes trous.

Anne gémit de frustration. La conversation continuait Beylikdüzü Escort Bayan et elle n’arrêtait pas de se tordre sur le sol en présentant toutes les parties de son corps dans un show sexuel dégradant. Quand les filles en eurent assez, elles lui annoncèrent qu’elle avait loupé dix-sept mots. Et, Quand Anne vit Belinda se lever une canne à la main, elle perdit toute dignité.

– Non, s’il vous plaît, pas plus. Mon cul me fait tellement mal. S’il vous plaît, je… je ferais tout ce que vous voudrez.

Elle se mit à genoux et les supplia. Les jeunes filles se regardèrent et explosèrent de rire.

– Tu le feras de toute façon, salope. Sourit Belinda.

– Mais peut-être pourrait-elle nous offrir quelque chose à laquelle nous ne pensions pas.

Étonnamment Valentine fit soudain une suggestion.

– Oh oui, quelque chose de vraiment dégradant. Des suggestions? Ajouta Rose.

Anne répondit la première chose qui lui vint à l’esprit :

– Je vais embrasser tous vos culs.

Il y eut un moment de silence et quelques filles éclatèrent de rire tandis que Valentine était abasourdie.

– Mais c’est trop humiliant d’embrasser le cul de quelqu’un d’autre. S’exclama-t-elle.

– C’est exactement pour ça qu’elle va le faire. Mais pas juste comme ça. Elle va d’abord supplier chacune d’entre nous. Allez les filles, montrons-lui de beaux culs à embrasser.

Lydie laissa tomber ses vêtements et se pencha sur le comptoir du petit meuble de cuisine où les garçons se préparaient à boire. Katia et Belinda firent comme elle. Anne s’approcha d’elles et se laissa tomber à genoux derrière Belinda.

– Puis-je t’embrasser le cul Belinda?

– Oh non salope. Comme tu veux échapper à ta punition, montre-nous à quel point tu mérites ce privilège. Objecta Belinda.

– S’il vous plaît Melle BELINDA, puis-je avoir l’honneur d’embrasser votre magnifique cul?

– Tu peux salope!

Anne posa ses lèvres sur chacune des fesses de la jeune fille puis elle glissa sur le côté vers Lydie.

– Melle Lydie, S’il vous plaît, puis-je avoir le privilège d’honorer votre cul avec mes lèvres?

– Embrasse-le salope!

Lydie put à peine contrôler son rire quand Anne pressa ses lèvres sur son gros derrière.

– S’il vous plaît Melle Katia, me permettez-vous de vous montrer ma gratitude en embrassant votre doux derrière?

Quand Anne eut fini cet acte dégradant, elle fut soulagée, mais seulement pour un moment.

– Trois culs embrassés, ça te laisse quatorze coups.

– Et elle n’a même pas embrassé mon trou du cul. Se plaignit Katia en souriant.

– Embrasser un trou du cul? personne ne fait ça! S’exclama Valentine.

– Elle va le faire. Essaie donc. Allez, ose!

Valentine se leva lentement et regarda le corps nu d’Anne. Puis elle s’allongea sur un canapé et releva sa jupe. Elle ne portait pas de culotte. Anne s’approcha d’elle à genoux. Elle détestait cette situation et les regards que lui jetaient les autres filles, mais elle ne voulait pas être fouettée. Alors elle poussa son visage entre les fesses de la fille et toucha doucement son anus avec les lèvres.

– Tu peux faire mieux que ça, salope! Lança Lydie.

N’importe quoi pourvu qu’elle évite la canne. La langue d’Anne sortit et lécha le trou du cul de façon experte. Elle entendit Valentine haleter de surprise et continua de lécher, de pousser et de frotter le bout de sa langue sur le petit trou serré de la jeune fille. Jusqu’au moment où un coup frappé à la porte la fit arrêter.

– Vous en avez encore pour longtemps avec elle les filles? Beylikdüzü Escort Certains d’entre nous s’impatientent un peu. Cria une voix masculine.

– Plus que quelques minutes. Cria Lydie en retour.

– Et bien, nous allons en enlever trois de plus pour avoir embrassé et léché le trou du cul de Valentine. Ça laisse onze coups et plus de temps pour en diminuer le nombre. Penche-toi salope!

Anne trembla et supplia :

– S’il vous plaît, est-ce que je peux faire autre chose?

