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Le chemin de l’école partie 16En milieu d’après midi, il m’emmène à Genève pour que l’on puisse en profiter pour nous promener main dans la main sans risquer de croiser quelqu’un que l’on connaît.Il m’entraîne dans une boutique de lingerie. Dans les rayons, nous choisissons à deux plusieurs ensembles assez sexy.On se dirige vers les cabines d’essayage, il entre avec moi dans l’une d’elles. D’un doigt sur la bouche il m’intime le silence.Il me déshabille en commençant par le top que j’ai mis pour remplacer le chemisier orphelin de ses boutons. Je me retrouve seins nus. Il m’enlève ma jupe et mon tanga. Je suis nue, juste vêtue de mes escarpins, devant lui.Il en profite pour mordre mes tétons et embrasser mon ventre jusqu’à mon pubis. Puis il me tourne dos à lui et me fait me pencher pour prendre appui à la paroi de la cabine. J’entends qu’il ouvre sa ceinture et la fermeture éclair de son jeans.Il pose ensuite ses mains sur mes hanches pour les agripper et me pénètre. Je sens ses couilles internet casino taper mes fesses. Il me baise de plus en plus fort. J’ai du mal à retenir mes cris tellement c’est bon.Soudain il se retire et me demande de me mettre à genoux pour le sucer :- J’ai envie que tu avales, chuchote-t-il.J’adore qu’il me dise ce que je dois lui faire.Je prends sa queue en bouche et le suce jusqu’à sentir son sperme couler dans ma gorge.Il me fait me relever et m’embrasse.J’essaie rapidement les soutiens-gorge qu’on a choisi pour être sûr qu’ils me vont bien. Les quatre m’allant parfaitement, je décide de les prendre tous. A la caisse, il m’empêche de sortir ma carte de crédit et paie l’ensemble de mes achats. Je suis un peu gênée et je lui fais savoir une fois sortie de la boutique :- Pourquoi tu m’as pas laissée payer ? C’est gênant…- Parce que j’avais envie de te les payer moi. J’ai pas le droit d’être l’homme avec qui tu t’affiches en public, qui peut te faire des cadeaux devant canlı poker oyna ta famille et tes amis à Noël ou ton anniversaire. Alors laisse moi t’en faire quand on est que tous les deux. Puis c’est un cadeau que je me fais à moi même parce que je vais pouvoir profiter du spectacle !- Merci en tout cas.- Allez viens, on va se trouver un resto pour manger. Je commence à avoir faim.Il m’emmène dans un restaurant thaïlandais où nous nous régalons avant de rentrer chez lui.On regarde un film avant d’aller nous coucher. Mais nous ne sommes pas fatigués et nous discutons et il finit par me demander :- Tu peux me dire qui a pris la photo de toi en train de toucher au boulot ?- Je crois que je vais te laisser dans le doute. Je trouve ça mignon que tu sois un peu jaloux.Et je me tourne sur le côté, lui montrant mon dos. Comme lundi soir chez moi, il vient de se coller à moi, un bras sous ma nuque, l’autre autour de ma taille. Il m’embrasse dans le cou et me dit bonne nuit.A six poker oyna heures quarante cinq, mon réveil sonne. Je le coupe rapidement. Thomas dort encore. Je me lève sans faire de bruit pour ne pas le réveiller.Je descends dans la salle de bains du rez-de-chaussée pour me préparer. Je me dirige ensuite dans la cuisine et fais couler du café dans la cafetière. Je m’en sers une tasse et ouvre mes mails sur mon smartphone.On est jeudi et Romain est parti depuis jours. Je n’ai eu le droit qu’à un seul sms. Je commence à me demander si je lui manque seulement… Je ne peux pas dire qu’il ne m’aime pas : il me le dit, me fait des surprises, on fait l’amour plusieurs fois par semaine, on se dispute presque jamais.Mais entre nous ce n’est plus vraiment ce que c’était au début. On a beau baiser souvent, ça n’a plus rien à voir avec nos ébats des premiers moi : au début, il lui arrivait de me toucher en public, il avait tout le temps sa tête entre mes cuisses, quand je me promenais en petite tenue il se jetait sur moi, nos rapports durant souvent presque une heure.Maintenant, il s’en tient au stricte minimum, parfois il n’y a même pas de préliminaires, je ne jouis plus très souvent, et en dix à quinze minutes l’affaire est bouclée…

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Tante Gisèle, maman, et les autres… (2)Chapitre 2 : Première chatte.Mes yeux parcourent son corps voluptueux et je me rends compte que si je suis complétement nu elle est toujours habillée ! Son petit haut très décolleté dévoile une poitrine généreuse. Son ventre plat défie les statistiques sur les femmes d’âge moyen. Il s’agit évidemment d’une femme qui s’occupe de sa silhouette. Elle se tourne légèrement et sa jupe serrée plaque merveilleusement ses fesses que j’ai eues en mains quand nous sommes tombés ensemble dans l’escalier. Je la regarde avec des yeux de jeune homme émerveillé devant une déesse et elle se penche vers moi, en passant sa langue sur ses lèvres rouges et attirantes, me donnant ainsi la possibilité de plonger dans son décolleté. J’ai la confirmation qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et ses tétons semblent vouloir passer à travers le tissu fin de son haut.Cette seule vision a le pouvoir de redresser ma bite et je sais que je vais pouvoir réaliser un autre de mes fantasmes. Je saute littéralement sur elle pour la prendre dans mes bras. Je la regarde dans les yeux et je ne peux m’empêcher de dire.- Tu es si belle Tatie ! Je ne peux encore croire que tu vas m’offrir ton corps comme ça ! Toi, la sœur de ma maman ! Tatie, je veux t’aimer de toutes les manières possibles.Je pose mes lèvres sur les siennes et elle murmure.- Tout ce que tu veux, mon beau neveu ! Je suis à toi !J’enfonce ma langue dans sa bouche aussi loin que je peux et mes mains se verrouillent sur ses fesses dodues pour l’attirer fermement contre mon aine. Quelle sensation ! Je sens ma bite dure contre son monticule et elle se serre contre moi.Ma main gauche remonte et enveloppe un sein charnu et ferme. Je touche enfin un vrai sein de femme après m’avoir branlé pendant des années devant des photos de femmes mûres aux gros nichons. Je veux les voir et je baisse son haut.- Vas-y Dany, sens-les bien, caresses-les, embrasses-les, suces-les, ils sont pour toi, bébé. Tout à toi !C’est l’invitation que j’ai besoin. Ma bouche les dévore. Ses tétons sont presque aussi durs que ma bite car pendant que je m’attaque à ses seins, elle tord ma bite en me branlant rudement. Si elle continue comme ça je ne vais pas tarder à jouir de nouveau. Mais en femme d’expérience elle doit le sentir car elle me repousse sur le lit.- C’est l’heure pour le clou du spectacle, Dany. Ton tour viendra plus tard.Elle ondule lascivement des hanches en faisant ressortir sa poitrine vers moi. Elle enlève son chemisier et secoue ses cheveux en passant ses doigts dedans. Elle défait la fermeture éclair sur le côté de sa jupe et glisse lentement sa jupe sur ses hanches. canlı bahis şirketleri C’est nettement mieux que le premier strip-tease que j’ai vu dans une broîte minable et en plus je ne pouvais pas me branler devant tout le monde.Là, j’ai une belle femme, extrêmement sensuelle, vivante et désirable, qui me fait un strip-tease juste pour moi !La jupe tombe et mes yeux sont rivés sur ses poils pubiens. Elle n’a plus son slip humide que j’ai senti dans l’escalier. Ses poils pubiens ont une forme triangulaire parfaitement taillée. Quand elle jette au loin sa jupe d’un coup de pied, elle pose son talon sur une barre du lit à côté de moi. Sa féminité m’explose au visage, juste pour moi. Je serre mes dents pour ne pas éjaculer tout de suite.Elle prend ma main et la pose sur ses grandes lèvres humides et avec un de mes doigts elle caresse quelque chose plus haut.- Oui…là… touche mon clitoris, Dany…C’est la première chose qu’elle me dit depuis plusieurs minutes et elle n’a pas besoin de le répéter une deuxième fois.Je commence à la caresser en me remémorant ce que j’ai vu sur des vidéos et elle commence à gémir.- C’est ça, mon garçon, tu as le toucher magique ! Tu apprends vite ! Ouiiiii, tourne autour… ouiiiiii, c’est ça ! Maintenant, mets ton doigt dans ma chatte et déplace-le comme si tu voulais explorer ma chatte.Je m’exécute volontiers et elle tombe presque sur moi en poussant un long gémissement de plaisir.-Huuummmmm, ouiiiiii.Nos lèvres se rejoignent et nous tombons côte à côte sur le lit. Une fois de plus, elle prend ma bite pour tirer dessus et mon sperme commence à bouillir dans mes couilles.Instinctivement, j’embrasse son corps en descendant vers le bas car j’ai envie de goûter à ce jus qui suinte sur l’intérieur de ses lèvres de chatte toutes roses. Je vais prendre en bouche son sexe comme elle l’a fait sur le mien. Je suis tout juste arrivé sur son clitoris qui est maintenant bien sorti de son capuchon que je l’entends crier en arquant son dos.- AAaahhhh…je jouiiiissss…Oooh doux Jésus… Je jouiiiiiisssssssss !Mais ce n’est pas ça qui va m’arrêter ! Je lèche son clito en érection et puis je colle ma langue dans et hors de sa chatte tant que je peux pour lécher cette chair si douce et si odorante. Son jus m’excite sacrément et je suis sûre que c’est beaucoup mieux qu’une jeune vierge sans expérience.- Oh putain ! dit-elle. Encore ! Je vais encore… houuu, encore jouir ! Petit coquin ! Ouiiiii, ooohhh, ouiiiii, n’arrête pas fils de pute ! Suce ma chatte ! Bouffe-là ! Ses mots me surprennent mais m’excite encore plus. Avec ses mains sur ma tête elle écrase carrément ma figure sur sa chatte canlı kaçak iddaa dégoulinante.- Oooh, merde ! Suce mon gars ! Suces-bien ! Encore ! Ouiiiiii, je vais jouir encore une fois ! AAAaaaaahhhhh.Le corps arqué en suspension, écrasé sur ma bouche, elle jouit longuement avant de retomber toute molle sur le lit. J’essaye de continuer de la lécher mais elle referme ses cuisses et dit,- Attends Dany chéri. J’ai besoin de récupérer. Donnez-moi une minute. C’était génial ! Je n’ai pas jouis comme ça depuis longtemps !Vous pouvez imaginer la fierté que je ressens sur cette déclaration.Pendant qu’elle se remet de ses deux orgasmes successifs, ma bite commence un peu à ramollir. Il faut que je fasse quelque chose pour ne pas être ridicule. Je me relève un peu et place ma bite entre ses gros seins. Çà aussi je l’ai vu sur des revues et des vidéos et il faut que j’essaye.Ma tante remarque ma manœuvre et ce que j’essaye de faire et, souriant béatement, elle place comme il faut son dos en me tirant vers le haut sur son ventre pour mettre ma bite, de nouveau toute dure, entre ses seins fermes et encore plus fermes quand elle les comprime pour piéger ma bite entre ses seins. Je pousse ma bite en avant et toute souriante elle sort sa langue pour toucher le bout de mon gland. Chaque fois que je pousse et qu’elle lèche mon gland je gémis doucement. Quand elle ouvre sa bouche pour permettre à ma bite de rentrer dedans je me lâche comme elle. -Ooohh, putain ! Tatiiiiieeee, Tu es…. incroyable !J’en pleure de plaisir- Ooooooh, je vais…- Attends mon grand. Retiens-toi. Tu peux tenir la distance un peu plus longtemps. Ça va être beaucoup mieux, bébé, je te le promets.Il me faut beaucoup d’efforts pour ne pas lui déverser un torrent de sperme sur sa figure mais j’y arrive !- C’est bien Dany ! Tu seras un bon amant. Tu dois apprendre à maîtriser ton corps. Maintenant colle moi cette belle bite dans ma chatte ! Je veux que tu me baises. Tout de suite, Dany ! Viens en moi, Baise- moi fort ! Baise ta tatie salope !Ses mots me rendent dingue ! Elle ouvre en grand ses cuisses et c’est elle qui me guide dans l’entrée de sa chatte. La vache, je n’en reviens pas ! Son vagin est étroit ! Ma bite est comprimée par son sexe, mais tellement humide que je rentre dans son trou sans difficulté.- Huuuummm, mon Dany ! Que c’est bon de te sentir en moi. Baise-moi doucement pour commencer.Je me retire lentement de sa chatte et je replonge à moitié pour revenir en arrière et regarder mon gland prisonnier de ses petites lèvres. Mon dieu qu’elle est belle sa chatte ! Elle m’attire vers elle et me revoilà bien enfoncé en elle. Je sens sa chatte canlı kaçak bahis se resserrer sur ma queue et elle ondule des hanches pour encore mieux sentir mon sexe qui frotte sur son utérus.- AAAaaaaahhhhhh, Dany ! T’as vraiment une belle bite ! Tu me remplis parfaitement. Baises-moi maintenant, défonce ma chatte !Je peux vous dire qu’elle sait m’exciter cette femme ! Je commence à la pilonner sans aucune considération pour elle. Elle enroule ses jambes autour de mon dos et me tire encore plus en elle quand nos pubis s’entrechoquent. Dans le reflet de la glace de l’armoire c’est comme si je regardais un film porno xxx. Mais là, je réalise que c’est moi la vedette. Je laboure son trou à bite comme un fou, l’instinct a****l prend maintenant le dessus.- AAaahhhh, Dany, ouiiiiii, encore ! Plus fort, chéri, plus vite ! Continue, t’es un bon coup, Dany. Ne t’arrête surtout pas ! Baise-moi Dany ! Baise-moi ! Baise-moi ! Jouis en moi, mon garçon ! Jouis en moi ! Il ne m’en faut pas plus pour exploser une nouvelle fois. – Ouiiiiiii ! Jouis mon grand ! Donne-moi tout ton foutre !J’enfonce ma bite bien à fond à chaque fois que je crache mon sperme dans son vagin jusqu’à ce que je sois complétement vidé et crevé et que je bascule sur mon dos. Mais ma tante Gisèle semble insatiable. Apres avoir jouit en gueulant et récupérer un peu de force, elle reprend dans sa bouche ma bite couverte de sperme et me suce comme une affamée pour me traire comme une vache. Je dois finalement repousser sa tête car elle commence à me faire du mal. A ce moment-là, une voix crie.- Putains d’enfoirés de salauds ! Qu’est-ce que vous faites ! Dany, petit salaud ! C’est ma sœur que tu viens de baiser ! Ta tante ! Fous-moi le camp et ne remet jamais plus les pieds ici !C’est ma mère, rentrée plus tôt que prévu et ne me trouvant pas à la maison, elle est venu voir sa sœur pour savoir où je pouvais être. – Je suis désolé, Maman, nous n’avons pas réussi à nous contenir et je….Mais voyant qu’elle allait me sauter dessus, je bats en retraite et je prends mes fringues pour sortir de la chambre.Quand je m’apprête à quitter la maison je l’entends crier.- Putain ! Tu n’es qu’une salope Gisèle ! De toutes les personnes que nous connaissons il faut que tu te fasses baiser par mon fils ! Tu n’es qu’une salope ! Une putain de salope !Le lendemain de ce soir mémorable, maman me fait la gueule et ne m’adresse que rarement la parole. Ça va mieux au bout de quelques jours et elle ne me reparle pas de ce qui s’est passé avec sa sœur. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que ma tante continue de me donner secrètement des leçons très particulières même si elle sait que maman ne lui pardonnerait jamais s’il le découvrait.Je serais toujours reconnaissant à tante Gisèle de m’avoir éduqué sexuellement pour pouvoir vous compter et partager avec vous ce voyage merveilleux sur la découverte des joies et des plaisirs du sexe.

