Mûres12/raser le sexe de Brigitte,73ans

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Mûres12/raser le sexe de Brigitte,73ansC’était devenu quotidien. La vieille dame aux allures de comtesse distinguée m’ouvrait ses fesses à tout moment.Son appartement cossu devenait le théâtre des scènes de baise les plus débridées. Les miroirs dorés reflétaient l’image d’une femme à genoux, son chignon en train d’onduler au niveau du sexe d’un jeune homme debout.Son goût de l’exhibition, qu’elle n’osait pas manifester à l’extérieur, se déchaînait autant que possible entre ses murs.Elle aimait se regarder en train de sucer. Nous devions nous approcher du miroir, afin qu’elle se voie de profil, une joue bosselée par l’intrusion de mon sexe entre ses lèvres.Lorsque je la prenais dans le salon, ce qui arrivait souvent, elle cherchait à composer un tableau pornographique éphémère, afin de se contempler. Par exemple, je la pinais debout, elle maintenait son équilibre d’une main en s’appuyant à un petit meuble, et de l’autre, relevait sa jambe en se tenant le genou, comme une danseuse. Dans cette position de flamant canlı bahis şirketleri rose, elle pouvait voir le cylindre de chair de son jeune amant coulisser entre les lèvres rasées de sa fleur mûre, paradoxalement semblable à celle d’une petite fille, car je la rasais régulièrement.Ainsi sa vulve baillait sans pudeur entre ses cuisses minces et bien dessinées, comme une innocente petite chose qui a toujours faim, et qui ne demande qu’à être gavée.Le rasage de Brigitte avait été rapide. Comme pour la grosse Monique, j’avais disposé une serviette de bain sur le lit, et badigeonné sa vulve de mousse à raser. Très délicatement, j’avais caressé les grandes lèvres avec un rasoir jetable de la meilleure qualité. Afin de l’encourager dans cette opération, et pour lui donner un avant-goût de l’avantage qu’elle pouvait en tirer, je m’étais mis à suçoter et à mordiller ses grandes lèvres, dont j’appréciais la texture charnue qui me rappelait certains fruits de mer.Comme si je venais de lui faire goûter canlı kaçak iddaa du champagne, elle me confirma que c’était meilleur ainsi, sans les poils.Il ne me restait qu’à faire disparaître la mousse légère et blonde de son duvet pubien.Ses poils aussi doux et fins que ses cheveux ne cachaient déjà pas grand-chose de la fente de la vieille dame. Maintenant déplumée, elle s’offrait à moi comme une fente de gamine.Pour l’inauguration de la nouvelle chatte de ma comtesse, je m’appliquai à lui laper soigneusement le sexe, non sans lui donner, cela va sans dire, de bons coups de langue sur son trou du cul si sensible.Ce fut beaucoup plus poétique que le débroussaillant des poils gris de la sympathique grosse Monique. J’avais désherbé l’essentiel aux ciseaux avant de me concentrer sur le travail du rasoir, ce qui était difficile tant ses gémissements me faisaient trembler de désir.La vulve de Monique ne dégageait pas le même érotisme que celle de Brigitte, mais je me rappelle lui avoir bouffé la moule canlı kaçak bahis avec acharnement, parce que ses cris de plaisirs rendus aigus par des années de frustration me transmettaient des vibration jusque dans les couilles. En levant les yeux, je rencontrais, en plus de ses gros nichons, un regard chaviré de reconnaissance.Lorsque je l’avais ensuite enfilée, le spectacle de ses cuisses largement écartées, de ses gros seins, m’entraînait dans un type d’érotisme rude, terrien, comme si j’avais relevé les jupes d’une poissonnière dans un contexte archaïque et populaire. Rasée, la grosse dame s’offrait comme une volaille embrochée.Brigitte s’offrait comme la maman de la reine des elfes. Je vivais un conte érotique calligraphié dans un reliure dorée, illustré de gravures obscènes et faussement enfantines.D’ailleurs, la vieille dame appréciait aussi le spectacle. Elle relevait légèrement la tête et baissait les yeux en permanence pour voir sa chatte enfantine nourrie en rythme par une grosse saucisse. Elle savait que sa fente n’aurait plus jamais faim. Sa fleur n’obéirait plus à son front de gouvernante moraliste. Elle serait une plante carnivore, toujours pleine de sperme. Son jeune amant ne cesserait de l’assaillir, de l’enfiler et de gicler pour elle.

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Annie et Corine

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Annie et CorineIl y a quelques mois, il m’est arrivée une aventure avec une amie et j’en garde un souvenir très vif.Annie, est mariée depuis cinq ans. Nous nous rencontrons assez régulièrement et nos sorties nous entraînent au restaurant, en boîte de nuit toujours accompagnées de son mari et d’un groupe d’amis. Physiquement, elle tendrait à être mon contraire. Petite, assez potelée, les cheveux noirs coupés très courts, elle a un visage rond et de grands yeux sombres.Un après-midi, je me trouvais en sa compagnie chez elle et nous nous étions installées sur la terrasse. Allongées côte à côte, nues, nous profitions de la chaleur que nous offrait le soleil de ce mois de juillet. Annie me proposa de me passer sur le corps de l’ambre solaire. Couchée sur le ventre, je flottais déjà dans une douce léthargie; la caresse de sa main ne fit qu’amplifier ce sentiment de plénitude.Ses doigts glissaient lentement sur mes épaules, le long de mon dos. Elle me dit que j’avais la peau très douce et que mon physique était attirant. Tout en continuant à répandre sur mon corps de la lotion, illegal bahis elle me demanda d’un air détaché si j’avais déjà éprouvé de l’attirance pour elle.Honnêtement, je dois bien avouer que cette femme ne m’avait jamais laissée indifférente. Plus âgée que moi d’une bonne dizaine d’années, elle dégageait une forte personnalité et physiquement elle ne me déplaisait pas du tout. Je lui avouai ce que le pensais d’elle.Sa main se trouvait à présent dans le creux de mes reins et ses phalanges voletaient sur me peau. Descendant plus bas, frôlant l’arrondi de mes fesses tout en épousant légèrement leur forme, j’en appréciai la délicatesse du toucher.-Imaginerais-tu pouvoir faire l’amour avec moi? Me questionna Annie.Je lui répondis que je n’avais aucune réticence à ce que l’on essaie. Enhardis par ma réponse, ces doigts se firent plus audacieux et glissèrent langoureusement dans mon entre-jambe, qui s’écarta légèrement, les acceptant dans l’exploration de mon intimité.Son doigt vagabondait le long de ma fente; déjà lubrifié par la crème solaire, il s’humidifia un peu plus lorsque illegal bahis siteleri je me mis à mouiller. Sa caresse était précise et adroite. Annie changea subitement de place et s’allongea derrière moi, écartant avec douceur mes jambes, me forçant à relever légèrement mon postérieure.L’effleurement de sa langue sur ma chair m’arracha un cri de surprise et de plaisir. Ma vulve palpitait, de désir et d’envie. Sa bouche s’écrasa un peu plus contre mes lèvres, sa langue écarta, se glissa un peu plus au fond, à l’entrée de mon vagin. Louvoyant ensuite dans mon repli intime, elle s’empara de mon clitoris qu’elle se mit à pomper doucement. Mon postérieure relevé était entièrement offert à sa bouche et à se doigts. J’eus à ce moment le besoin d’accentuer le contact, le désire de la sentir beaucoup plus près de moi.Je me suis levée et toutes deux nous nous somme précipitées dans sa chambre. Nos bouches se sont rencontrées enfin, sa langue me fouillait, nos ventres roulaient l’un contre l’autre. J’étais maintenant dans un état second, ses mains me pétrissaient chaque canlı bahis siteleri parcelle de peau, les miennes s’accrochaient à ses seins volumineux qui me faisaient tant envie.Je me mis à quatre pattes sur elle lui baisant le corps, lui suçant ses tétons, longuement. Je lui mordillai son ventre, mes mains agrippées à ses cuises. Puis tête plongée entre ses cuisses, je goûtai avec délice à sa liqueur. Mon postérieur qui la chevauchait, tressautait sous ses coups de langue. Elle glissa mon clitoris entre ses lèvres et entreprit de le pomper. Mon cœur battait la chamade, ma respiration se précipita.Nous nous mangions férocement chacune le sexe, nous labourant gloutonnement de nos lèvres et de nos langues. Je sentis Annie se crisper sous moi, ses jambes se tordre violemment et son corps s’arquer. Elle enfonça ses doigts dans mon vagin, les déplaçant à vive allure à l’intérieur, les rentrant et sortant vivement alors qu’en une longue plainte elle s’envoyait en l’air.Ce cri, ça m’a rendue folle; de la sentir jouir sous moi aussi. Un grand flash a pris place dans mon esprit, s’estompant peu à peu pour se transformer en un profond gouffre sombre et sans fin dans lequel j’ai sombré sans pouvoir retenir mes cris de jouissance.Nous avons recommencer l’expérience à plusieurs reprise, jusqu’à ce que son mari nous surprennes.