– Tu peux te pencher sur cette table ou… j’irai dire à Éric que tu refuses nos ordres.

Belinda balaya l’air avec la canne. A contrecœur, Anne s’approcha et se plia sur la table. Belinda lui administra trois coups de canne, chacun d’eux faisant crier l’enseignante. Les autres filles lui donnèrent deux coups chacune. Etonnamment, ce fut Valentine qui frappa le plus durement, lui faisant monter les larmes aux yeux. Quand ce fut fini, Anne n’était pas en état de réfléchir. Elle entendait les filles parler à voix basse et rigoler. Finalement, ce fut Rose qui lui parla.

– Nous avons décidé de ne pas te laisser partir dans cet état. Nous allons faire un petit cadeau aux garçons. Va t’asseoir sur cette chaise devant l’ordinateur. Regarde ce que nous avons mis sur l’écran, je suis sûre que c’est ce que tu veux le plus, n’est-ce pas?

Anne s’assit en faisant très attention. Et quand elle regarda l’écran, elle vit une grosse bite en érection. L’image lui rappela ce qui l’attendait et elle déglutit. Lydie sourit.

– Vous voyez! Le simple fait de voir une queue l’excite. Allez salope, montre-nous comment une putain sans vergogne comme toi se prépare à prendre des bites. Je suis sûre que les garçons vont bien profiter de toi, alors assure-toi que ta chatte soit bien humide et accueillante. Allez, on veut voir le jus de ta chatte.

Et maintenant, elle devait se masturber devant elles. Mais Lydie avait raison. Sa chatte lui faisait mal actuellement, mais elle lui ferait encore plus mal si les garçons la baisaient sans qu’elle mouille. Elle commença à caresser son clitoris et se tripoter les seins pendant que la jeune fille commentait son comportement dans des termes vulgaires. Elle mouilla étonnamment vite. Ses mouvements devinrent de plus en plus rapides.

– Mieux vaut que tu arrêtes ou alors nous serons encore là demain pour une autre punition.

La voix de Valentine la ramena à la réalité et elle s’arrêta à contrecœur.

– Bon, je vais la ramener dans sa chambre. Si nous la laissons partir seule, elle va surement disparaître dans les toilettes ou un placard à balai pour jouer avec sa chatte. Déclara Belinda.

– Attends, laisse-moi la préparer pour le voyage.

Lydie sourit et prit le marqueur que Belinda avait déjà utilisé. Ce qu’elle écrit fit rigoler les filles. Lydie fit signe à Anne de se tenir devant un miroir.

– Tu veux que je supprime ça? Je pense que ça te va bien. Tu as des objections?

– Non Melle Lydie. Chuchota Anne.

Elle se tourna vers la porte, l’inscription « grosse pute de merde » inscrite sur son corps.

– A genoux salope! Tu vas ramper jusqu’à ta chambre. Déclara Belinda.

En dehors de la salle commune, la plupart des portes étaient ouvertes et les garçons suivirent sa lente progression en rampant avec un grand sourire, surtout quand Belinda la faisait ramper plus vite avec quelques claques sur son cul maltraité. Belinda l’avait à peine laissée dans sa chambre que Ali entra.

– J’ai tiré la première place salope. Annonça-t-il, son visage bronzé souriant largement.

– Sors ma bite et suce-la!

Quand elle eut fini de satisfaire tous les garçons, les genoux et la bouche d’Anne étaient engourdis et son visage dégoulinait de sperme. Néanmoins, elle était reconnaissante qu’ils n’aient pas utilisé sa chatte ou son cul.

A suivre…

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Claudine, Professeur de Français 04

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Amateur

Cette histoire tirée de mes archives a été écrite il y a une dizaine d’année par un certain Geronimo. Aujourd’hui vous pouvez trouver sur ce site certaines de ses histoires sous le pseudo Elko. Mes remerciements à cet auteur.

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Je sors de la salle de classe et referme la porte soulagée. Nous sommes vendredi soir et c’est le week-end. Curieusement, Bruce, Rachid et Bruno, mes élèves, m’ont laissée tranquille t le reste de la semaine. Je les ai croisés à plusieurs reprises dans les couloirs du lycée mais ils ne m’ont fait subir aucunes autres humiliations.