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After honeymoonI am 35/28/36 and I am 5.7” and Sonny is 5.10” very fit with just under 6” lund (cock)Sonny is just normal size. Which is good for me, he know how to use it. We came back from honeymoon, stayed at his parent’s home for couple of days. Sonny had his own apartment, so we went there. Just the two of us. I have to learn the western cooking because Sonny like western food, it was hard for me to get used to that food. You know grew up in Punjab there we eat Roti and Dal. But I slowly got use to it. Sonny put me in school to learn English, I am still learning. English is very hard to learn. I am sure lot of you fined lot of mistake I am making in writing this. I thank you for understanding. The people in school were very nice and Sonny’s friends white guys and girls were very nice too. Sonny took me to his office and we visit their homes. After about 6 moths, Sonny got a transfer offer to move to bigger city about 3 hours away. I did not want to move, but Sonny said it is good thing that I have the offer, I can move up in job and get more money and more respect. I said but away from parents, it is not good. Sonny: yes moving away is may not be good but we can have more fun when we are away by our self. I said how. Sonny, you will find out later. So we moved to other city.There again I started to go to school to learn. The new people we met were nicer too. Made few new friends. Sonny started taking me to dancing in the clubs. There all the people were white. They all like me very much. They like me in sari, sulwar. I was being asked to dance with them. First it was strange. It is not like dance in Punjab, Gida or bhangra. This was close holding each other very close, First I was staying bit away from the guys. Sonny said it ok to get close to them. They will not bite me, unless I want it.Guys were holding close to them and some of them were grinding their front on my front. I felt their lump on me while they danced with me. When dance finish I could see buca escort the bulge in their pants. Sonny said I am doing fine just relax. We use to go Saturday night for dinner and dance. I asked Sonny if he is jealous of me dancing with guys so close to me. He said he enjoy watching me making them hard. They all like the way you move on the floor. He encourage me to relax more and enjoy my self. Which I started to enjoy Just the dance. (I was not telling Sonny how much I enjoy their bulge pushing in me)One day at home when we were making love. Sonny asked me if I enjoy dancing with guys. I said sure I enjoy. Do you feel their lunn pushing in you? I said u r bad man, how can you say that to your wife. Sonny said he don’t mind, wanted to know if I fantasies about any one. I said what you mean? Do you like to make love with any one of them? I said I can’t do that I love you you’re my husband. You are the only one who I want to make love to. Sonny said but just fantasy in your mind that’s all, you don’t have to do it .Don’t you get curious as to how Jim’s dick will feel in you? I did not say any thing but started to hold him tight in my arms and legs. He said he got the message. He started to move faster and asked me to call him Jim not Sonny. I started calling him Jim. Jim please fuck me, said sonny to me say it. I started to say that closed my eyes and imagine that Jim is fucking me I started to call Jim come on fuck faster and faster. Chodo is Punjabi ladki nu maro meri choot jor jor say. I see Sonny was fucking me harder and harder, he was getting very excited that some other guy is fucking me. We fucked for 15 minutes like this calling other guys names too. I could not believe that Sonny enjoy more then me that his friend is fucking me. After we cum and relax.We talked about it. Sonny said I enjoy this acting, Bholy you are very good acting. I said it is only acting that’s all. I don’t understand how husband can enjoy watching his wife escort buca with another man getting fucked. In Punjab husband will kill wife and the guy. Acting is ok. Sonny: here in west it is not a big deal people do that for fun. What kind of fun it is watching wife get fucked. (in my mind I was hoping he would ask me to do it). I said would you watch me do it, it won’t bother you? Sonny: No it won’t bother me at all. I know you love me and I love you. It is only for fun. If you like I can ask Jim to join one day. How can you ask me that, u naughty boy, I wont like that? It is up to you Sonny said; I know you like to get fucked by Jim. Am I right? I just lower my eyes. I said what you will do while he is fucking me. Sonny said he will masturbate. I did not say yes or no but he took it yes. Next day Sonny asked me who do I like more. I said what u mean? You want Jim or. I said If you really want then get Joe, he is nice and I could feel him that he is bigger then most guys. Ok Sonny said, On Friday night it will be. Sonny ask me to wear black sari for Joe He like black sari on you… Sonny came home about 5pm. He said Joe will be here at 6pm. At 6pm Joe was at our apt. He looked very handsome slim tall white man. He was 26 6’ tall He had tight pants on I could see his dick through his pants. He kissed me on my cheek. We sat for drink. I made the drink fro all of us. I was nervous Sonny was encouraging me to relax.After few drinks I served dinner to them we 3 of us had dinner. Joe compliment me on my cooking. Then we went to living room and Sonny put the TV on. Sonny got me sit in between them. One side Sonny and the other side Joe. Sonny turned the DVD on it was porn of 3some. Sonny started to kiss me and Joe also put his arm around me, his hands were on my boobs. Sonny kissing and Joe massaging my boobs It was too much for me. I was just melting. Sonny stop kissing and now Joe started to kiss me with his tongue in my mouth mmmmmmmmmmmmmm. buca escort bayan Sonny started to take off my sari and blouse off My boobs sprang out, Sonny got one in his mouth and Joe had my other one in his mouth. I was moaning ohoohohoohohhhho. Sonny pulled me on sofa on my back and removed my sari. I did not have petticoat under it, Sonny told me not to have it. I was naked on sofa I had my eyes closed. It was difficult for me to see Joe in the eyes. So Sonny started to suck on my boobs and Joe got between my legs and started to lick my pussy. I was in heaven I saw things in porn movies but this is was all new to me and I was just melting away with their touches, I cum once Joe kept on licking my pussy, I was shivering, He said he like the taste of my cum. Sonny got on top of me and put his dick in my mouth for sucking, I started to suck it. In the mean time Joe was all naked and Sonny lifted my legs up and held them apart for Joe to put his dick in my pussy. Joe moved closer and touched my pussy lips and started to push it in. It felt big and started to hurt bit.He pushed it in I said oooooooooooohhhhhhhh I was in pain he was big. He stopped and let me relax. Then he pushed more and more Finally he had his entire dick in my pussy. Now he started to move in and out slowly. I was sucking Sonny’s dick and Joe was fucking me, I never in my life though it couple possible for me to experience it. I thought only in porn. But it was happing to me and I was enjoying it. Joe fucked me for 10 min, I cum again and Sonny had hic dick in my mouth and he was holding my legs up. Now I put my legs around Joe and started pulling him into me Sonny was rubbing my clit and making me Horney. Finally Joe cum and Sonny filled my mouth at same time. Very exciting… Joe stayed at our place all night we fucked few times, I enjoyed it each time did in many positions Joe had 7” dick thick one too it felt real good in my choot. I thanked both of them to make me happy; they said it was them who should be thanking me. That was my first 3some. Please men i offer to fuck me before my husband. Just comment how badly will fuck me if i like u r comment sure u will get chance to fuck me. Till next time be 4some I will tell how I enjoy licking choot.