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Amanda CHAPITRE 10

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Amanda CHAPITRE 10Chapitre 10: RésolutionCe soir là je n’ai pas su quoi écrire sur mon carnet. Cela faisait plusieurs heures que j’avais été “libéré” des cordes. Pourtant j’avais la sensation de les sentir toujours et surtout mon cerveau planaient toujours autant. Assis devant mon petit bureau, le carnet grand ouvert sur une page blanche je tentais de trouver les mots… en vain.J’étais conscient que je n’avais jamais ressenti ça auparavant. Même mes quelques expériences sexuelles étaient sans communes mesures avec ce que j’avais vécu dans les cordes.Et Irène ? Qu’est ce que je ressentais exactement pour elle ? De la haine ? De l’amour ? De la colère ? De la confiance ?Tout devenait de plus en plus confus. Une seule chose demeurait certaine. Mon ancienne vie n’avait jamais été aussi lointaine. En le réalisant j’ai éclaté en sanglot.Alertée par ma crise de larmes Irène est montée dans ma chambre et m’a trouvé effondré sur le bureau en train de me vider de toutes les larmes de mon corps. Soucieuse de mon bien etre elle s’est précipitée pour me prendre dans ses bras.L’écrire est très difficile pour moi, mais j’ai eu beaucoup güvenilir bahis de mal à la repousser, mon corps entier la réclamait et lui hurlait de me serrer contre elle. J’étais empli d’une demande affective qu’elle ne demandait qu’à contenter.Mais j’ai réussi à la repousser. Avec insultes, hurlements et menaces. Je me suis soulagé en lui envoyant en plein visage toute la haine qu’elle m’inspirait, tout le dégout qui m’habitait.Mais pas seulement, je sais bien que c’est allé plus loin, elle a prit pour tout le monde. Pour chaque contrariété, pour chaque connard que j’ai pu croiser, pour chaque injustice que j’ai pu constater.Cette nuit j’ai transformé ma Maitresse en mon bouc émissaire.J’écumais de rage, je me défoulais sur elle c’était jouissif. Et si elle n’avait pas dégainé son putain de taser je l’aurais battu, peut etre meme serait elle morte sous mes coups.J’ai envoyé valser ce carnet, j’ai saccagé ma chambre. Mais elle est restée stoique. Son visage n’a pas manifesté plus d’ expression qu’un mur.J’ai fini par me retrouver à court de tout, d’énergie, de larmes, d’insultes et meme de rage. Je me suis écroulé, haletant türkçe bahis comme un chiot cherchant son souffle.Elle a rangée son taser et m’a dit avec un regard dur:”on en parlera demain. Bonne nuit”Elle a fermé la porte, le système de sécurité s’est enclenché et je me suis retrouvé seul. Je ne l’ai jamais autant détesté qu’à ce moment ou j’ai eu l’impression qu’elle m’abandonnait. Je pense que j’aurais préféré une session de fouet.Malgré son visage inexpressif j’ai vu deux choses lui échapper. La première c’est la colère. Mes paroles ont été cruelle et je pense que j’ai réussi à l’atteindre quelque part. C’est pour ca que j’ai senti de la colère en elle. Mais elle semble savoir bien mieux maitriser ses émotions que moi.Et ensuite j’ai senti de la tristesse. Provoqué par moi mais pourtant elle semblait lointaine, comme une ancienne plaie que j’aurais rouverte…Je n’ai pas réussi à trouver le sommeil cette nuit là. Entre l’atmosphère lourde qui laisse présager un orage, la menace d’Irène qui me trottait en tête et la peur qui s’amusait à me tirailler le ventre il était impossible pour moi de dormir.Je craignais pour güvenilir bahis siteleri ma vie, tout en sachant que la mort était peut être ce que j’avais le moins à redouter.J’ai scruté pendant de longues heures le boîtier d’alarme. Attendant de lui une réponse qui ne pouvait venir que de moi.Mes longues heures d’insomnies me permirent d’élaborer mille plans d’évasion plus ou moins réalisable. Au début ce n’était qu’un passe temps. Mais à force d’y penser cette éventualité est devenue ma seule espérance. Le vélux de ma chambre n’est pas sous alarme. En même temps on est au deuxième étage… Mais je pense que je peux parvenir à descendre le mur sans blessure ni bruits. Ensuite je suis quasiment sûr que la porte fenêtre du salon n’est pas fermée. Maîtresse doit la laisser ouverte le soir car je la retrouve ouverte tous les matins.La lessive est encore en train de sécher dans le salon. Et il y a un pantalon en jean noir et une chemise mauve pas trop féminine. Ça vaut le coup de tenter.Une fois que j’aurai terminé d’écrire ces lignes dans ce foutu carnet je mettrai mon plan à exécution. Et si comme je l’imagine vous profitez de ce carnet pour savoir où j’en suis psychologiquement depuis le début. Permettez moi d’en profiter pour vous dire “Maîtresse” que je vous hais et que je vous voue à l’enfer.J’espère que vous crèverez dans d’atroces souffrances sale pute !

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Extreme Cocu Fantasy 2-1

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Extreme Cocu Fantasy 2-1Extreme Cocu Fantasy Ch. 02 par Revan7 © Prologue Cela fait deux ans que David et Jenny ont commencé à rêver de cocu. Deux ans après, Jenny était enceinte d’un des quatre bébés de l’homme noir. Ils étaient sur le point de sortir et d’obtenir la reine des tatouages ??à la pique pour Jenny. Jenny était enceinte du bébé d’un homme noir et devrait bientôt commencer à répondre aux questions sur la couleur de la peau du bébé. Ils ont d’abord pensé qu’ils devraient en informer leur fils, Ed. Ed avait 18 ans la semaine précédente, alors ils ont décidé qu’il était assez vieux et méritait la vérité. Ed savait que sa mère était enceinte et était excité d’être un grand frère. David Jenny a crié en haut à Ed alors que David était assis à la table de la cuisine. Il pouvait sentir sa petite cage de chasteté rose dans son pantalon. Cela faisait presque trois mois qu’il avait eu l’impression de faire partie de son corps. Jenny entra dans la chambre avec Ed et s’assit à la table. “Quoi de neuf?” dit Ed. “Bien! Tu sais que je suis enceinte?” “Bien! Nous avons pensé que vous devriez savoir que le bébé n’est pas l’enfant de votre père! Parce que, comme vous le savez, nous vous avons conçu avec un traitement de FIV parce que votre père n’a pas le sperme assez fort pour m’imprégner!” dit-elle. “Ok! Alors c’était un don de sperme ou quelque chose comme ça?” Ed a demandé. “Eh bien en quelque sorte! Ce que nous voulions vous dire, c’est que le type qui m’a imprégné est un homme noir! Ainsi, le bébé sera à moitié noir!” dit Jenny. “Oh! Euh d’accord! Je me suis trompé!” bégaie Ed. “Vous devrez faire face à cela car il n’y a pas de retour en arrière!” “Nous avons toujours voulu avoir un autre bébé et ton père l’a accepté! Nous répondrons à toutes tes questions!” dit Jenny. Ed regarda la table un moment avant de demander “Pourquoi avez-vous choisi un homme noir?” Il a demandé. “On ne l’a pas vraiment choisi! Je me faisais baiser et je n’ai pris aucun moyen de contraception!” Jenny lui a dit. “Alors tu as trompé papa?” Ed a demandé. “Non, pas exactement! J’avais la permission de ton père et ton père voulait me regarder m’amuser!” répondit Jenny. “Pourquoi?” demanda Ed. “Parce que nous avions un fantasme impliquant des hommes noirs et que nous avons eu le courage de le mener à bien!” dit Jenny. “Que voulez-vous dire par des hommes? Y en a-t-il d’autres?” Ed a demandé. “La première fois, c’était avec quatre hommes noirs et nous les avons invités à revenir parce que c’était notre fantaisie! Nous n’avions pas vraiment prévu d’accoucher de bébé! Ils ont tous jeté leur graine en moi et maintenant l’un d’eux est le père!” elle répondit. “Oh! Où avez-vous eu ce fantasme?” demanda Ed. “Et bien! Je suis sûr que tu as entendu parler de cocu en regardant du porno? C’est très populaire ces jours-ci!” Jenny a demandé à Ed. “Oui! Je l’ai déjà vu!” Dit Ed. “Et bien c’est ce que nous sommes! Un couple cocu! J’aime les hommes sexuellement supérieurs qui veulent me baiser et ton père aime être renié et dominé par eux!” dit Jenny. “Les gars m’ont fait enfermer dans une cage de chasteté, alors ce sont les seuls qui plaisent à ta mère et je m’éclate vraiment! A partir de maintenant, ta mère portera des vêtements plus