Après qu’ils se soient « invités d’office » dans mon pavillon ce fameux lundi soir où j’avais été forcée à de multiples turpitudes sexuelles, je n’avais plus eu de leurs nouvelles à mon grand soulagement. Le soir, je m’étais disputée avec mon mari qui n’avait pas compris que je me refuse à lui. Il faut bien reconnaitre que sexuellement, j’avais eu ma dose. J’avais été prise de toutes les façons par mes élèves et je frémissais encore d’excitation quand j’y repensais.

A ma grande surprise et à ma grande honte, j’avance dans le couloir en direction de la sortie et mes talons aiguilles claquent sur le sol. Je suis vêtue d’une jupe noire légèrement fendue sur le côté, d’un tee-shirt rose qui moule mes seins et d’une veste blanche. Le Tee-shirts est un peu osé, le profond décolleté laisse apparaitre la naissance de mes seins. Certains de mes élèves m’ont sifflé quand je suis entrée dans ma salle de classe tout à l’heure.

J’arrive près de la sortie quand je me retrouve nez à nez au détour d’un couloir avec Rachid qui est accompagné d’une jeune fille.

– Tu viens avec nous! me lance-t-il d’un ton autoritaire.

Je blanchis sous mon maquillage. Non, pas encore…

Je n’oppose aucune résistance quand il me prend par le bras et m’entraine vers les toilettes. Il pousse la porte et nous entrons. Je suis face à Rachid et cette fille que je crois reconnaitre. C’est la petite amie de Rachid, Leila.

– – On a prévu une sortie pour ce soir, tu viens avec nous. Me dit Rachid en s’approchant de moi.

Je proteste que ce n’est pas possible, que ma famille va s’inquiéter de ne pas me voir rentrer du lycée. Je dois justement recevoir ma fille Anne-Sophie ainsi que son futur mari et la future belle-famille à diner demain soir et je comptais aller faire des courses ce soir.

– Tu les feras demain matin tes courses! me lâche Rachid.

Il m’explique que le site internet qu’ils ont créé marche du tonnerre et que les internautes, qui peuvent laisser des commentaires, demandent à ce qu’on me ramène dans le bar ou j’avais eu le malheur de rentrer pour demander du secours, ce fameux dimanche où ma voiture était tombé en panne.

Je suis anéantie. Cela ne s’arrêtera donc jamais. La fille porte un sac en plastique à la main et elle le pose par terre en me lançant :

– Je t’ai ramené des fringues de pute! T’es notre salope ce soir!

Elle s’approche de moi et me pousse en direction de la porte des toilettes. Elle soulève brutalement mon Tee-shirt dévoilant mes seins car je n’ai pas mis de soutien-gorge. Elle me traite de pétasse en constatant que je n’ai pas mis de sous-vêtements. Elle me regarde avec un air méchant :

– Tu t’es Escort Beylikdüzü tapée mon mec, salope! Tu vas le payer!

A quoi bon lui expliquer que je suis victime de ces obsédés. Et d’ailleurs le suis-je?

Les doigts de Leila se referment sur les pointes de mes seins et elle se met à les tortiller dans tous les sens ce qui m’arrache un faible gémissement. Elle se met soudain à me grignoter le téton droit avec ses dents. Juste à la limite de le sectionner! C’est une femme, elle sait jusqu’où on peut aller avec une poitrine féminine, elle connait les limites entre le plaisir et la douleur. Pendant ce temps-là, Rachid a retroussé complètement ma jupe dévoilant mes longues jambes gainées de bas blancs auto-fixants, des Dim-Up. Il ricane en constatant que je ne porte pas non plus de string.

– Tu commences à y prendre gout, pas vrai ma chienne? T’aime ça être traiter comme une pute sous tes airs de bourgeoise respectable!

Je ne réponds pas, ma respiration s’est accélérée. Rachid enfonce deux doigts dans ma chatte dégoulinante et Leila me torture toujours les seins, les suçant en alternant, mordant, léchant. Je suis leur poupée…leur poupée de chair qu’on manipule comme on veut.

Leila me force à me mettre à quatre pattes sur le sol des toilettes et demande sa ceinture à Rachid. Elle abat avec force le bout de cuir sur mes fesses après avoir relevé ma jupe. Je pousse un cri. Elle m’insulte, me traitant de salope, de pute, de vieille bourge qui aime se faire baiser par des jeunes.