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Vacation with my girlfriendBack in the early eighties my girlfriend and I went to the Dominican Republic for vacation. I don’t remember the name of the resort but it was nice and it had a nude beach. I had never been to a nude beach and was anxious to try it out. So we headed down to the beach. We found a spot off to the side and spread our blanket and just kind of looked at each other not knowing what to do. Finally my girl pulled her top off and I followed her lead and took my trunks off. Nude meant women topless men fully nude. We enjoyed the idea of being nude and eventually got up and walked around looking at the others. We had conversations with others all while being nude and it was thrilling. We spent a couple hours there then went back to our room to clean up for dinner.The next day we got up had breakfast and headed back to the nude beach. It was late morning and the beach was surprisingly quiet, there were people but not as many as the day before. We settled in on our blanket and after awhile I saw two men walking down the beach at about the water line. I couldn’t really karşıyaka escort tell much about them except they looked to be dark skinned which told me they might be natives. What I did notice was that they were nude and one of the men had a pretty good size package swinging in the wind. I told my girlfriend, “Hey look at these guys, that one looks like he has a big cock”. She gets up and confirms my suspicions that it does appear that there is a large something hanging between his legs.We both sit up and watch as these two walk down the beach getting closer to our location. It got to where we were staring at them when they noticed us. The one guy looks at me and I quickly turn my head but I think I was busted and they started walking to where we were sitting. They both approached us and introduced themselves and we started having a conversation. Now, my girl is topless with nice firm tits and I’m completely nude as are both of these guys. I’m sitting with my legs crossed Indian style and just trying to act as normal as possible. Which was hard karşıyaka escort bayan because this guy had the biggest cock I ever saw.At one point he caught me looking at his cock and said something to my gf about it. She commented on how big it was and he kind of just took it in his hand and stroked it a couple time and let it go. I was staring at him again and then I noticed that I might have a problem. It appears that my cock was starting to stir and I had a semi. My gf noticed and commented on me getting excited because of another mans cock and then she surprised me when she told me to touch it. I said no that I didn’t do that and she laughed and reached out and took his big cock in her hands. She looks at me kind of funny and starts to stroke the guy’s cock. I can’t believe what I’m seeing, my pretty girlfriend playing with a black cock out in the open on the beach. The guy doesn’t seem to mind and before long he is hard and boy is he big. He reaches down and starts to play with my girlfriend’s tits and I am starting to get excited. Now escort karşıyaka my cock is rock hard and I’m starting to stroke it. Then my gf pulls the gut toward me by his cock until he’s right in front of me. She then leans forward and kisses his cock and licks the head. Again she tells me to touch it. Again I refuse and she continues to stroke jerk him off. She reaches out for my hand and pulls me close to her face and tongue kisses me and I can taste his cock on her. We are French kissing and the guy pushes his cock into our mouths and now I’m kissing a cock for the first time. I pull away and the three of them laugh at me because my cock is hard and leaking pre-cum. I can’t believe it but the next thing I know I lean forward and start to stroke his cock. It feels so soft yet so hard and I love it. After a minute or so, he moves around toward me better and grabs my head. He gently pulls my head toward his cock until my mouth is within an inch of him. With my girlfriend’s encouragement I open my mouth and take the head of his cock in my mouth. I’m not really bobbing on his cock but just sucking and using my tongue around the head. With his hands still on my head he pulls me toward him and his cock goes in about half way. He is big and thick and within a minute my jaw hurts and I have to stop. My girlfriend suggests we go back to our room for a drink.To be continued…..

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Aaah les vestiaires du boulot….Cette histoire se passe en Octobre 2014.Je travaille dans le paramédical dans une maison de retraite. Travaillant depuis plusieurs années dans ce domaine j’ai eu de nombreuses fois le plaisir de voir de jolies choses se dérouler, et notamment en rapport à mes collègues. Les strings apparaissant par transparence ou qui dépassent, les seins visiblent dans les décolletés, les collègues à moitié nu(e)s en train de se changer,…. tout cela est quasiment devenu quotidien,mais ce n’est pas de ces simples regards voyeurs dont je veux vous parler.A cette époque j’étais très proche d’une de mes collègues, Jordane, une jeune femme que nous qualifierons de classique avec son 1m65, ses cheveux bruns lui arrivant au milieu du dos, ses rondeurs harmonieuses surtout au niveau des hanches et sa poitrine généreuse mais tombante. Nous nous racontions tout, absolument tout, même les choses les plus intimes que nous avions vécu l’un et l’autre. Je la savais très portée sur le sexe y compris le sexe anal et le sexe à plusieurs. Nous parlions beaucoup ensemble pendant le travail, verbalement ou par message, elle me racontait ses dernières expériences avec son nouveau copain, comment il la prenait sans ménagement par derrière alors que sa mère était dans la pièce d’à coté ou comment elle se régalait a lui prodiguer de longues gorges profondes avant de recevoir tout son jus directement dans la gorge. Et moi je lui racontais mes aventures passées en club libertin (comme les orgies dans les jacuzzi entre autre,…) ou mes moments “détentes” dans les dunes de la plage naturiste avec des couples de touristes.Malgré cette relation privilégiée, nous nous étions contenté d’échanger des baisers de temps à autre et quelques jeux de mains au détour des couloirs et des pièces diverses, le tout a l’abri du regard de nos collègues.Mais ce jour d’Octobre a marqué un tournant dans notre relation.C’était un samedi matin donc dans ce genre de structure il n’y à ni directeur, ni cadre ni quelconque agent d’accueil le weekend, autant dire que de nombreuses libertés étaient prises.Ce matin là, Eric, un intérimaire vient faire gaziemir escort un remplacement, c’était un jeune de 25ans, diplômé depuis 2/3 ans qui n’était jamais venu bosser ici mais qui semblait motiver pour attaquer cette journée. Une de mes collègues lui expliqua les subtilités de la structure et ils se mirent à s’occuper des patients. Dans la matinée alors que tout le monde était affairé à son travail, Jordane monta à l’étage et lorsque l’ascenseur s’ouvrit, quelle ne fut pas son étonnement d’avoir face à face, cet intérimaire, qui n’était autre que son ex petit ami, son premier, celui avec qui elle avait passé 3ans de sa vie et dont elle n’avait pas de nouvelles depuis plus de 2ans. Assistant à la scène depuis le bureau situé à quelques mètres je tendis un peu plus l’oreille par curiosité. Ils s’étaient apparemment quitté en bons termes et étaient content de se voir. Ils discutèrent un moment de tout et de rien avant de retourner travailler chacun de leur côté. Alors qu’ils s’éloignaient l’un de l’autre, je l’entendis dire à Jordane ” cela te dit que l’on fasse comme avant ?”, et elle lui répondit seulement “OK, vers 13h30 c’est là que c’est le plus calme”. Je ne comprenais pas ce qui se jouait dans cette phrase mais je comptais bien discrètement le découvrir.Le reste de la matinée passa sans encombre, puis vers 13h lors de ma pause je descendis comme tout les jours manger un bout et me reposer un peu. Cette heure de pause était vraiment un soulagement car travailler de 7h à 20h avec seulement une heure de pause était épuisant. Voyant l’heure tourner et ma curiosité grandir, je me dis que j’allais demander directement à Jordane mais alors que j’étais en train de taper mon message je vis l’intérimaire passer devant la salle de pause pour aller aux vestiaires, quoi de plus normal c’était l’heure de sa pause. Puis 2 minutes après j’entendis à nouveau la porte du couloir et Jordane passa à son tour, sans me voir, mais au lieu d’aller dans les vestiaires des filles elle entra elle aussi dans les vestiaires des hommes. Je compris alors immédiatement ce qu’était ce rendez-vous.Mes gaziemir escort bayan envies grimpèrent en flèche instantanément quand je compris que cet intérimaire était en fait le ga qui avait dépucelé tout ses trous et avec qui elle faisait l’amour de partout, y compris sur son ancien lieu de travail.Sachant que personne ne descendait à cette heure là je décidais d’écouter discrètement à la porte du vestiaire des hommes, je les entendis parler, j’entendis des gémissements, puis la porte du grand wc handicapé grinça à deux reprises, je compris qu’ils y étaient entré mais ne l’avait pas fermé. J’attendis un peu et comme je commençais à entendre des petits bruits, j’ouvris doucement la porte du vestiaire. Par chance la porte ne fait pas de bruit. Je me suis avancé vers la seconde porte qui était entre-ouverte et là, je le vis, de profil avec la queue raide en train de savourer la délicate fellation que lui prodiguait Jordane. Je restais là discrètement à regarder ses doigts s’agiter sur cette belle verge donc le gland était dans sa bouche. Elle se releva une fois cette belle queue bien raide et posa à son tour son pantalon et son string blanc laissant apparaitre sa jolie chatte lisse. Elle se retourna et se pencha en avant tout en présentant sa chatte contre cette queue qui ne demandait qu’à redécouvrir la chaleur de ce vagin déjà inondé de mouille.Pour ma part, je n’en pouvais plus d’excitation, la situation était tout bonnement idyllique et j’étais vraiment trop à l’étroit dans mon pantalon, je sorti donc ma verge de son étreinte de tissus et la caressa doucement tout en le regardant entrer en elle sans ménagement et commencer à la baiser. Il accéléra un peu la cadence au bout de quelques minutes et elle fut obligée de coller sa tête au mur tellement le plaisir commencer à monter. Il la pistonna comme ça pendant quelques minutes puis lui demanda si elle avait toujours le même péché mignon, elle lui répondu que Oui et il ralentit donc la cadence pour enfin sortir cette grosse queue dégoulinante de mouille et la placer sur sa rondelle. il força un peu et entra sans difficultés dans escort gaziemir son cul que je savais être habitué à ce genre de plaisirs. Les gémissements de Jordane reprirent, elle profitait du moment, les yeux fermés et les mains sur ses fesses pour les écarter au maximum afin de facilité le passage à son partenaire.Et tout à coup alors que l’excitation de la situation était réellement intense Jordane ouvrit les yeux.Qu’elle ne fut pas sa surprise de me voir là, la queue en main en train de les regarder prendre du plaisir. Mon sang ne fît qu’un tour, mais le sourire qu’elle afficha juste après me rassura. Elle tourna la tête vers son partenaire qui continuer de limer son joli cul. Celui ci avait les yeux fermés et profitait du moment. Elle me fît discrètement un signe “Chut” en posant son doigt sur ses lèvres et baissa les yeux pour regarder mon membre raide comme un piquet qui était à deux doigts d’exploser et se mordit les lèvres comme pour me signifié que ma verge lui donnait aussi envie. Elle se cambra un peu plus et son partenaire ne pu résister à la sensation d’être au fond de ce cul qui encaisser déjà depuis quelques minutes ses assauts réguliers et profond. Il se raidit d’un coup et je vis ma chère collègue en faire de même, ils subissaient tout deux un violent orgasme qui les fît se plaquer au mur. Je le vis avoir des spasmes lorsque son jus se déversa au fond des entrailles de Jordane et je ne pu me retenir d’avantage et j’explosais à mon tour dans ma main. Nous étions tout trois hs mais Jordane jeta un coup d’œil dans ma direction avec un grand sourire que je lui rendis puis elle se retourna vers son partenaire, dos à moi, les fesses luisantes de sperme, le tout afin de le distraire le temps que je sorte discrètement des vestiaires.Après avoir fait un rapide passage à la salle de pause pour me nettoyer discrètement je remontais rapidement prendre mon service car ma pause venait de se terminer. Je le vis remonté quelques minutes après, l’air détendu mais fatigué. Une de mes collègues ne manqua pas de le lui faire remarqué et il mit cela sur le compte de la fatigue de la semaine et de la charge importante de travail qu’ils avaient eu le matin.Je regardais mon téléphone et je vis un message de Jordane : “Merci c’était tout bonnement génial ce moment exhib/voyeur, heureusement qu’il ne t’a pas vu ca aurait cassé tout le charme… Vers quelle heure je peux passer te voir pour qu’on … discute?”