révélateurs à leur demande!” David a dit à Ed. “J’ai beaucoup regardé ce porno cocu mais je n’avais pas réalisé que les gens l’avaient vraiment fait!” dit Ed. “C’est plutôt populaire parmi les couples blancs!” dit Jenny. “Bien! Si vous êtes d’accord avec ça, alors je suppose que je devrais l’être aussi! J’ai hâte de rencontrer mon plus jeune frère!” dit Ed en souriant. “Bien! Nous sommes heureux que cela vous va! Maintenant, nous devons sortir! Je vais avoir trois tatouages ??de reine des piques sur ma cheville! Je pensais que vous devriez le savoir car vous verrez probablement cela aussi!” dit Jenny en se levant. Elle portait une robe de soleil blanche avec des talons assortis. David savait qu’elle ne portait pas de sous-vêtements comme l’avaient demandé les chevaliers. Ed Jenny, la mère d’Ed est partie avec son père. Ed essayait de réfléchir à ce que ses parents lui avaient dit. Son père était un cocu et regardait la mère d’Ed avec plusieurs hommes noirs à la fois. Ed alla chercher un verre d’eau dans la cuisine. Il restait un biscuit dans le paquet, alors il attrapa le dernier et alla mettre le paquet vide à la poubelle. En déposant le paquet dans la corbeille, il remarqua une pile de sous-vêtements féminins au fond. Il tendit la main et en attrapa un. C’était une paire de culottes lacées noires. Évidemment, c’était à sa mère, mais pourquoi était-il à la poubelle. Il en sortit une autre paire et les regarda pendant un moment. Il a eu une idée folle. Il monta dans la chambre de ses parents où se trouvait le grand miroir. Il enleva ses vêtements et enfila la culotte. Ils étaient un ajustement parfait; il les vérifia dans le miroir puis essaya l’autre. Il s’ennuyait à regarder ceux-ci et pensait qu’elle devait les avoir jetés parce qu’ils en avaient de nouveaux. “Je me demande à quoi ils ressemblent?” il s’est demandé. Il alla dans les tiroirs et ouvrit le tiroir du bas. Il était vide alors il a essayé le suivant, il était vide aussi que le suivant. Il ouvrit le tiroir du haut et il était plein de petites lanières blanches, toutes portant une écriture noire audacieuse. Le premier qu’il a ramassé a déclaré “Grand coq noir seulement”, canlı bahis şirketleri le suivant a été lu “pas pour les garçons blancs” “BBC slut” “Mon mari va tout nettoyer” “Putain de trou pour les nègres” “Breed me black”, tous en avaient genre d’écriture qui a encouragé les coqs noirs à la baiser. Ed s’est rendu compte que sa mère était vraiment une salope de coq noir. Il s’interrogea sur les deux plus petits tiroirs ci-dessus et les ouvrit aussi. Le premier avait une boîte vide avec une image d’une cage de chasteté et disait cb6000, petit. “Ce doit être ce que porte papa” se dit-il en se demandant comment il se sentait de le porter. Sa curiosité l’avait amené à fouiller le reste de la pièce. Il vérifia la table de nuit et trouva plusieurs gros godes noirs et un vibrateur. De l’autre côté, il vérifia l’autre table. Il avait un collier, une laisse et deux micro-cartes mémoire. Ed ne savait même pas ce qu’il pouvait leur donner pour découvrir leur contenu, il les a donc laissés en sachant qu’il y aurait des choses intéressantes sur eux. Ed prit dans sa chambre la culotte trouvée dans la corbeille et commença à rechercher des sites de cuckolding, de reine de pique, de chasteté et de sites de reproduction noirs. Bientôt, il trouva tout ce qu’il cherchait dans Google. Et se branlant sa propre petite queue à ce qu’il a trouvé. Il n’était pas sûr de ce qui l’allumait davantage. Était-ce que sa mère avait probablement fait beaucoup de ce genre de choses ou était-ce qu’il s’imaginait lui-même comme ces cocu. L’idée de regarder des femmes se faire baiser et par des hommes noirs pendus le réveillait tellement que ça faisait mal. Il pensa à la manière dont il pourrait être dominé par les hommes noirs qui baisent de belles femmes blanches. Il crache sa charge sur son ventre. Habituellement, il ne pouvait produire que quelques filets mais il était tellement excité qu’il en produisait un peu plus, mais rien comparé à ce que les hommes noirs pouvaient produire dans ces films. Il commença à se comparer aux hommes noirs et réalisa qu’il leur était inférieur à bien des égards. Il comprenait mieux pourquoi ses parents avaient adopté ce style de vie et décidait qu’il pourrait l’accepter s’il leur en disait plus. David David et Jenny sont entrés dans le salon de tatouage. À part un tatoueur au bureau, ils étaient les seuls à lire un magazine sur le vélo. Il leva les yeux et dit “Bonjour! Comment puis-je vous aider?” C’était un mince mâle noir et couvert de tatouages. “Salut! Nous sommes les amis de Marcus! Est-ce qu’il t’a dit que nous allions venir?” David a demandé. “Ah oui! Tu dois être David et Jenny! Je suis Joe! Viens par là s’il-te-plaît!” dit-il et David et Jenny le suivirent dans une pièce avec une chaise et un banc. La salle était pleine d’images de tatouages ??qu’il avait dessinés. “Si vous pouviez vous asseoir et enlever la chaussure sur le pied que vous voulez, je vais juste mettre quelques choses en place!” il a dit. Il revint cinq minutes plus tard et commença à dessiner le tatouage de la reine des piques sur son pied. “Alors! Est-ce que tu fais beaucoup de ces tatouages?” demanda Jenny. “Oh ouais! Ne sois pas gêné! Tu n’es pas la première salope à entrer ici à la recherche d’un moyen d’attirer les hommes noirs!” il a dit. “Attirer les gars noirs?” Jenny a demandé. “Ouais! Beaucoup de femmes blanches se font baiser une fois par un coq noir et commencent à chercher de nouvelles façons d’en obtenir plus! Dès qu’un frère verra ce tatouage, il sera partout sur vous!” il a dit. La petite cage rose de David tressaillit et le cadenas tappait dessus. Joe le regarda et dit: “Ne devrais-tu pas être à genoux?” Et juste comme ça, David s’est mis à genoux à côté de Jenny, les mains derrière le dos. Cela n’a pas pris longtemps avant qu’il ait fini son tatouage. “Maintenant lève ta robe! Allons avoir une pelle sur cette chatte!” il a dit. Jenny alla sur le banc et s’allongea avec sa robe portée sur ses seins. Joe a commencé par travailler sur sa chatte rasée en dessinant d’abord le contour de la bêche, puis en la coloriant en noir jais, à l’instar de celle sur sa cheville. Après avoir fini de le colorier, il a commencé à écrire quelque chose en dessous. “Coq Noir Seulement!” Ça disait. Après l’avoir écrit, Jenny se leva et montra David. “Oh! C’est tellement chaud!” dit David. Jenny était maintenant penchée sur le banc pendant que Joe commençait celui sur son cul. C’était plus grand que les deux autres; il couvrait presque la moitié de son cul. Une fois qu’il a été coloré, il a commencé à écrire trois slogans sous le nom de “Black appartient! Noir de race! Noir seulement!” il a lu. Le coq en cage de David tremblait frénétiquement sous son pantalon. Jenny s’est redressée et a dit “Je ne me suis jamais sentie plus d’appartenance que maintenant!” Joe s’est déplacé vers elle et s’est tenu à côté d’elle. “Bien! Maintenant descends et suce ma grosse bite noire en guise de paiement!” lui dit-il en souriant. Elle s’obligea comme une bonne pute et se laissa tomber à genoux et commença à s’éclipser. Sa queue était plus mince que celle des chevaliers mais était aussi longue. Joe jeta un coup d’œil à David et le gronda: “Déroulez ce pantalon, Wimp!” il a dit. David a fait ce qu’on lui avait dit. Il les tira à genoux alors qu’il était à genoux. David portait l’un des slips qu’ils venaient d’acheter pour remplacer tous les slips de sa femme. canlı kaçak iddaa Il a dit “Noir possédée” sur elle. Sa cage était en train de piquer sur le côté, tremblant comme une folle alors que sa femme avalait la grosse bite noire de Joe si profondément qu’elle pouvait se lécher les couilles pendant qu’il la tenait là. “Zut! Cette chienne était faite pour les nègres!” dit Joe. Joe grogna et pénétra dans Jenny et vida son sperme dans sa bouche. “Avale le!” il a dit. “Je ne peux pas! Marcus a dit que je ne devais pas avaler de sperme parce que le bébé en moi est un bébé noir! Mais il le peut!” dit-elle en montrant David. Elle rampa à quatre pattes