C’est vrai que j’ai 49 ans et qu’elle doit avoir l’âge de ma fille. Elle me force à m’approcher d’un urinoir et m’oblige à mettre la tête dedans. J’ai un haut le cœur et manque de vomir tant l’odeur d’urine est forte. Elle s’agenouille derrières moi et me fouille la chatte avec ses doigts. Elle titille mon clitoris, m’écarte les lèvres puis enfonce soudain un doigt dans mon anus et le ressort aussitôt pour me le faire lécher. Ce que je fais, obéissante.

Leila me retourne soudain et me positionne à genoux devant Rachid :

– Puisque t’aime ça, tu vas faire une pipe à mon copain!

Rachid n’en peut plus, il baisse le zip de son jean et sort un sexe énorme et raide : Une matraque de chair qu’il empoigne et dirige vers mes lèvres pulpeuses. Il la passe un instant sur mon visage, s’attardant sur mes lèvres. J’entrouvre la bouche et il y enfonce sa bite.

– Suce! Suce-moi, salope! râle-t-il en me secouant la tête d’avant en arrière autour de son sexe gonflé.

Je m’applique du mieux que je peux et je commence à devenir experte. J’enroule ma langue autour de son gland et je m’active dans l’espoir que cela se termine vite. Leila, pendant ce temps, me fouille toujours la chatte et je suis à deux doigts d’avoir un orgasme. Je suis trempée, je dégouline et Leila lance à Rachid :

– Quelle salope, j’ai les doigts trempés!

Cela doit exciter Rachid au plus haut point car je le sens soudain sur le point d’exploser. Je l’avale toujours comme une automate dans un mouvement de va et vient régulier. Brusquement, il m’empoigne la nuque et m’écarte. Il se déverse sur mon visage avec de longs jets saccadés. Sur ma bouche, mes cheveux, mes lèvres, mon menton, je suis profanée, humiliée, souillée. Leila continue de me masturber et j’halète Beylikdüzü Escort Bayan de plus en plus en fort, je m’affaisse soudain sur le carrelage et me tords de jouissance en criant.

Nous reprenons tous notre souffle, Leila et Rachid n’arrêtant pas de me traiter de trainée, de pouffiasse. Rachid prend des photos évidemment. Ils me forcent à me relever et Leila exige que je me déshabille. J’obéis, soumise une fois de plus, totalement aux ordres de ces jeunes. Je me retrouve nue devant eux et Leila me tend mes habits pour la soirée. J’enfile des bas noirs à couture et une mini-jupe en cuir noir qui m’arrive à mi-cuisses. Pour les chaussures, j’ai droit à une paire de talons aiguilles rouge. Je fais la grimace en les mettant, ce n’est pas ma taille et j’ai mal aux pieds. Je m’en plains mais ça n’a pour effet que de faire éclater de rire mes tortionnaires. Je dois mettre un soutien-gorge rouge ainsi qu’un chemisier noir transparent. J’ai vraiment l’air d’une pute.

Nous sortons des toilettes puis du lycée sans rencontrer âmes qui vivent. Nous montons dans ma voiture, Rachid au volant et Leila et moi à l’arrière. Bien entendu, elle en profite immédiatement pour glisser une main sous ma mini-jupe en cuir et commencer à m’agacer le clito. Elle sait y faire et je suis dans état d’excitation intense quand nous arrivons devant le bar.

Les conversations s’arrêtent dès que les clients m’aperçoivent. Je reconnais derrière le comptoir Francis, le Patron et son fils Thierry. Bruce et Bruno sont en train de boire une bière. Le patron avance vers moi :

– Je ne pensais pas que tu reviendrais, c’est que ça a dû te plaire?

Je baisse la tête mais Leila me tord le téton d’un sein à travers le chemisier.

– Réponds!

– Oui, ça m’a plu…Murmuré je, honteuse et rougissante.

Francis avance et prend mes seins à pleines mains pour me les malaxer sans douceur.

– On a vu ton site ma salope, t’es vraiment une chienne!

Je suis poussée au milieu du bar, sous le regard lubrique des autres et renversée sur une table. Comme la dernière fois, Francis va fermer le bar. Thierry s’approche de moi et se met à genoux. Ma minijupe en cuir est relevée découvrant ma toison. Il s’approche et commence à me sucer la chatte, m’aspirant le clitoris, tout en enfonçant des doigts dans mon vagin

Son père s’approche de moi, son sexe à la main et me l’enfonce dans la bouche. Je l’aspire, je le pompe en poussant des gémissements. Je sens que je perds totalement le contrôle de moi-même comme à chaque fois que l’on me force. Thierry continue de me branler sans ménagement et je coule comme une fontaine. Francis s’active dans ma bouche me traitant de tous les noms.