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I’ve got a secret. Not a big, earth-shattering secret. If it were to ever come out, governments wouldn’t collapse, monetary systems would still be stable, the sun would still rise. But it’s a secret nonetheless.

To understand my story, you’d probably need to know a bit about me. I’m 41. I have a beautiful wife and two active young sons. My computer consulting business has been successful beyond my wildest dreams. We have a big, comfortable house in the suburbs, a Golden Retriever, a mini-van and my SUV. We attend church regularly, take 2 vacations a year, and head into Manhattan several times a month for an evening out. With all this going for me, why, you may ask, do I have anything to hide?

Mostly it has to do with Andrea. She is the perfect wife. Literally. She’s 31, with clear blue eyes and honey-blonde hair that she has touched up every few weeks. She works out for two hours every morning, and has the best tits money could buy. Even after 2 pregnancies, she doesn’t have an ounce of body fat. She’s a fiend about her diet (and mine too, for that matter), never allowing fried food or sugar to pass her lips. Whenever she attends business functions with me, every head in the room turns in her direction. She is the wife everyone expects me to have.

Don’t get me wrong. She’s a terrific person and I do love her. We have a good life together. We even manage to have sex two to three times a week when I’m not away on business. But she doesn’t turn me on. At least, not the way Lauren does. Who is Lauren? She’s the woman I should have married. Lauren is my secret.

We first met twenty years ago in college. We were the only two people left relatively sober after my fraternity’s “Winter Wonderland” beer bash. I was on keg duty, and didn’t really get to drink too much. Lauren didn’t like beer, so she’d brought her own wine coolers. Somehow, we’d ended up talking together on the porch of the frat house long after everyone else was passed out or having a drunken fuck-fest in one of the bedrooms.

We talked about so many things. We were both Northerners, and found winter in Florida to be strange. We talked about music and books. She was a Computer Science major, like me. She came from a modest background, like me. Our birthdays were two weeks apart; mine in July, hers in August. We both had part-time jobs off campus. She was a Junior. I was a Senior.

She was bright and articulate and funny. It seemed so natural when I finally kissed her. She let me slide my hand under her shirt to feel her mammoth tits straining against the satin of her bra. I got so hard so fast that I would have fucked her right there on the porch swing if she had let me. But she hadn’t. She’d pushed me gently away and said with a knowing smile “There’s time for that.” And she was right.

We met as much as we could over the next few weeks. Sometimes we’d study together. Sometimes we’d grab a cup of coffee and just talk. Sometimes we’d do more than just talk. We’d lie in my bed in various states of undress. We’d kiss and caress. I finally got past the satin to experience those breasts. They were huge and full and soft. I’d let my tongue coax the nipples out, then suck them as if something might actually come out. Lauren would moan and whimper and I’d try to slip my hand down her panties, but she’d always stop me. “There’s time for that.”

Finally, one day in February, I was walking to class when I heard someone call my name. I turned to find Lauren waving at me and heading my way. “Dan, hi,” she said when she finally caught up.

“Hey, Lauren. What’s up?”

“I have a little something for you,” she said. She slipped a small white envelope out of her Calculus book and handed it to me. “Open it in private,” she said, eyeing my fraternity brother, Steve.

I felt like such an idiot. It was Valentine’s Day. “I’m sorry,” I said, sheepishly. “I don’t have anything for you.”

“That’s okay,” she replied with a sly grin. “You will. I’ve gotta run. I’ll see you later.” It was a statement, not a question. It was almost an order. It made me smile.

“Sure. See you later.”

“So Dan the Man’s a chubby-chaser?” Steve said when Lauren was out of earshot.

“What do you mean?” I asked.

“What do I mean? You know, you like the meaty ones.”

“Meaty?”

“Come on, Danny Boy. I’m trying to be polite. She’s not exactly slim and trim.”

“You think Lauren’s fat?”

“Not exactly fat, but she is pushing maximum density.”

I turned to look at Lauren as she was walking away from me. Her hips were full, her bottom round. Her thighs were on the thick side. I knew first hand she had a few small rolls here and there. But none of it had ever bothered me. And as I watched her bottom swaying slightly as she walked, I started to feel that familiar sensation in my groin. I turned and started walking while I still could.

Steve caught up with me and said “Hey, man. I’m sorry. I didn’t mean anything. It’s just surprising, you know. That girl is just so different from Sandy, you know what I mean?”

I illegal bahis did know what he meant. Sandy was my ex. She was blonde and fit and was captain of both the women’s tennis and swim teams. She was also a snotty, snobbish bitch. I’d finally broken up with her after she made fun of my parents’ home and the fact that my father was a mailman. Lauren was different from Sandy in every way.

” ‘That Girl’ has a name, and it’s Lauren.” I grabbed the door to the computer lab and jerked it open. “I’ll see you later, Steve.”

“Dan…” Steve began, but the door just shut in his face.

I sat down at a computer terminal and pulled out the envelope Lauren had given me. There were lipstick marks at the seal. I smiled as I opened it. It was a simple Valentine’s Day card with a big pair of lips on the front. Inside the printed message said “A Big Valentine’s Kiss Just For You.” Underneath it Lauren had written “It’s Time. L.” There was a business card from a motel close to campus. I turned it over and saw Lauren’s handwriting. “6 o’clock. Room 18.” I slipped the card back into my notebook. I would be there.

At the appointed hour I stood nervously in front of room 18. I knocked lightly. There was no answer. I checked the back of the card. Room 18. This was the right room. I knocked again, this time loudly. I heard footsteps coming towards the door. “Who is it?”

“It’s Dan.”

The door opened and there stood Lauren, wearing only a large black t-shirt. “Come on in. Did you knock before? I thought I heard something, but I was running the bath.”

“Yeah, I did. I thought for a moment I was in the wrong place.”

“Believe me, Dan,” Lauren said shutting the door. “You’re in the right place.”

I looked around the room. It was a standard double room, clean, nice but nothing fancy. “How are you paying for this?” I asked.

“I pulled a couple of double shifts at work. I didn’t want our first time together to be in my dorm or your frat room. I wanted some privacy.”

“That’s really sweet of you. Oh, and speaking of sweet, these are for you.” I handed her the heart-shaped box of chocolates I’d brought.

Her face lit up. “Oh, Danny, that’s so nice. You really didn’t have to.”

It was oddly moving. She was obviously a girl who wasn’t used to getting presents. “I know I didn’t have to. I wanted to.”

She took the box and studied it. Then she put it on the table, and came close to me. She reached up and slipped her hand behind my head drawing me to her. Her lips were soft. Her mouth opened to welcome my tongue. I put my arms around her and ran my hands down her back to her bottom, then up again. Yes, there were rolls, but they didn?t put me off. I slid my hands under the shirt. She was wearing silky panties. I drew my hands up and over them, up to the flesh of her back. I kneaded and caressed her, as she drew my tongue into her mouth again and again.

I kept one arm around her and moved my other hand around the front of her. I felt the slight swell of her belly under the silk. I slid my hand over the front of her panties, my fingers tracing the outline of her mons. She pulled away and gasped slightly. Her cheeks were flushed. I took a step back.

“I want to see you,” I said.

“Do you?” she asked, earnestly.

“Yes,” I answered firmly. “I do.”

Without saying another word, Lauren grasped the edges of the t-shirt, and pulled it over her head in one swift move. Her large brown eyes studied me as I studied her. She stood there in a matching bra and panty set, black with little red hearts all over. Her breasts almost overflowed the cups of the bra. Her belly swelled out slightly. Her thighs touched. She was definitely chunky. But all I could think about was being inside her. How those thighs would part and welcome my mouth, my hands, my dick. I wanted her on her back, on her hands and knees. I wanted those tits in my face as she rode me. I was rock hard.