pour le rejoindre et David ouvrit grand la bouche. Elle se leva et cracha chaque goutte de graine noire dans sa bouche et dit “Avaler comme un bon cocu!” et il l’a fait. Ed Ed attendait le retour de ses parents. Bientôt, ils franchirent la porte, sa mère vêtue d’une robe d’été blanche à talons assortis et Ed remarqua le tatouage noir sur sa cheville. “Salut maman!” lui dit-il. “Coucou mon coeur!” elle répondit. “Pouvons-nous parler? Nous tous!” demanda Ed. “Bien sûr! Qu’en est-il?” demanda sa maman. “Bien! J’ai fait des recherches sur le coucou et j’ai décidé que ça me convenait aussi! Tout ce qui te rend heureuse, maman!” il a dit à son visage souriant. “C’est génial mon coeur!” dit-elle en retour. “J’aimerais juste te demander quelque chose!” dit Ed. “Continue!” dit sa mère avec curiosité. “La prochaine fois que tu veux que les gars noirs viennent, tu peux me dire si tu veux et je partirai jusqu’à ce qu’ils soient partis! De cette façon, je ne te gênerai pas!” dit Ed. “Oh! Merci Ed! C’est très gentil de ta part!” elle a dit, un peu repris. “Alors! Puis-je voir tes tatouages?” demanda Ed. “Sûr!” sa mère a dit. Elle désigna sa cheville et Ed s’agenouilla pour regarder. C’était un petit tatouage de reine de pique de la taille de son pouce. À l’intérieur du tatouage, il y avait un peu de peau intacte qui ressemblait à un Q. “Cool! Où sont les deux autres?” Ed a demandé. “Euh! Et bien! L’un des autres est sur ma joue!” dit-elle nerveusement. “Alors je peux le voir?” demanda Ed. “OK, bien sûr!” sa mère a dit. Elle souleva sa robe dans le dos et découvrit son cul. Ed se pencha un peu pour le voir et le voilà, preuve que sa mère était une salope pour coq noir. “Oh wow! Black appartient! Black Bred! Noir seulement! C’est chaud!” dit Ed. “Où est la troisième?” il a continué. “C’est juste au-dessus de ma chatte!” dit-elle en riant parce qu’elle réalisa que son fils était vraiment excité et finirait probablement par se faire cocu un jour. “Je ne sais pas Ed! Je devrais te montrer ma chatte!” dit-elle en le taquinant un peu plus. “Oh s’il te plaît maman! J’ai passé presque toute la journée à regarder du porno cocu! Ce n’est rien comparé à ce que j’ai vu aujourd’hui!” Ed a plaidé. “On dirait que vous devez changer vos draps!” elle a ri “Ok! Mais je veux que tu fasses des corvées en retour immédiatement après que tu l’aies vue!” demanda sa mère. “Ok! Oui je vais le faire!” il a plaidé une fois de plus. “Ok alors! Agenouille-toi!” elle a dit, demandé ou demandé, ni était vraiment sûr. Jenny a soulevé sa robe et a révélé le tatouage. Ed regardait la chatte de sa mère avec convoitise et haletait. Ed pouvait voir une chatte parfaitement rasée à deux pieds de ses yeux. Il pouvait voir ses lèvres brillantes. Il leva les yeux et vit le tatouage. Il a d’abord vu les mots “blackcock only”, puis il a vu l’emblème de la reine des piques. Il couvrait la majorité de sa région pubienne. Ed retint son souffle et entendit sa mère dire “J’espère que l’érection ne sera pas là toute la journée! Ou nous devrons peut-être aussi t’enfermer dans la chasteté!” elle a dit à moitié plaisante. Il était fasciné par ce qu’il pouvait voir. Alors aussi vite que cela se produisit, sa mère laissa tomber la robe et dit “Ok! C’est assez pour toi! Tu as des tâches à faire!” sa mère a interrompu “Oui maman!” répondit Ed. Jenny Son fils, Ed, était parti faire les tâches avec enthousiasme pour la première fois. “Je pense qu’il sera un cocu comme toi un jour!” Jenny a dit à son mari. “Il essaie de terminer ses tâches le plus tôt possible afin de pouvoir se branler en haut!” dit David. “Je pense que je peux retarder ça un peu plus longtemps” dit-elle en riant. Elle aimait les taquineries, peu importe de qui il s’agissait. Si elle sentait le sang, elle taquinerait. Elle était douée pour ça, mais quand il s’agissait de Marcus et de ses chevaliers noirs, elle était affaiblie aux genoux, surtout quand ils dominaient son mari. Ed entra dans la cuisine une heure plus tard “J’ai fait les corvées!” dit-il sur le point de monter. “Pas si vite! Avez-vous tondu l’herbe?” Demanda Jenny d’une voix taquine. “Non!” il a répondu. “Bien, vas-y alors! Je n’aurais pas dû demander deux fois!” dit-elle. Il se précipita pour aller chercher la tondeuse à gazon et commença à tondre le gazon aussi vite que possible. Il est revenu et a dit “Fait ça!” et encore il a essayé de s’échapper en haut. “Ah ah ahh! Où penses-tu aller! Tu n’as pas très bien réussi à tondre le gazon! Fais-le encore!” Il se tenait là, confus. “Pourquoi êtes-vous si pressé? Qu’est-ce qui vous presse?” dit-elle en le taquinant davantage. “Sans raison!” il a dit. Et de il est allé faire l’herbe encore. Il revint et était sur le point de monter lorsque Jenny dit “Maintenant! canlı kaçak bahis Pourquoi ne laves-tu pas la voiture!” dit-elle. Sans aucun doute, il alla laver la voiture. Pour le reste de la soirée, Ed s’occuperait des tâches ménagères et Jenny lui donnerait autre chose à faire, en s’assurant qu’il ne monte pas et ne se branle pas. Elle pouvait dire qu’il était toujours prêt à décharger son sperme. Chaque fois qu’elle lui demandait pourquoi il était pressé, il haussa les épaules et se vit confier une autre tâche. Finalement, il essaya à nouveau de se précipiter avant que Jenny ne l’att****, mais il était trop tard. “Où allez-vous vite?” elle a demandé pour la énième fois ce soir-là. “Euh! Nulle part!” il a répondu. Elle avait une idée un peu cruelle, mais ça allait être amusant. “Pourquoi ne me dis-tu pas pourquoi tu continues à te dépêcher et je te laisserai partir! Si je te crois bien! Sinon, tu devras continuer à faire des tâches ménagères!” dit-elle avec une boucle dans son sourire. “Euh! Je! N’étais pas!” il ne pouvait pas faire passer les mots mais Jenny continuait à faire pression. “Allez! Crache-le!” elle a demandé. Ed tremblait un peu maintenant mais nerveusement il parla “J’allais aller ranger ma chambre!” il a dit. Jenny savait qu’il mentait. “Vous mentez! Vous ne devriez pas mentir à maman!” elle taquina “Allez, dis la vérité!” elle a pressé. “Très bien alors! J’allais me branler! J’ai essayé toute la nuit depuis que tu m’as montré ces tatouages!” il a finalement avoué.”C’est mieux n’est-ce pas?” dit-elle. “Tu n’es pas en colère contre moi?” Il a demandé. “Non! Bien sûr que non! Est-ce que ça vous a fait regarder tout ce porno cocu? Est-ce que ça vous allume de savoir que maman est une salope pour grosse bite noire? Sachant que votre maman a été élevée par quatre gros hommes noirs et je n’en ai aucune idée qui est le père mais je m’en fous! Tant que c’est un bébé noir qui gonfle dans mon ventre! ” dit-elle en passant sa main sur sa bosse de bébé. Ed a grandi dur devant elle; elle l’avait juste là où elle le voulait. Il était facile parce qu’il était soumis, tout comme son père. “Vous pouvez aller branler votre petit coq blanc à une condition!” lui dit-elle. “Qu’est-ce que c’est?” dit-il en réalisant qu’il était dur, faisant de son mieux pour se couvrir. “Vous allez branler votre sperme dans les toilettes! Où le sperme de garçon blanc appartient!” dit-elle en montrant la porte des toilettes. David bougeait sur son siège et Jenny pouvait entendre sa cage se contracter alors que le cadenas se heurtait avec sa cage.”Euh! Ok maman!” et il alla dans les toilettes sur le point de fermer la porte quand Jenny la tint ouverte. Jenny était là, observant son fils. “Je vais rester ici et m’assurer que chaque goutte tombe dans les toilettes!” lui dit-elle. Ed ne dit rien et se tourna simplement vers les toilettes et mit son pantalon à la cheville et commença à se dégager. Jenny a soulevé la robe pour qu’il puisse voir son nouveau tatouage et dans le menuet, il a éjaculé son sperme directement dans l’eau. “Maintenant! Flush!” Jenny a commandé. David Deux semaines plus tard, David et Jenny se préparaient à partir en vacances en Espagne. Ils avaient tous leurs sacs dans le hall en attendant Marcus et les chevaliers noirs pour arriver dans la limousine que David avait organisée. Jenny taquine leur fils Ed depuis deux semaines et elle n’a pas encore fini. La