Autour de nous, les insultes pleuvent et cela m’excite au plus haut point. Francis finit par éjaculer son sperme dans ma bouche et il me force à avaler sa semence en me tenant solidement la nuque. Il est aussitôt remplacé par Bruce. Thierry s’est relevé et m’a pénétré en poussant un « han » de bucheron. Il s’active dans mon vagin, me limant brutalement, furieusement. Lui aussi éjacule très vite et j’ai un orgasme foudroyant quand je le sens se vider dans ma chatte.

On me relève et on me force à me mettre sur le ventre. Les seins écrasés sur la table, cambrée, le Beylikdüzü Escort cul et la chatte exhibée aux regards de mes tourmenteurs, je suis totalement impudique et soumise, livrée à des mâles en rut.

On m’introduit un doigt dans le cul et un autre dans la chatte et on me branle. On me relève de nouveau et on me force à me mettre par terre sur le dos. On ouvre mon chemisier pour me mettre les seins à l’air et plusieurs mains les triturent, les tordent, les soupèsent.

Bruce m’ordonne de continuer ma fellation et je me soumets, le pompant furieusement. Il se retire soudain et m’asperge d’un liquide épais et poisseux. Son sperme coule sur mon nez, mes lèvres jusque que sur mes seins.

On me met à quatre pattes sur le sol, les seins ballotant et de nouveau on introduit des doigts dans ma chatte puis divers ustensiles : rouleau à pâtisserie, manche de cuillère en bois. On tente de m’enfoncer un verre mais on y renonce. Par contre, le patron revient avec des fruits et on m’enfonce une banane dans le vagin puis un concombre.

Je dois me promener à quatre pattes avec le concombre dans ma chatte. Tout le monde prend des photos. Rachid veut m’enculer et il dit à Francis qu’il faut me préparer, comme si j’en avais besoin. Le patron va chercher derrière son bar une bouteille de bière vide. Il m’enfonce le goulot dans la chatte la faisant coulisser rapidement. Ils sont tous complètement excités. Au-dessus de ma tête, j’aperçois Bruno et Thierry qui se masturbe comme des fous en me regardant. Plus loin, Leila s’est déshabillée et se caresse la fente elle aussi en me regardant.

Soudain, Rachid enfonce le goulot de la bouteille dans le cul qui rentre sans trop de difficultés malgré mes cris et mes supplications. Il agite la bouteille dans mon anus quelques temps, puis la retire et enfonce sa bite dans mon cul. Il m’agrippe les hanches et me bourre le cul en ahanant. Je subis les assauts de Rachid en poussant de longs gémissements. Mon corps ballotent sous ses coups de reins puissants.

Au-dessus de moi, Bruno et Thierry se vident les bourses en souillant mon visage de leurs foutres. Rachid se retire et se vide sur mes fesses. Je sens le sperme qui coule sur mon corps. J’en ai partout, je suis couverte de sperme. Leila s’approche de moi :

– T’as pris ton pied ma salope!

Elle me force à m’allonger sur le dos et elle se jette sur ma toison, farfouillant dedans avec sa langue. Elle déniche mon clitoris et le pompe, le suce, le maltraite. Mais avec tellement de savoir-faire que très vite je l’accompagne en donnant des coups de reins et en poussant des petits cris. Je sens sa langue fouiller mon sexe et je m’offre, totalement soumise. Leila me lèche la vulve, écartant de ses doigts mes petites lèvres.

Francis s’approche, tenant son sexe a pleine main, et prend Leila en levrette pendant qu’elle continue d’enfoncer ses doigts dans mon vagin. Il ne tarde pas à jouir, ainsi que Leila qui continue de me branler tout le temps de son orgasme. Je lâche une longue plainte et je jouis également sous les applaudissements des autres.

On me relève et j’ai du mal à rester debout. Je referme mon chemisier tant bien que mal et me dirige vers la sortie, titubante sur mes talons aiguilles, épuisée mais comblée. Je ne compte plus mes orgasmes. Je sens le sperme qui coule le long de mes jambes.

– La prochaine fois qu’on veut te baiser, on se pointe chez toi!

Je fais comme si je n’avais pas entendu, je sors dehors et le froid me saisit. Je me dirige vers ma voiture…

A suivre….

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