A smile played on her lips as she noticed the bulge in my jeans. She moved closer to me, tugged at my zipper, and slid her hand down into my tighty-whities to grab hold of me. Her mouth found mine again and she sucked my tongue to the same rhythm she used to stroke my dick. I ran my hands down her back and into the silk of her panties. My hands caressed her ass, pulled the cheeks apart, kneaded them. I felt her shiver. I pulled back away from her, and kicked off my jeans. I quickly yanked my shirt over my head and tossed my socks into a corner.

I stood there in my briefs for a moment. “Are you sure this is what you want?” I asked her.

“Yes,” she answered quietly. “I’m sure.”

“Good,” I said as I quickly came towards her. I caught her off guard as I pushed her down onto the bed. I nibbled her nipple through the satiny bra. “I want this off,” I told her.

“Then you’ll have to take it off,” she replied, meeting my gaze. I blinked first. Lauren laughed as I struggled to unhook her bra.

“Damn it, what is this thing, stapled shut?” I asked in exasperation.

Lauren illegal bahis siteleri giggled, then reached around and with one hand quickly undid the hooks. The bra popped loose, and I grabbed it and tossed it aside. Her breasts were finally free, and they separated, resting to the sides as she turned on her back. I gathered them in my hands and licked her nipples, one at a time. I began sucking on them, teasing them until they were hard and I heard Lauren’s familiar moan. I ran my hand down to her panties and this time, there was no objection when I slipped inside.

I kept my mouth on her breast as my fingers explored her. I slipped through the soft curls to find her damp. I dipped my middle finger into the warmth of her opening, then gently drew it up to tease her clit. Lauren whimpered slightly, so I did it again. She moaned softly. Leaving her breast, I eased her panties down and dropped them on the floor. She was completely naked. My hand went back between her legs and began to work her again. I slipped two fingers in her, and stroked her clit with my thumb. Her moans got stronger and she began to writhe. I was so turned on I wanted to slip my dick in her right then and there. I wanted to fuck her hard and strong until her moans turned into screams. But I didn’t want this to be over in five minutes.

I removed my hand, and Lauren closed her legs and rolled on her side. The sight of her round ass was almost more than I could take. I closed my eyes and pictured her on her stomach, imagined myself pulling those cheeks apart and sliding into that perfect little hole. I imagined her firm flesh meeting mine as I pumped her. When I opened my eyes, Lauren was standing next to the table slipping the ribbon off the box of chocolate.

“What are you doing?” I asked.

“You’ll see.”

She carefully picked out a bon bon and popped it into her mouth. She didn’t chew. She was letting it melt. She climbed back next to me on the bed and before I knew what was happening, she’d pulled off my briefs and my dick was in her mouth. She skillfully moved her head up and down, and I could see the chocolate coating my shaft. It was warm and sticky. Lauren’s tongue explored the tip of my cock, probing the hole until I thought I would cum right then. She licked and sucked until the chocolate was gone. I could barely move. I was almost too hard.

“Bring me the box,” I told her.

“What?”

“Bring me the box,” I repeated.

Lauren got up and brought me the open box of chocolate. I propped myself on my elbow, and selected a solid disc.

“Lie on your back,” I told Lauren as she came back to bed.

“Sure,” she replied, and she eagerly complied.

When she was settled, I eased open her legs, and slipped the little chocolate disk into her slit. I teased her clit with my finger until she was completely wet. I pulled apart her nether lips with my fingers, and softly licked her little pink button. Lauren gasped. I used my tongue to coax her clit out of hiding, then sucked it hard. She arched her back, almost trying to pull away from the intense sensation. I plunged my tongue inside her over and over. I drew it up to tease her clit, then plunged it inside her again. The taste was chocolate mixed with musky sweet and I couldn’t get enough. Lauren was moaning and gasping, and I knew it was time for more.

She let me kiss her, tasting her own juices on my tongue. My hands kneaded her breasts. I was so ready to be inside her. I positioned myself between her legs and was about to enter her, when she started to wiggle away.

“Wait, stop.” she said.

I was dizzy from the effort it took me not to plunge ahead. But I could never force myself on a girl, even if we’d gotten this far. Why was she stopping? What had I done? Then it hit me: a condom. I needed a condom.

I slowly eased myself off the bed and struggled to the spot where I had dropped my pants. I fumbled with my wallet, and finally found the strip of condoms I had placed there just in case. I tore one off and made my way back to the bed. But Lauren wasn’t lying there. She was standing next to the table, studying the chocolate.

“What’s wrong?” I asked.

“There’s something I haven’t told you,” she said, not meeting my gaze.

“Is it so important?”

“Yes, it is.” She picked out a piece of candy, and came towards me. “Open your mouth.” I did as I was told, and she fed me the chocolate. “This is me.”

I didn’t understand what she meant. “This is you?”

“This is me,” she repeated.

The chocolate melted until the cordial inside oozed out and I could taste the fruit. “You’re a chocolate covered cherry?” I asked.

“Yes” she answered.

It took a minute for me to make the connection. Then I understood. I finished the candy and said “Are you saying you’re a virgin?”

Lauren looked at the floor. “Yes,” she said softly, her dark hair falling across her face.

I was flabbergasted. “It never occurred to me that you hadn’t done this before,” I said.

She looked up hesitantly. canlı bahis siteleri “I haven’t exactly had guys lining up at my door to sleep with me.”

I had the distinct feeling that the rest of the evening relied on how I responded to this. “Fools,” I said simply.

Lauren smiled, and I knew I’d said the right thing. “Do you still want to do this?” she asked.

“Only if it’s what you want.”

“It’s what I want.”

It was quiet for a moment. “Okay,” I said. “You’re going to have to get a little closer.”

Lauren laughed and came back to the bed. I kissed her, and started all over. This time, while she was writhing under my tongue, I gently eased the condom onto my stiff cock. I slipped two fingers in and out of her until her moans had achieved a level of urgency. I replaced my fingers with my dick, moving in and out until she realized what was going on.

“Oh my gosh, you’re inside me!” she exclaimed.

“Not all the way,” I told her. “Are you sure you want me to do it?”

“Yes, I’m sure. Do it! Do it!”

So I did. I pushed forward until I met resistance, then I pushed some more. Then it gave. Lauren gasped as it registered with her. I stayed still inside her, teasing her clit with my fingers. “Are you okay?” I asked.

She nodded silently. I started moving again and gradually Lauren relaxed and began to move with me. I kept my eyes on hers, and when she closed them and began to moan I quickly began to rub her clit while I pumped her. Her back arched, and she started to shake. I could feel her insides sucking and grabbing my dick. I closed my eyes and the black behind my eyelids turned a milky white. Something inside my mind exploded and I felt an immense physical release. When the whiteness cleared, I was resting on her. I moved gingerly to pull out of her without hurting her. I rolled on my side, and Lauren rolled away from me with her knees together.

“Are you okay,” I asked after a moment.

Lauren didn’t reply, she just nodded.

“I didn’t hurt you, did I?”

Again she didn’t say anything, just shook her head “No”.

“I’m going to go clean up a little.”

“Okay,” she said softly.

I had a hard time standing. I stumbled to the bathroom, where I found a quickly dissipating bubble bath. Heart-shaped candles were mostly melted on the side of the tub. She’d planned something sweet and romantic. I felt a slight pang. I hoped I hadn’t disappointed her. I eased into the tub. It was cold. I added some hot, then quickly washed up. When I got out, I felt incredible. I wrapped a towel around my waist and went back into the room. Lauren was lying right where I had left her.

I went and sat on the bed next to her. “Lauren, are you alright?”

She turned to me and smiled. “Yes, I’m fine. I was just reliving it. I want to remember everything about it.”

“I hope it was okay.”

Lauren laughed softly. “It was better than okay.”

“Well, it gets better the more you do it, you know.”

“Just don’t say it’s like riding a bicycle.”

“A few more times we’ll have you riding something, but it won’t be a bicycle.”

Lauren laughed again. “So I guess you’ll be sticking around for a while?”

“For as long as you want me,” I said.

“Promise?”

“Yeah, I promise. Now let’s get you cleaned up. I’m starving. You want to order a pizza?”

“Sure,” she said.

I helped her up and she went into the bathroom and eased herself into what was left of her romantic little bubble bath.

The funny thing is, Lauren was the one who wanted to remember that evening. But it’s stayed with me all these years.

We were a couple after that. What little free time we had, we spent together. Even my fraternity brothers, initially shocked by my choice, gradually accepted her. We spent hours in my bed, fucking and sucking and talking about life. It was there I told her about the job offer.

“A bank?” she asked. “What are you going to do at a bank?”

“I’ll be working for the Mainframe Supervisor.”

“It’s in New York.”

“I know.”

“Nobody’s hiring in Florida?”

“Not with an opportunity like this. My parents have worked their whole lives for me to have a chance like this. It’s a great starting point. Who knows where it could take me.”

Lauren sighed. “Hey, who knows. Maybe you can get them to hire me when I graduate.”

“I’d love that.”

That was the beginning of the end. But I didn’t know it at the time.

It was a gradual progression. I graduated, moved back to New York, and started my new life. I put in 14-hours days. I learned everything I could. I started to see the future of computers in the financial industry, and I wanted to be in on the ground floor. I stopped returning phone calls, mainly because I was never home. I missed Lauren’s 21st birthday. I saw the men in the corner offices, men with professional and monetary success. Men with pictures of their adorable children and perfect wives sitting on their Mahogany desks. I wanted to be one of them.

One night, late in September, I came home around 10 p.m., Chinese take-out in hand. I checked my answering machine. 5 Messages. They were all from Lauren. The first four were basically, ‘Hi, it’s Lauren. Call me back.” The 5th message stopped me cold. She was crying.