limousine est arrivée et David a pris les sacs à la limousine. Il revint dans le couloir et Jenny avait présenté les chevaliers à Ed. “Oh et une dernière chose! Je sais que tu t’es branlé avec frénésie! Alors je t’ai ça!” dit-elle en tenant une boîte couverte de papier d’emballage. “Vous n’êtes pas autorisé à l’ouvrir jusqu’à ce que nous soyons partis!” dit-elle. Ed avait appris à faire ce qu’on lui avait dit récemment, il était probablement intimidé par Marcus et trois autres Noirs qu’il connaissait tous ont baisé sa mère. Bientôt, ils sont partis pour leurs vacances très attendues. Sur le chemin de l’aéroport, Jenny a fait faire une pipe aux chevaliers et a demandé à son mari cocu d’avaler leur sperme. Jenny portait une robe moulante et étroite, plus près de son entrejambe que de ses genoux. David pouvait voir son tatouage sur sa chatte quand elle s’assit car il lui était interdit de porter une culotte pendant tout le voyage. Ils ont vérifié et assis dans la salle d’attente. Jenny recevait beaucoup de regards des gens. Certaines regardaient le tatouage sur sa cheville et les hommes plus âgés essayaient de relever sa robe. Elle aimait beaucoup plus l’attention des hommes ces temps-ci, surtout quand elle savait qu’ils ne pourraient pas l’avoir. Après un voyage en avion de trois heures, ils sont arrivés en Espagne, David est allé chercher le minibus de location et a récupéré tout le monde sur le parking. Tout le monde monta dans la camionnette en laissant David mettre tous les sacs dans la camionnette. C’était à vingt minutes de voiture de la villa. C’était une villa très isolée avec une piscine, un jacuzzi, un terrain de basket, un court de tennis et il y avait des chaises longues tout autour de la piscine. Marcus a trouvé une armoire dans laquelle il a mis une couverture et a dit que c’était dans le cas où David dormirait pendant la durée des vacances. On a ordonné à David de se déshabiller pour ne porter que sa cage. Il a ensuite déballé les affaires de sa femme, qui consistaient principalement en quelques lanières de bikini, des robes slutty et de la lingerie. David n’avait apporté que quelques shorts, des slips de bain serrés et bien sûr des talons; des chaussettes hautes et une tenue de femme de ménage achetée par Jenny.

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Un bel après-midi

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Un bel après-midiJ’avais pris rendez-vous dans ce salon parce que j’étais décidée à m’épiler complètement. Je me rasais avec le rasoir de mon mari mais tout ce que ça lui faisait c’était qu’il se moquait de moi. Au téléphone, ils m’avaient rassuré et je suis sorti du boulot en prévenant mon patron que je rentrerai deux heures plus tard. Il était assez cool avec moi et je voyais non sans amusement qu’il était amoureux de ma jeune collègue.- Simone a fait la patronne du salon quand je suis arrivé ! Vous allez vous occuper de madame !La Simone m’a semblée avoir dans les quarante ? Des mains soignées avec des doigts très longs et surtout des seins énormes qu’ils ne semblaient pas naturels. Je l’ai suivie dans la cabine.- C’est pour épilation, m’a dit la Simone en regardant sa fiche ? Vous savez, si c’est bien planté et bien fourni, ça vaut le coups de les laisser, a-t-elle ajouté !- Non, lui ai-je répondu ! C’est envahissant et ça cache tout !- Oh, il y a des hommes qui aiment bien l’attrait de la découverte, m’a t-elle répondu !Elle m’a demandé si ça me gène de me déshabiller complètement et de m’allonger sur la table et je lui ai obéi. Après ça, elle s’est penchée sur mon ventre et elle a passé ses doigts dans ma toison puis elle m’a dit que je dois aimer me masturber.- Oui !- J’aime ça aussi et j’ai bien me prendre une bite, m’a répondu Simone ! J’aime bien aussi la langue d’une femme ! Je peux güvenilir bahis ?Elle a enfoncé l’index et le majeur dans mon vagin et elle m’a branlé le clitoris avec le pouce. Pour dire quelque chose, je lui ai demandé si c’est compris dans la note.- Ah, chérie ! Tu veux que je me déshabille ?Comme je tardais à lui répondre, elle a verrouillé la porte de la cabine avant de se déshabiller.- Tu ne m’a pas l’air si farouche, a-t-elle continué et je suis sûre que tu aimeras ça !Elle a refourré ses doigts dans mon vagin et elle a recommencé à me masturber avec son pouce puis elle a passé les doigts de son autre main sur mes cheveux.- Ah, chérie !Simone m’a embrassée sur la bouche. Elle y a même enfoncé sa langue tout en continuant à me masturber. Ses lèvres restaient à quelques millimètres des miennes.- Maintenant, tu jouis, m’a-t-elle murmuré.J’ai jouis tout de suite. Un orgasme si violent que mes fesses se sont décollées de la table puis je suis retombé.- Oh, chérie, m’a fait Simone ! Maintenant, il faut que je répare les dégats !Elle s’est mise entre mes jambes et elle m’a léché la chatte. Sa langue m’a pénétrée le vagin et elle s’est aussi entortillée autour de mon clitoris, m’a titillé mon petit trou puis elle s’est attardée sur mon anus.Je pensais à ce qu’avait été ma vie jusque-là. J’étais mariée depuis un an et mon mari n’arrivait pas à se décider à me faire un enfant. Je pensais aussi türkçe bahis à la fille que j’avais embrassée sur la bouche. Elle était là, seule avec moi et ça m’avait pris comme une envie. Je m’étais précipitée sur elle. Elle s’était un peu opposée avant de se laisser faire et je lui avais aussi tripoté les seins.Je ne saurai sans doute jamais pourquoi mais j’ai toujours été attiré par les seins. Des tout petits aux tout gros. C’était une vraie folie quand j’étais sur une plage. J’avais bataillé dur quand ma mère avait décidé que je devais mettre le haut de mes maillots de bains et je m’étais souvent rebellée en citant les autres filles en exemple et sans doute à cause de ça, j’avais commencé à me masturber.Il y avait aussi les hommes qui se changeaient sans se cacher derrière une serviette ou qui la laissaient tomber intentionnellemment pour se montrer et j’en avais vu plus d’une bien raidie mais ça me faisait moins d’effet que la toison d’une fille ou d’une femme.- Oh, mon dieu, me suis écriée, on va faire ça pendant longtemps ?Je venais d’avoir un autre orgasme. Simone m’a dit que suis encore là pour une heure puis elle a ajouté que dans une demi-heure son patron va partir de la boutique et elle m’a proposé de rester. J’ai protesté que je travaille mais elle m’a tendu mon portable et j’ai appelé pour demandé si je peux prendre le reste de mon après-midi.- Elle n’avait pas prévu que ce güvenilir bahis siteleri serait aussi long, a dit la voix de mon assistante ! Elle voudrait bien prendre son après-midi entier !J’ai entendu la voix de mon patron dire qu’il est d’accord et j’ai pensé qu’il allait en profiter pour se jeter sur elle.- C’est bon, ai-je dit à Simone ! Autant que tu veux !Elle m’a demandé si je me suis déjà servi de mon anus. Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire mais elle a sorti un plug anal d’un sac. Il était énorme. Elle a mis de la pommade dessus puis elle l’a présenté à mon anus et avant de commencer à l’enfoncer, elle m’a dit que ça va me faire mal au début et elle a ajouté qu’après j’apprécierai et c’est ce qui s’est passé.A croire que Simone s’amusait à faire durer le plaisir. Elle y mettait du temps et elle n’écoutait pas me cris. J’ai eu l’impression que mes fesses allaient d’écarter définitivement mais au bout d’un moment, le plug bien au fond de mon anus, j’ai juste ressenti le plaisir de l’avoir dedans.J’étais très timide à cette époque et seule l’excitation m’a fait parler. Je n’arrêtais pas de guetter les seins de Simone et je lui ai demandé si je peux les toucher.- Mais oui !J’ai posé la main sur son sein gauche mais elle m’en a mis le mamelon dans la bouche et je l’ai tété. J’oubliais tout. Que c’était bon. J’ai eu un nouvel orgasme puis ils se sont succédés. Quand je suis ressortie du salon, je n’avais plus de jambes et mes deux trous étaient en feu. Je suis rentré chez moi et ce soir-là, mon mari m’a dit qu’il a envie de moi et je l’ai pris dans mon trou puis je lui ai demandé de m’enculer et c’est ce qu’il a fait.

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Les mains baladeuses 1 – PRÉPARATION D’UNE OIE BLA

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Les mains baladeuses 1 – PRÉPARATION D’UNE OIE BLACHAPITRE PREMIERLUNDI. PREMIER RENDEZ-VOUS.Le printemps arrive, la chasse aux oies blanches est ouverte. Ce lundi, pendant que ma chère femme était au zoo avec les gamines (Virginia White, leur institutrice, avait ses règles), j’ai reçu dans mon cabinet Mlle Prudence Farming. Prudence Farming m’est recommandée par un collègue de F., petite bourgade proche de notre ville. Il prétend, dans sa lettre, qu’elle est « incroyablement naïve » et qu’on peut lui faire « avaler n’importe quoi ». Ce sont les termes qu’il emploie, je ne fais que le citer.« Une authentique oie blanche !ajoute-t-il dans son post-scriptum. Je ne peux m’en occuper moi-même comme elle le mérite, car je suis très lié avec ses parents, c’est pourquoi je vous l’envoie. Il s’agit de la déniaiser comme vous savez si bien le faire, afin qu’elle ne soit pas trop désarmée quand il s’agira de la marier. Dans sa famille, les filles se marient très tôt, ne vous laissez donc pas impressionner par son extrême jeunesse. »Prudence Farming arrive à l’heure dite. La bonne étant de sortie, je l’introduis moi-même dans mon bureau. C’est une jolie rustaude qui sort à peine de l’enfance. Une beauté de village un peu grossière, mais alléchante. Mal maquillée. Bouche épaisse, mais bien dessinée. Elle rougit à tout propos et baisse les yeux chaque fois que je la regarde ; c’est bon signe. Elle a l’air si stupide que j’ai un début d’érection.Elle s’assoit sur le siège que je lui désigne, en face de moi, et tire sa robe à fleurs sur ses genoux. Les mollets sont un brin trop forts, c’est une fille de la campagne, mais la jambe est bien faite. Son bas gauche est filé, une échelle grimpe sous sa robe. Elle regarde autour d’elle, très impressionnée par la quantité de livres qui garnissent mes étagères.J’attaque ferme.— Mon collègue de F. me dit que vous voudriez vous marier… de préférence avec un garçon de notre ville.— C’est exact, monsieur le pasteur. Il m’a suggéré de m’adresser à vous. Il m’a dit que vous étiez un conseiller matrimonial, un expert du mariage.Elle se trémousse un peu, mal à l’aise, et me lâche naïvement la véritable raison de sa visite.— Il m’a dit aussi que vous connaissiez beaucoup de jeunes gens d’un bon milieu et que, si vous étiez content de moi, vous m’en feriez connaître quelques-uns, au cours d’une fête de charité.(Brave collègue de F. ! Il faudra que je pense à lui revaloir ça. Dès demain je vais me mettre en quête d’une bonne fille bien délurée pour la lui envoyer quelques jours, histoire qu’elle se refasse une santé à la campagne. Je lui demanderai de la loger. Le reste le regarde.)— Mon collègue n’a pas exagéré. Il est vrai que j’ai fait plus de cent mariages. Si je comprends bien, Prudence, vous ne voulez pas épouser un garçon de la campagne ?— Non, monsieur. Je voudrais vivre à la ville. Et pour cela…— Pour cela, il vaut mieux épouser quelqu’un de la ville ! Cela va sans dire… Eh bien, je ne vois aucune raison de ne pas vous donner satisfaction. Je vais faire en sorte de vous trouver un bon mari… Un employé de banque, par exemple. J’ai en vue un garçon très sérieux qui rêve d’épouser une fille saine qui viendrait de la campagne.— Oh, cela ferait tout à fait mon affaire ! Est-il bien de sa personne ?— C’est un assez joli garçon. Mais avant de vous le présenter, il faut que je vous fasse subir quelques tests. Etes-vous disposée à les subir ?— Je ferai tout ce qui sera possible pour vous satisfaire, monsieur.— Ne vous avancez pas si vite. Je vais vous demander des choses qui vont peut-être offenser votre pudeur. Vous comprenez que, quand il s’agit de mariage, on n’est jamais assez prudent !— Je comprends.— Je vais donc opérer quelques constatations préalables. Restez assise, c’est moi qui vais venir à vous.Je fais le tour du bureau, je prends une chaise, et je vais m’asseoir tout près d’elle. Nos genoux se touchent. Je lui prends les mains et je les lui pose sur les accoudoirs de son fauteuil.— Vous garderez vos mains ici, quoi qu’il arrive. C’est bien compris ?Elle fait oui de la tête, visiblement inquiète de ces préliminaires. — Est-ce que des garçons vous ont déjà touché les seins, Prudence ?Un flot de sang monte à ses joues et elle baisse le front pour fuir mon regard. Ses mains se sont crispées sur les accoudoirs du fauteuil. N’osant pas parler, elle fait signe que oui, de la tête.— Les leur avez-vous montrés ?Elle hésite longuement, puis, à nouveau, opine du bonnet. Ses oreilles sont écarlates.— Expliquez-moi comment cela s’est passé. En quelques mots.— A la fête du village… une fois… après le bal… j’avais un peu bu, j’avais chaud… mon cavalier m’a proposé d’aller prendre le frais dehors… et c’est là… dans une grange…— Seulement les seins ?— Oh oui, monsieur, je vous le jure. Et quelques baisers. Quand il a voulu aller plus loin, je ne me suis pas laissé faire !— Eh bien, c’est parfait, ma chère Prudence. Voyez-vous, il faut que j’assure que vous avez une bonne poitrine, car le fiancé que je vous destine veut avoir des enfants et que sa femme soit en mesure de les allaiter. Si vous les avez déjà montrés à un garçon, ce ne sera donc pas une trop grande épreuve pour votre pudeur que de me laisser les examiner à mon tour.Je m’attendais à des protestations effarouchées. Il n’en est rien. Mon collègue de F. aurait-il raison ? Peut-on vraiment lui faire « avaler n’importe quoi ? » Voilà que mon érection me reprend. Quant à elle, elle attend bien sagement, les mains sur les accoudoirs, les paupières baissées.— Ce garçon que je vous destine, lui dis-je, est une véritable perle. Il est déjà le propriétaire d’une très jolie maison et il vient d’acheter une voiture neuve. Il n’attend plus qu’une jeune fille comme vous pour fonder une famille…Tout en l’endormant ainsi de promesses, je déboutonne le premier bouton de son corsage. Elle tressaille à peine. Je continue. Quand sa robe est ouverte jusqu’à la ceinture, je lui dis :— Vous n’avez qu’à imaginer que vous êtes chez le docteur.Elle acquiesce d’un geste imperceptible. Je glisse mes mains sous sa robe et je la fais se pencher vers moi pour dégrafer son soutien-gorge dans son dos. Nos joues se frôlent. La sienne est brûlante. Le soutien-gorge dégrafé, elle se redresse. Je ne lui laisse pas le temps de se reprendre, j’ouvre sa robe et j’abaisse les bonnets. Ses seins jaillissent comme deux colombes avec leurs becs roses tendus. Ils sont superbes, gonflés de sève, en forme de poire, avec des pointes minuscules déjà toutes durcies par l’émotion.— Et hop, dis-je, les voilà dehors, ces mignons. Vous avez vraiment une très jolie poitrine, Prudence, votre mari aura bien du bonheur à la caresser.Elle bat des paupières. Je me penche pour bien les admirer. Comme elle se tient toute droite, le dos vertical, ses seins sont braqués devant elle avec une sorte d’effronterie qui ne laisse pas d’agir sur mes sens. Je trouve toujours très excitant de regarder les seins nus d’une femme encore habillée, de les voir surgir ainsi dans le désordre des vêtements, s’offrant à la vue et au toucher comme des fruits de chair qu’il n’y a plus qu’à cueillir. Cette Prudence a une nature très sensuelle car il suffit que je les regarde pour que leurs mamelons s’épanouissent à vue d’œil.— Nous allons passer à l’exercice suivant, lui dis-je. Vous me les avez montrés, maintenant je vais vous les toucher. Comme ce garçon, dans la grange… Et comme votre mari, au soir de vos noces.