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SOUVENIRS #5: Sylvane – nos petits jeux séNicolas et moi adorons l’amour et tous les jeux du sexe. Récemment, il m’a demandé d’enfiler uncollant pour la soirée. C’était très troublant de sentir mon sexe à la fois ouvert à son regard etrendu inaccessible par le collant. Après un léger repas entrecoupé de délicieuses caresses, nousnous sommes confortablement installés sur le lit, déjà très excités. Tout en nous embrassant et nouscaressant fougueusement, nous nous sommes déshabilés et j’ai gardé mon collant comme unique vêtement.Il est devenu fou d’excitation quand j’ai pincé ses petits tétons qu’il a très sensibles. Nicolas m’ademandé de l’attacher. J’ai donc prix deux foulards et je lui ai lié les mains en croix aux montantsdu lit. Maintenant, il m’était totalement güvenilir canlı bahis siteleri soumis et je mouillais de plus en plus! Ma langue le lêchaitpartout: aiselles, seins, intérieur des cuisses, orteils… Mon amour se tordait comme un dingue danstous les sens en tirant sur ses liens pour essayer de se libérer. Tout en le titillant de ma languegourmande, je suis lentement remontée vers son sexe mais je ne l’ai pas tout de suite honoré. Afin de faire durer le plaisir au maximum, je lui ai d’abord lêché le dessous les testicules pour ensuite les mordiller, les sucer, les gober… Quel délice!La belle queue de mon amour était fièrement dressée juste au-dessus de ma tête. Tellement gonflée,tellement rouge, tellement magnifique… je n’ai güvenilir illegal bahis siteleri vraiment pas pu rés1ster. D’abord des petits coupsde langue sous le gland, comme pour l’apprivoiser. Ma bouche a entamé un lent va-et-vient avec malangue qui tournoyait autour de sa pointe. La cadence a augmenté, je le suçais avec frénésie, dehaut en bas, puis en tournant, je le mordillais, j’étais folle de désir. J’adore (et lui aussi !)aspirer sa belle tige jusqu’au plus profond de ma gorge, jusqu’à que je ne puisee quasiment plusrespirer. C’est tellement bon de se sentir prise de cette façon aussi !Après quelques minutes de ce traitement, j’ai détaché mon amour qui n’en pouvait plus du désir.En constatent l’état de mon collant, il m’a dit: “Petite güvenilir bahis şirketleri coquine! Tu es complèment trempée !”Et d’un coup de dents, il a libéré ma chatte en déchirant le collant à l’entrejambe. Il m’a priseavec fougue dans toutes les positions, même mon petit trou, en me faisant jouir comme une folle !Il était lui aussi sur le point d’éclater. Je lui ai dit que “Je voulais te voir jouir !”Alors il m’a prise par devant, à genoux, moi couchée et les jambes relevées. Il s’appuyaitsur mes pieds et il me labourait le ventre avec v1olence comme j’adore qu’il fasse. Il est sifort, si beau, si puissant, mon mec, quand il me prend comme ça, que je décolle complètement.Après un coup de boutoir très nettement plus puissant que les autres, il a déversé toute sa semencedans ma chatte déjà totalement inondée de mouille. Vaincu, il s’est couché sur le côté et je l’aisuivi dans un mouvement. Nous sommes restés un long moment enlacés l’un dans l’autre, á ressentirencore les derniers spasmes de notre plaisir.Lettre de Sylvane, trente-six ans, secrétaire, Suisse

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La grosse Gina en voulaitt toujours plus.Gina est vraiment une grosse cochonne. En effet, chez elle, les travaux n’étaient pas terminés et elle logeait toujours chez tante Mado (voir histoire précédente).Cette nuit là, après une bonne partie de jambes en l’air où j’ai pu baiser Mado ma tante, je ne voulais pas en rester là. Mado s’était endormie profondément, mais moi, j’avais encore la trique !Je décidais d’aller baiser Gina, je suis allé dans sa chambre pour me consacrer à son gros cul.Gina était entièrement nue sur le lit, je me suis approché d’elle et je lui ai dit :- Je veux te baiser, je veux être en toi et profiter de ton cul de salope.-C’est toi mon petit Yves, mais que fais-tu ?-Ca se voit, non ?-Mais que fais-tu mon chéri ? Tu es tout nu ! Et … Oh tu… Tu es tout dur…-Que va dire Mado ?-Rien, car elle a eu son coup de bite, mais maintenant c’est ton tour !-Qu’est-ce qui te prend mon petit garçon ?-L’envie de te sauter, ma grosse cochonne !-Allez viens me baiser, jeune salaud !Elle s’est couchée sur le dos, les jambes écartées. Je pris ses gros nibards dans mes mains et me suis mis à sucer ses tétons. Gina fermait les yeux, sentant mes mains descendre sur son ventre et entre ses cuisses. Elle me disait – Oui Yves, vas- y tu me rends folle, avec ta langue, je veux que tu me lèches partout, suce ma chatte, je mouille, je suis folle de toi.-Cochonne !-Tu me fais du bien mon petit ! -Putain, t’es une sacrée nana… Quelle paire de nibards tu as…-Ah salaud tu branles bien ta grosse Gina !-Tu mouilles illegal bahis !!!-Oh le petit salaud, oh le petit cochon! Tu te branles, tu te touches la bite petit vicieux! Je collais ma bouche et je me mis à lui lécher sa chatte qui ruisselait de mouille. J’ouvris ses lèvres de mes doigts et y enfonçais la langue, pendant ce temps elle caressait ses grosses loches, je bandais comme un taureau, je me suis relevé entre ses cuisses, j’ai présenté ma queue et le lui ai enfoncé d’un coup sec. Elle criait :- Vas-y, j’aime te sentir en moi comme l’autre jour, je te sens bien en moi, ouiii vas-y baise-moi fort. Je me mis à la baiser, lui donnant de grands coups, je voyais ses seins se balancer, je limais, je sentais ma queue entrer et sortir en elle, je sentais ma queue cogner au font de sa chatte.-Putain, t’es gros, mon salaud !-Saloooope t’aimes la bite !-Je suis remplie !!!-Pourtant t’en a connu, des queues ! La mienne… pas la plus imposante !-Non, bien large… Tu me tues mon salaud !-Toi aussi, bien large ! De partout !-Et çà, cà te fait bien triquer mon cochon !-Oui oui, j’adore ton corps pulpeux ! ma salope !-Bite moi bien ! Saligaud !-Putain tu me donnes une trique !-Salopard tu baises l’amie de ta tante !-Aussi salopes les deux ! Elles aiment la bite !-Oh! Oooohh.! Aaaaahhh!En même temps, je lui tétais ses gros nénés…-Ah ! c’est bon, ah ! c’est bon, encore, encore !-…-Tu deviens fou, mon petit mignon.Elle m’entourait les hanches de ses jambes, se mordant les lèvres pour ne pas hurler, je lui ai relevé les illegal bahis siteleri jambes pour bien la posséder, je vis apparaître ses fesses, son petit trou, je le caressais d’un doigt puis lui enfonçais dans son petit trou. Elle serra les fesses, j’ai retiré mon doigt de son cul, puis j’ai retourné Gina, lui écartement les fesses, je l’ai prise par les hanches et je me suis enfoncé profondément dans sa chatte à nouveau. Je bandais de plus en plus fort, elle jouit une première fois en sentant ma queue dressée en elle, elle agrippait les draps et hurlait.- Je jouis, c’est bon, je sens ta belle queue me baiser, c’est chaud, c’est gros, je veux que tu jouisses toi aussi, je veux sentir couler ton jus en moi, arrose moi, gicle, oui vas y, donne-moi ta sauce. Elle remuait bien du cul, ma bite était toute gluante de son jus, je sortis ma queue de sa chatte et la présentais à l’entrée de son cul, elle referma les fesses en disant :- Non Yves, pas ça, tu es trop gros, je vais hurler et Mado va se réveiller !-Tu vas prendre ma queue !-Oh, doucement…-Tu vas sentir ma queue !-Tu vas me faire mal !-Je vais me faire ton gros cul, ma belle. Fais moi confiance, tu verras, tu vas aimer !D’un coup, je me trouvais en elle, jusqu’aux couilles, enfoncé dans son cul, elle devenait folle et remuait dans tous les sens, poussant des cris, je me mis à lui taper sur les fesses, elle hurlait :- Tu vas me déchirer avec ton engin, tu es fou, c’est vraiment trop. -Un gros cul comme ça, ça ne demande qu’à être enculé !!!Je canlı bahis siteleri me mis à aller et venir en elle, je sentais ses muscles me presser la queue, je sentais le plaisir monter en moi, elle se détendit et je pouvais enfin la sodomiser. Je l’enculais par des pénétrations profondes, puis lentes, elle s’ouvrit au maximum et commença à onduler furieusement.- Tu vas me déchirer avec ta grosse queue. C’est possible! …Puis soudain elle hurla – Oui, vas y encule-moi bien à fond, je te sens dans mon cul, encore vas-y …- …- Vas-y, plus vite maintenant… Aaaah! Je suis prête!…- …- Je suis ouverte, tu sens comme je suis ouverte?… Allez! Vas-y à fond!…A ce moment là, Mado entra dans la chambre, me regarda en souriant et me dit – Vas-y mon chéri, défonce lui le cul, fais-la hurler !-Quelle femelle ! Tu veux ma jute, Gina ?-Vas-y, je veux que tu jouisses en moi. Ne t’arrête pas. Vas-y plus vite, plus fort ! cria t-elle.-Ah oui, oui !-Allez, vas-y, crache tout petit cochon ! Crache !-Je vais jouir ! Je vais tout lâcher !-Moi aussi ça vient ! Vas-y met moi tout ton foutre! Putaiiiin, le salaud ! Je jouiiiiiis !!!Je ne pouvais plus tenir bien plus longtemps, je m’agrippais à ses fesses et donnais mes derniers coups de queue en elle, je me mis à jouir longuement et je crachais dans son cul. Je jouis en giclant tout mon jus, je me suis effondré sur elle puis tout en restant enfoncé dans son cul je l’ai retournée, elle était sur moi, ma bite dans le cul, les jambes écartées et levées. Là, j’ai demandé à Mado de venir me sucer les couilles et doucement ma queue a récupérée toute sa vigueur. Gina s’est mise à monter et descendre sur ma queue, puis ce fut le tour de Mado…Nous avons passé une très agréable nuit tous les trois…C’était beau d’être jeune !!!