— Mais…— Pas de mais, Prudence ! (J’ai pris ma grosse voix.) Si vous voulez épouser ce garçon, il faut faire ce que je dis ! Je dois vérifier que vos seins sont d’une capacité suffisante pour nourrir vos bébés. Pour cela, je dois les palper !Je les prends donc en mains sans qu’elle réagisse autrement que par un frisson. Quelles merveilles… suaves, tièdes, élastiques ! Je les pétris doucement, puis je les caresse sur toute leur longueur en resserrant mes doigts. Quand j’arrive aux pointes, je les saisis entre mes doigts et les pince délicatement. Prudence se laisse faire, toute frémissante, c’est à peine si elle ose respirer. Je sens ses genoux tressaillir nerveusement contre les miens chaque fois que je lui taquine les tétins.Je m’amuse ainsi un bon moment, dans le plus grand silence. La coquine prend goût à la chose, cela se sent à l’alanguissement de son corps, à la façon dont elle se cambre chaque fois que je les reprends après les avoir lâchés un instant. Je la sens mûre ; je décide donc de pousser la chose plus avant.— Les seins d’une femme ne servent pas qu’à nourrir ses enfants. Ils sont aussi là pour le plaisir du mari. Et pour le vôtre. Une femme éprouve toujours de l’excitation à les montrer et à se les faire caresser.En lui disant cela, je lui titille les mamelons.— Vous sentez comme ils deviennent durs, Prudence ? Comme ils grossissent ? Est-ce que vous auriez de vilaines pensées, par hasard ? Venez avec moi… nous allons étudier ça de plus près.Je la conduis devant le miroir de la cheminée. Dès qu’elle s’y voit, dépoitraillée, elle pousse un cri et veut se couvrir. Je l’en empêche en lui tenant les mains. Je prends à nouveau ma grosse voix. Et face au miroir, l’obligeant à regarder ce que je lui fais, tout en lui parlant de son futur mari, je lui empoigne à nouveau les mamelles.— Il vous le fera, lui, autant vous aguerrir tout de suite pour ne pas avoir l’air trop sotte ! A la ville, les hommes aiment bien jouer avec les seins de leurs femmes. C’est la faute de toutes ces publicités pour les dessous…Je les soupèse, les secoue, les manipule, les agite, les pétris. C’est terriblement excitant de voir son visage écarlate et ses seins blancs dans le miroir. Elle respire de plus en plus vite. Je me colle à elle par-derrière. Ses fesses charnues accueillent mon érection.— Oh, monsieur le pasteur…— Votre mari aussi le fera… lui dis-je. Nous sommes à la ville, ici, pas à la campagne. Il faut vivre avec son temps.La tenant par les seins, je la plaque contre moi. Je sens son derrière bouger. Je colle ma bouche à son oreille. Charmante oreille en forme de coquille marine. Je lui susurre :— A la ville comme à la campagne, Prudence, quand un mari fait cela à sa femme, elle doit impérativement mouiller sa culotte. Sinon, c’est qu’elle n’est pas mûre pour le mariage. Est-ce que vous mouillez la vôtre, en ce moment ?Elle ne répond pas. Sa bouche épaisse a pris un pli boudeur. Je tire sur les tétines roses, je les allonge, petites cornes de chair. Elle ferme les yeux, s’alanguit contre moi, me pousse les fesses contre le ventre. C’est trop pour une première fois ! En dépit de tous mes efforts pour le retenir, mon plaisir m’échappe, je lui pétris rageusement les nichons et, la serrant contre moi, j’éjacule dans mon caleçon. (Il faudra que je songe à le rincer tout à l’heure pour que Gertrude ne se rende compte de rien.)Cela s’est fait si soudainement que je n’ai canlı bahis şirketleri pu retenir un cri furieux.— Vous êtes bien une petite femelle comme toutes les autres ! lui dis-je. Allez, mademoiselle, rhabillez-vous, l’exercice est terminé pour aujourd’hui ! Cachez donc votre poitrine, fille impudique. A-t-on idée de rester ainsi les nichons à l’air !Interdite, au bord des larmes, elle se rhabille en toute hâte. Je la reconduis jusqu’à la porte sans un mot. Au moment d’ouvrir, je lui fixe un nouveau rendez-vous pour demain. Et je referme la porte derrière elle sans attendre même qu’elle m’ait répondu.Si elle vient demain, après un tel début, c’est qu’elle est prête à tout pour se marier. En ce moment, j’en suis sûr, rien que l’idée la révolte. Mais la nuit porte conseil…MARDI. SECOND RENDEZ-VOUS.Après un tel préambule, je n’étais pas du tout certain qu’elle reviendrait. J’avais pris toutefois mes dispositions pour être seul à la maison. Pour les premiers rendez-vous, en effet, je trouve plus prudent qu’il n’y ait personne à proximité. On ne sait jamais comment certaines de ces filles peuvent réagir. J’avais donc envoyé ma femme en visite chez Mme Porbus pour y discuter de la fête paroissiale. Et j’avais demandé à Virginia White, la répétitrice, d’emmener mes filles se promener au bord de la rivière.Trois heures sonnent. Personne. Je suis dans le jardin, occupé à tailler mes rosiers. Allons bon, j’ai dû y aller trop fort. C’est qu’elle était si excitante, aussi, cette oie blanche ! N’y pensons plus. J’essaierai d’être moins pressé pour la prochaine. Mais un quart d’heure plus tard, alors que je suis occupé à asperger mes rosiers d’une solution insecticide contre les pucerons, une voiture arrive. Je me retourne. Un taxi. C’est elle ! A travers les grilles, je la vois régler le prix de la course. Sans me presser, je vais lui ouvrir le portail. Elle tressaille en me voyant et me jette un regard bizarre, par-dessous. Je connais bien ces regards-là. Ma verge se gonfle sous mon tablier de jardin. Les sécateurs dans une main, la bombe insecticide dans l’autre, je la précède dans l’allée. Pendant qu’elle s’installe dans mon bureau, je vais me laver les mains.Elle porte aujourd’hui un tailleur très facile à déboutonner. Seulement trois gros boutons à la veste. Et dessous, un pull de mohair qui s’ouvre avec une fermeture Eclair. Les seins bougent librement. Elle n’a donc pas mis de soutien-gorge. Je la dévisage. Elle soutient mon regard, les pommettes roses.— Avez-vous bien réfléchi, Prudence ? Etes-vous d’accord pour poursuivre nos exercices préliminaires ?Elle fait oui de la tête.— Alors, ne perdons pas de temps. Retirez cette veste. Et ce pull.Elle s’y attendait visiblement, car elle n’hésite qu’à peine. Gracieusement, assise, elle se dépouille de ses vêtements. Je ne m’étais pas trompé, les seins sont nus dessous. Son pull ôté, la voici nue jusqu’à la taille.— Cambrez-vous. Soyez coquette. Montrez bien votre jolie poitrine.Elle m’obéit, paupières baissées. Je la laisse dans cette posture un moment. Les bouts de ses seins pointent.— Aujourd’hui, Prudence, ce n’est pas de votre poitrine que je vais m’occuper. Vous gardez vos seins nus, car ils sont agréables à regarder, mais nous allons passer à un tout autre genre d’exercice.J’ai le plaisir de la voir s’empourprer.— Nous allons, lui dis-je avec une froideur voulue, nous occuper de votre anus.Violent sursaut d’incrédulité, regard offusqué, rougeur accrue, rien ne m’est épargné, j’ai droit à toute la panoplie. Mais la demoiselle ne se rhabille pas, indignée, ne se rue pas hors du bureau en me traitant de vieux débauché ! Allons. Mon collègue de F. avait bien vu. Cette oie blanche est prête à tout pour que je lui trouve un mari qui lui permettra de ne pas se salir les mains aux rudes travaux des champs. Oie blanche peut-être, mais oie très raisonnable.Très raisonnable ? Ou perverse ? Je vais en avoir le cœur net. Je l’amène devant le canapé. Nous n’échangeons pas une parole. Sa main tremble violemment dans la mienne ; quand je la serre, elle répond à ma pression. Mais elle évite soigneusement mon regard.Je lui demande de se pencher en posant ses mains sur le canapé. Elle s’exécute, en laissant se balancer ses seins devant elle. Je leur accorde une caresse distraite, histoire de m’assurer que les pointes sont bien éveillées. Prudence soupire nerveusement. Sa jupe étroite s’avère très pratique : comme la jeune personne a déjà un derrière important et une taille plutôt fine, une fois qu’on a