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Une folle comédie au lycée (6)- Quoi ? Tu l’as invité à la soirée, lâche-je d’un brusquement.- Je n’ai pas le droit d’inviter un pote de ma classe à une soirée, c’est ça ? réplique Maude sur un ton piquant. A moins qu’en fait, je n’ai tout simplement pas le droit d’avoir mes propres amis ?Merde alors, elle fait chier avec son Luc. Ce mec devient trop envahissant. Il l’appelle même à la maison pour « discuter ». Seulement quand je cherche à savoir de quoi elle discute avec lui, elle commence à s’énerver. Depuis qu’elle a soi-disant sympathisé avec ce Luc il y a deux semaines, ce n’est plus pareil entre nous deux. Elle se fait plus distante. Ce mec a réussi à éloigner ma demi-sœur de moi. Je hais ce type. J’aimerais tant lui casser sa petite gueule de prétentieux friqué. – Non ce n’est pas ça, reprends-je. C’est une soirée prévue entre élève de terminal à la base. – Et alors ? Moi aussi je suis en seconde et pourtant je suis quand même invitée. Et puis je suis sûr qu’il s’intégrera facilement dans le groupe. – Toi c’est différent, t’es ma copine.- Arrêtes tes conneries Nico, je sais très bien pourquoi tu ne veux pas qu’il vienne. Tu es jaloux. Tu t’imagines que je pourrais en pincer pour ce gars. T’es lourd à force. Je te le dis une dernière fois, ce n’est qu’un ami. – Je ne suis pas jaloux, affirme-je d’un ton pas vraiment convainquant. Elle ne se donne pas la peine de répliquer et sort de ma chambre en claquant la porte. Merde, on dirait que je n’aurais pas le droit à une fellation ce soir. Mais quelle idée elle a eu d’invité ce con à la soirée de Mélanie de demain? On n’avait pas besoin de ça. Et après je passe pour le méchant, je n’ai juste pas envie de voir sa tête de con venir me gâcher la soirée. Merde, je déteste quand Maude me fait la gueule comme ça. Si je ne fais rien pour me faire pardonner, on va en avoir pour des jours et la soirée de demain sera quand même gâchée. C’est chiant à la longue, c’est toujours moi qui doit faire le premier pas sur la voie de la réconciliation. Je me lève, sors de ma chambre et frappe à la porte de Maude.- Vas-t-en ! fait-elle en colère.- Écoute sœurette, je suis sincèrement désolé. Tu veux bien m’ouvrir pour qu’on discute un peu ?- …Pas de réponse. Il va falloir me montrer plus persuasif que ça. – J’ai réfléchi et je pense que je peux convaincre Mélanie d’autoriser Luc à venir à sa soirée. Berk, rien qu’à prononcer le nom de ce type me donne des nausées. Mais ça semble fonctionner car la porte de la chambre s’ouvre. Ma demi-sœur m’invite à entrer d’un geste de main et je m’installe sur son lit.- Tu as appelé Mélanie ? demande Maude.- Non pas encore.- Fais-le maintenant, m’ordonne-t-elle.Merde, elle ne lâchera pas l’affaire tant qu’elle ne sera pas complètement satisfaite. Je n’ai pas vraiment le choix et compose le numéro de Mélanie à contre cœur tandis que ma sœur s’assoit à côté de moi. Pendant que la sonnerie retentit, je ne peux pas m’empêcher d’admirer les magnifiques jambes de ma sœur qui dépassent de sous sa petite robe. Maude est vraiment bandante. Je n’ai vraiment pas envie de la perdre. Je suis donc près à satisfaire ses désirs pour la garder.Soudain quelqu’un décroche au bout du fil.- Allo Mélanie ? ….Ah non, c’est toi Sophie, tu peux aller me chercher ta sœur ?Pendant que j’attends que Sophie aille chercher sa grande sœur, je remarque que Maude me regarde avec un sourire coquin. Elle pose une main sur mon entrejambe et commence à frotter. L’effet est immédiat et je bande aussitôt. Elle ne tarde pas à défaire mon pantalon et à sortir ma bite. On dirait que j’aurais finalement quand même le droit à ma fellation. Elle me gobe le gland et commence un léchage des plus divins. Hum, j’adore quand elle prend des initiatives comme güvenilir bahis cela. Tandis qu’elle aspire ma hampe, une voix provenant du téléphone me ramène à la réalité. – Allo, fait la voix. Mélanie arrive d’une minute à l’autre.- Ok Sophie…J’attends…oh !Maude a accéléré le rythme sur ma queue. Elle me pompe avec fugacité et vivacité. Elle est devenue vraiment très douée. Elle me fait beaucoup de bien. C’est vraiment merveilleux. – Allo, Nico c’est toi ?- Euh oui, réponds-je d’une voix haletante. C’est à propos de la soirée de demain, je…Oh ! Maude essaye de rentrer ma bite le plus possible au fond de ma gorge. Elle semble vouloir dépasser ses limites. Quel spectacle magnifique et jouissif. Sa langue continue de s’agiter le long de ma bite et ses mains me massent les couilles.- Oui ? reprend Mélanie face à mon silence.Ah oui, j’ai oublié de finir ma phrase.- Et bien, je sais bien que c’est une soirée entre terminals à la base, commence-je en essayant d’adopter un ton le plus naturel possible, mais je me demandais si tu accepterais qu’un élève de seconde vienne. – Laisse-moi deviner. Il s’agit de Luc ?- Oui c’est ça.Mélanie est perspicace ! Elle a tout de suite compris la situation dans laquelle je me trouvais. Elle a deviné que Maude ne me laissait pas vraiment le choix. En même temps, ce n’est pas vraiment étonnant que Mélanie est si bien tout compris. C’est deux dernières semaines, Mélanie est devenue une sorte de confidente. Je dois avouer que ça m’a fait du bien de pouvoir parler librement avec quelqu’un qui me comprenait. – Tu es sûr de toi ? m’interroge-t-elle. Tu as une voix un peu bizarre.- Oui.- Dans ce cas oui, ça ne me dérange pas qu’il vienne. Je sais que j’ai dit soirée entre terminals mais c’est plutôt ouvert comme soirée en fait.- Ok, je te remercie, c’est sympa.- Ouais, c’est ça, bon courage et à demain soir.- Oui, merci à demain.Je raccroche le téléphone, le balance à l’autre bout du lit et m’allonge pour profiter pleinement de la fellation que me prodigue Maude. Je me laisse envahir par les sensations qui me font tourner la tête. Sa langue s’agite encore sur ma tige, elle me pompe divinement, me suçote, m’aspire et me lèche. Dieu que j’adore ça ! Elle s’est vraiment s’y faire. Je suis déjà au bord de la jouissance, elle la sens arriver et redouble de vigueur pour me faire venir. C’est dans une joie indescriptible que j’explose et me libère dans sa bouche tandis que nous entendons nos parents rentrer à la maison. Elle finit de me nettoyer et nous descendons voir nos parents. *** La soirée de Mélanie est enfin arrivée. Elle a commencé depuis maintenant deux bonnes heures et je suis déjà un peu éméché par l’alcool qui y coule à flot. Je reviens de la cuisine où je me suis récupérer une nouvelle bière et observe un peu la salle. Mélanie et avec Luc et plusieurs garçons de terminal dont Marc le copain de Mélanie. Luc semble bien faire rire l’assemblée. Maude avait raison en disant qu’il s’intégrerait facilement au groupe. Je ne peux pas m’empêcher d’avoir une boule à l’estomac en voyant la lueur qui anime le regard de ma demi-sœur. Est-ce que ce type lui fait de l’effet ? Je fixe Maude des yeux. Ça me ferait vraiment mal de la perdre. Elle est si douce, si belle et si aimante. Que ferais-je sans elle ? Je serais vraiment perdu je crois. Mélanie arrive à mes côtés et, à mon expression, n’a pas de mal à deviner la nature maussade de mes pensées. Elle me passe une main dans le dos pour me consoler. – Non mais regarde comment il lui matte les nibards !Quoi ? C’est vrai, Mélanie a raison, ce fumier a les yeux rivés sur les seins de ma sœur. Une fureur a****le se réveille en moi. Je bous intérieurement. C’est ma sœur que tu mattes comme ça connard, c’est ma türkçe bahis copine ! J’ai envie d’exploser, d’envoyer tout balancer en l’air et surtout de lui défoncer la gueule. Mais je ne peux pas me résoudre à cette dernière éventualité où je m’exposerais fatalement au courroux de ma sœur. N’empêche, ce n’est pas pour cela que la rancœur me quitte. J’observe la scène d’un œil noir. Il continue à jeter l’œil dans son décolleté et elle semble ne se rendre compte de rien, ou alors elle fait semblant de ne rien voir. Elle semble aussi bien éméchée.Quoi qu’il en soit, la soirée continue à suivre son cours et ma haine de ce type ne me quitte pas un instant. J’enchaine les verres pour me changer les idées mais rien n’y fait. Pendant que ma sœur est partie aux toilettes, je m’approche derrière Luc pour écouter ce qu’il peut bien raconter à Marc et aux autres. – Et là la meuf je la prends par derrière et lui défonce le cul. J’te jure, véridique ! J’imagine la gueule de son copain s’il avait su. Cette fois c’est la goutte qui fait déborder le vase. J’agrippe le mec par le col, l’extirpe du groupe et lui envoie mon poing au visage. Luc se retrouve comme une merde par terre. Marc et un autre type me saute dessus pour me retenir. – Non mais ça va pas Nico ? me demande Marc. Qu’est-ce qui te prend ? – Laisse, il est bourré c’est tout, fait l’autre type.Maude vient de refaire une apparition dans la pièce et semble avoir assisté à toute la scène. Elle se précipite au près de Luc et me lance un regard noir. – Mais il est complètement cinglé ton mec, geint-il. Qu’est ce qu’il lui prend ?Maude le prend par la main et l’emmène à l’écart tout en me lançant un dernier regard de reproche. Marc et de l’autre type me lâche et je me tire dans le jardin pour échapper aux regards désapprobateurs que je me jette l’assemblée.Quelques minutes plus tard, Mélanie fait son apparition et s’assoit à mes côtés. – J’ai déconné, lui lance-je désespéré.- Je sais, fait-elle d’un ton désolé. – Et Maude ?- Elle est en colère bien évidemment. Elle est partie raccompagner Luc chez lui. Il n’habite pas loin apparemment.C’est le coup de poignard qui vient m’achever. La soirée n’aurait pas pu être plus pourrie. – Et bien il a gagné la partie me semble-t-il. 1-0 pour Luc, dis-je dégouté. Cette fois j’ai tout gâché.Mélanie me prend dans les bras pour me consoler. Je me sens atrocement vide. J’ai mal ! Je souffre, c’est affreux. Comment ai-je pu en arrivé là ? Comment ai-je pu à ce point merder ? Cette fois, je crois bien que cette histoire est terminée, mon rêve est terminée, ou plutôt il vire au cauchemar. J’ai envie de pleurer mais les larmes refusent de couler. Les bras de Mélanie m’apportent quand même un certain réconfort. Alors c’est sans réfléchir que je me tourne vers son visage et l’embrasse. Elle se laisse faire et bientôt nos langues s’entremêlent. Je ne suis pas sûr que ce que je sois en train de faire soit une bonne idée, mais comme je ne peux pas m’empêcher de m’imaginer ma sœur se faire prendre par Luc, je ne trouve rien de plus intelligent à faire pour me sentir mieux. Mélanie me prend par la main, m’entraine discrètement à l’étage, me fait rentrer dans sa chambre et me jette sur son lit. Elle s’installe à califourchon sur moi et m’embrasse langoureusement. Mes mains s’agrippent sur son fessier parfaitement moulé dans sa minijupe de cuir noir et je commence à la caresser. Elle enlève son haut, défet son soutien-gorge de dentelle noir, me prend les mains et les installe sur ses deux magnifiques seins. Je les palpe et agace ses tétons tandis qu’elle ondule du bassin pour se frotter à mon entrejambe. Elle sourit et gémit de bonheur. Elle m’enlève à mon tour ma chemise, me caresse et m’embrasse le torse. Elle güvenilir bahis siteleri m’enlève mon pantalon, puis mon boxeur et libère mon sexe tendu. C’est à son tour de finir de se déshabiller, elle retire ses longues bottes de cuir et fait descendre sa minijupe d’une façon sensuelle et excitante tout en me fixant avec un regard aguicheur. Elle ne porte rien sous sa minijupe et elle se retrouve donc maintenant complètement nue. Elle ne tarde pas à venir s’installer de nouveau à califourchon sur moi et à s’empaler sur ma bite. Sa chatte, qui coulisse maintenant sur moi, est vraiment bouillante et très humide.- Oh oui, lance-t-elle en me caressant le torse. C’est bon. Depuis le temps que j’attendais de faire ça.Tandis qu’elle coulisse le long de ma bite, moi, je ne fais rien. Je me contente de la regarder se faire du bien avec ma queue. J’observe presqu’absent ses seins se balancer au rythme de ses mouvements. Je le voie se passer la main dans ses longs cheveux bruns, se mordre la lèvre et gémir de plaisir. Je me laisse envahir sans résister aux sensations. Peut-être arriverais-je à oublier deux secondes Maude et cette image où elle est à genoux, le sexe de Luc en bouche.Soudain Mélanie se retire et s’installe à quatre pattes à côté de moi. – Viens, me fait-elle, j’ai envie de te sentir dans mon cul. Je me lève alors obéissant et m’installe derrière elle. Je n’ai jamais fait cela alors je frotte un gland hésitant sur sa rondelle. – N’ais pas peur, m’encourage-t-elle. J’ai l’habitude. Tu peux y aller comme ça. Cette fois ça y est, en un coup de bassin mon gland pénètre dans le fondement de Mélanie. Oh, c’est vraiment très serré. C’est une sensation bien différente que dans un sexe. J’ai du mal à croire ce que je suis en train de faire. Il y a à peine quelques semaines, je n’envisageais absolument pas une seconde de coucher avec Mélanie et là j’avais ma bite dans son magnifique derrière.- Vas-y, défonce-moi le cul. Fais-toi plaisir et laisse-toi aller.J’agrippe les hanches de Mélanie et donne quelques coups de reins qui me permettent de m’enfoncer toujours plus loin dans son cul.- Oh oui c’est trop bon. N’hésite pas à y aller plus fort. Je lui obéis et accélère la cadence de mes coups de butoir. Je l’encule maintenant bien à fond et je mets tout le cœur à l’ouvrage. La salope gémit de bonheur. Comme elle me l’a demandé, je me laisse de plus en plus aller et ma tête se vide peu à peu des derniers événements. Tandis que je continue de la sodomiser, je finis même par ne plus penser à Maude. D’ailleurs, je ne pense plus à rien. Je me contente de besogner ce cul offert de façon automatique tout en me laissant bercer par les sensations que l’exercice me procure. Mélanie apprécie vraiment de sentir ma bite coulisser dans son cul. Elle halète, retient ses hurlements et finis par reculer son bassin pour que ma bite lui rentre aussi profondément que possible.- Oh putain, j’adore ! J’aime que tu me défonces comme ça, lance-t-elle. Je vais bientôt jouir. C’est dans un rythme effréné que nous oscillons tous les deux en rythme. Je sens que moi aussi je ne suis pas loin de jouir. Je puise en moi mes toutes dernières forces pour terminer cette tâche et moins d’une minute plus tard je suis pris de spasmes violents et je me sens exploser à l’intérieur de Mélanie. – Oh oui ! Inonde-moi le cul. Le souffle coupé, je m’effondre sur elle. Elle se retrouve donc allongée à plat ventre sur le lit avec moi couché sur elle, la bite qui débande lentement dans son cul. Pris par une envie de tendresse, je dépose un léger baiser sur sa joue et lui caresse ses cheveux d’ébènes. Soudain, un cri de stupeur attire mon attention vers la porte de la chambre. Je découvre avec horreur Maude le visage dégoutée et les larmes aux yeux. Je me relève d’un bon, me précipite vers elle et avant que j’ai le temps de tenter pitoyablement de me justifier elle se sauve en courant et en larmes. Pris de désespoir, je me tourne alors vers Mélanie en quête d

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Surprise 2 (par TED)…. J’ouvre les yeux, les mains liées et le cul rempli. Les souvenirs de la soirée me reviennent et me fais bander. Combien de temps j’ai dormi? La musique continue et m’empêche d’entendre quoi que ce soit. Adeline n’est pas du genre à l’autorité ni même à prendre les devants. Ce qui rend ce moment plus excitant!La revoilà! Toujours vêtue de son corset, bas et talon aiguille mais harnachée d’un gode ceinture, les yeux pétillant et toute souriante. -reposé? Prêt pour la suite à ce que je vois!Sans dire mot j’acquiesce de la tête. Elle se penche sur moi pour m’embrasser, sa langue entourant la mienne. La revoilà à califourchon sur ma poitrine. -suce moi! Dit elle en me présentant sa bite artificiel devant mes lèvres. J’ouvre la bouche et l’englobe. Je l’a suce comme j’aime être sucé. Elle me détache les mains du lit mais les laisses attachées ensembles. Lève les fesses pour plus de facilité, qui, du coup, enfonce sa bite jusque dans ma gorge. -eh bien mon cochon? Je ne te savais pas capable de ça!? Dit elle en s’en apercevant. Cela lui plait, elle me tien la tête et donne des coup de reins de plus en plus fort. Me forçant à la sucer à son rythme. Une main att**** ma queu suivi d’une bouche!? Toujours coincé entre les mains et la bite d’Adeline, je me fait sucer par une bouche inconnue. Bah sucer et être sucer en même temps n’est pas pour me déplaire! Ce qui l’intrigue, güvenilir bahis elle n’a jamais voulu à plusieurs… Le temps est aux plaisirs et les question après! Adeline gémi de cette fellation factice, pendant que l’inconnue me lèche, suce et malaxe mes couilles. Adeline se relève, ce qui me permet de de voir l’inconnue. Mais je ne la reconnais pas. Mes pensées ont croisées les siennes puisqu’elle relève la tête et me dit:-Salut! Moi c’est Muriel! Avec un large sourire et reprends d’ambler sa pipe.Puis Adeline m’ordonne de me mettre à quatre pattes. Ce qui me permet de voir que Muriel est nue et aussi équiper d’un gode ceinture. Muriel se tien devant moi et met sa bite factice dans ma bouche. Pendant ce temps Adeline joue avec le plug coincé dedans mon cul, le fait tourner, histoire de préparer la sortie. Me l’extrait en m’arrachant un râle de plaisir que Muriel profite pour m’enfoncer sa queu au fond de la gorge! Tellement que mon nez se trouve écrasé contre son bas ventre! La panique monte par le manque d’air. Mais elle ne tiens pas la pose, se retire le temps de reprendre mon souffle et remet sa queue en bouche. -tu as le cul bien ouvert, dis donc! Dis Adeline en m’insérant trois doigt. -pas sur que nos bite suffisent!?Je continue, contraint et volontaire, à sucer Muriel pendant qu’Adeline présente son sexe à mon trou. Le plug, toujours inconnu, à fait son travail, puisque Adeline türkçe bahis est entrée sans ménagements et sans douleurs. Je me fait prendre des deux côtés par deux magnifique créatures dotée de bites artificiels. Muriel se glisse sur mon côté et commence à me branler, tout en embrassant Adeline sur la bouche, les seins, les épaules. Adeline me pistonne de plus en plus fort, me faisant gémir. Muriel glisse une main entre les jambes d’Adeline. -ça te fais mouiller d’enculer ton mec! Lâche Muriel à Adeline. -oui, mais pour le moment, on s’occupe de lui! Il n’a pas encore couiner! -il est bien ouvert? Demande Muriel en me glissant un ou deux doigts dans l’anus alors que la bite d’Adeline y est toujours. -Visiblement il peux prendre plus! Viens te mettre sur moi. Me dit elle en se couchant sur le dos. Ce que je fais, alors qu’elle me tend sa queue où je m’empale. -viens aussi, quand il y a de la place pour une, il y en a pour deux!La deuxième entre sans trop de difficulté et me fais gémir plus fort! Muriel se caresse les seins, Adeline m’enfonce ses ongles dans le dos tandis que les deux queues me pistonne le derrière. Après quelque temps, Muriel propose:-il va te prendre pendant que je continue avec son cul. -non, j’ai une meilleur idée. C’est toi qu’il va prendre et pour commencer, il va te lécher ton minou. Aussitôt dis, aussitôt fait. Je trempe ma langue dans sa chatte dégoulinante. Je l’entend güvenilir bahis siteleri gémir. Tandis qu’Adeline entre trois doigt facilement dans mon cul, puis quatre.Je sens les cuisses de Muriel se resserrer, elle me plaque ma bouche contre son sexe et jouis. Au même moment Adeline entre sa main dans mon ventre. -haaaaa oooouuuuiiiiii c’est bon ça!!!! Criai je.Elle reste immobile un petit moment, puis la ressort pour mieux la rentrer. Muriel se retourne à quatre pattes devant moi, me présentant son cul à lécher. -lèche moi bien le cul pour m’enculer. Mais le tâche est difficile avec Adeline qui me fist le derrière et mes râles grandissants. Jugeant son cul suffisamment ouvert. -encule moi maintenant. C’est alors que je présente ma queue à son iris alors qu’Adeline me fist toujours. J’entre le plus doucement possible. Visiblement trop doucement puisqu’elle viens à ma rencontre. Le point dans mon ventre fait des aller retour toujours plus violent, me donnant la cadence dans le cul de Muriel. Je résiste à ne pas jouir de suite, essayant de ralentir la cadence mais Adeline semble en décider autrement. Muriel jouis au moment où je décharge dans son cul. Adeline sort sa main ficher dans mon ventre et je m’écroule sur Muriel et roule sur le côté. Adeline se couche prêt de nous avec un sourire satisfaite. -cela t’as plu? -oui merci mon amour. -…-mais et toi? Tu n’as rien eu! -t’inquiète! Muriel ne repars que demain! J’ai tout le temps de prendre du bon temps. Pis elle m’a déjà montrer ce qu’une femme pouvait faire….-??? -je pense que tu m’as compris! Muriel s’est endormi et je m’endors dans les bras de ma chérie. …

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