retroussé l’étoffe au-dessus des hanches, elle reste ainsi, boudinée autour du ventre.Prudence porte une sage culotte rose que je lui abaisse sans qu’elle réagisse. Belles et lourdes fesses blanches, semées de taches de rousseur. Elle aura le cul épais, plus tard, et de la cellulite, mais pour le moment, elle est exquise. Je lui soulève une jambe, puis l’autre, pour la débarrasser du sous-vêtement. Ce faisant, agenouillé derrière elle, je lorgne à loisir par-dessous son sexe qui s’entrebâille chaque fois dans une prairie de petits poils roux qui ne cachent pas grand-chose. Les lèvres du con sont charnues et mouillées, la muqueuse de la fente d’un rose très sain, je n’ai pas le temps d’en voir davantage, elle crispe peureusement les fesses et serre ses cuisses l’une contre l’autre. En conséquence, je l’oblige à éloigner ses pieds l’un de l’autre d’environ un mètre, ce qui fait qu’elle est maintenant commodément ouverte. Et pour bien lui apprendre ce que j’attends d’elle : une obéissance aveugle, une impudeur totale, je lui empoigne les fesses dans les mains et les écarte. L’anus apparaît, petit œil rose, chauve, obscène. Comme toujours quand une jeune personne me montre son trou du cul pour la première fois, je suis pris d’une excitation bestiale et d’une irrépressible hilarité. Dominant cette dernière, savourant la première, j’oblige la demoiselle à mettre un genou sur le canapé, puis l’autre. La voici donc dans la pose que je préfère : prosternée, les cuisses bien séparées, les reins cambrés, et la boutique grande ouverte.Dans cette posture obscène, elle n’a plus de secrets pour moi. Je me repais du spectacle de son con largement fendu et de son anus qui s’écarquille. Puis, après un long moment destiné à la rendre bien consciente de la pose humiliante que je lui ai fait prendre, et aussi à lui faire redouter et attendre le moment où je vais toucher ce qu’elle me montre si impudiquement, je m’y décide. Elle avait beau s’y attendre, elle tressaille violemment quand je lui ouvre l’anus entre mes deux pouces. Les tissus sont sains et élastiques, cet orifice n’a visiblement jamais servi à autre chose qu’à ce à quoi la nature l’a destiné. Il se crispe quand je pose le bout de l’index au centre de la corolle.— Tout doux, ma belle, ne nous effarouchons pas déjà ! Cela ne fait que commencer ! Sans doute est-ce l’idée que je vous le regarde et vous le touche en même temps qui vous rend honteuse ! Il faudra vous y faire… votre époux est un homme moderne, Prudence, pas un péquenaud… Il voudra s’amuser avec cet objet-là aussi… C’est de plus en plus à la mode ! Il ne faudrait pas que vous ayez l’air trop sotte, la première fois.Si oie blanche soit-elle, je ne suis pas sûr qu’elle est dupe de mes paroles. Mais la face est sauve, elle se relâche donc, et j’y fourre le bout du doigt. C’est serré en diable. Est-elle naïve ou perverse ? Un doute se glisse dans mon cœur. Peut-être ne subit-elle vraiment cette indignité que dans l’espoir que je lui déniche un époux, et non pas parce qu’elle y prend goût. Quel adorable trou du cul, cependant ! Est-ce que je vais pouvoir, comme je l’espère, y mettre autre chose que le doigt ? J’en suis fou ! Moite, élastique, sensible, parfumé. Je le touche longuement, je le hume, je l’ouvre, je le ferme ; elle se tait toujours.Plusieurs minutes s’écoulent pendant lesquelles je joue avec son troufignon sans que nous échangions le moindre mot. Qu’aurionsnous besoin de nous dire ? J’ai réussi, après l’avoir mouillé de salive, à introduire tout mon index dans son cul. Elle s’est relâchée pour me faciliter la tâche. J’entends, pendant que je farfouille, son souffle haché. Couvertes de chair de poule, ses fesses se crispent et se détendent, par spasmes. Aucun doute, ça commence à lui faire de l’effet. A chaque va-et-vient de mon doigt, son cul s’ouvre davantage.— Mouillez-vous, Prudence ?Aucune réponse. Notre oie blanche est pudique en paroles. Mais j’ai tout loisir de vérifier que sa chatte est inondée. Le vagin est béant. Même pucelles, les filles de la campagne sont souvent ouvertes à cet endroit. Je lui mets le pouce dedans sans difficulté. Long soupir tremblotant. N’oublions pas que j’ai déjà un doigt fourré dans son cul. Je retire mon pouce, je lui taquine le clitoris, elle s’écarquille pour mieux l’offrir. Petit bouton rouge, gonflé, sensible. Elle n’ignore visiblement rien de la masturbation. Elle accompagne ma caresse en se dandinant de façon obscène. C’est de cette façon, un doigt dans le cul, lui pinçant le bouton de l’autre main, que je lui donne son plaisir. On peut le voir à l’œil nu : un flot de liquide transparent dégorge du vagin. Prudence ne peut retenir un jappement, qu’elle ravale en se mordant le poignet. Pour mon compte, comprimant mes couilles entre mes cuisses, je lâche tout, une fois de plus, dans mon caleçon. Mais aujourd’hui, cela se fait au moment que j’ai choisi. Je suis donc de la plus charmante humeur quand je retire mes doigts d’elle.Comprenant que l’épreuve est terminée, Prudence Farming se redresse et tente de se rajuster. Son visage est cramoisi, ses joues sont en sueur, elle a l’air horriblement honteuse. C’est un des moments que je préfère. Je lui souris d’un air goguenard et l’empêche de baisser sa jupe. C’est donc le cul nu et le sexe visible que, la mort dans l’âme et la honte aux joues, elle doit reprendre sa place dans le fauteuil. Moi, je m’assieds sur une chaise, en face d’elle. Je lui donne une tasse de café ; j’en ai toujours en réserve dans mon Thermos.Tout en buvant notre café, je l’interroge sur ses études, sur ses distractions à la campagne. Affreusement embarrassée par le fait d’être soumise à mes questions dans une tenue aussi impudique, elle me répond d’une voix timide, sans me regarder. C’est plus fort qu’elle, ses cuisses se referment, comme si elle ne souffrait pas l’idée de me montrer son con. Chaque fois, je lui tapote les mollets, elle ouvre à nouveau les jambes, mais avec une sorte de sanglot rageur.Nous causons ainsi une longue heure et elle finit par se montrer moins pudique. Vers la fin de l’entretien, je parviens même à lui faire poser ses jambes sur les accoudoirs, en repliant les genoux pardessus, pose d’une rare indécence. Elle m’offre donc le spectacle de son con entièrement ouvert et de son anus. Tout en la questionnant et en écoutant ses réponses, je ne me prive pas de canlı kaçak iddaa lui tripoter le clitoris et ses deux orifices. Mais je ne fais que la rapprocher du plaisir, jamais je ne le lui donne, tout amusé de la voir se tortiller et haleter, les joues en feu et le clitoris dardé. Il faut qu’elle sorte d’ici la chair énervée, avec l’envie de se masturber chevillée au corps et qu’elle le fasse, sitôt rentrée, en se souvenant de tout ce qui ce qui s’est passé dans ce bureau.Je pense que je pourrai l’enculer à sa prochaine visite. Après l’avoir masturbée, comme aujourd’hui, je trouverai bien un prétexte pour la punir. Une fois attachée, les yeux bandés, ce sera bien le diable si je n’y arrive pas. D’autant plus qu’elle ne saura pas, après avoir reçu sa fessée, si c’est le doigt ou autre chose que je lui introduirai dans le cul. La morale sera donc sauve ! Je compte sur sa mauvaise foi, elle semble en posséder une dose peu commune.A la fin de notre entrevue, comme je veux avoir un prétexte pour la punir à sa prochaine visite, je lui donne une leçon à apprendre. Il s’agit d’une page du Deutéronome, hérissée de difficultés.— Vous me réciterez cela demain, Prudence. Il faut s’occuper aussi de votre âme !— Tout cela ?Elle est terrifiée d’avance. Je me montre intraitable. Je la reconduis, après qu’elle s’est rhabillée, puis, je lui fais visiter mon jardin, comme s’il ne s’était rien passé entre nous que de très normal.JEUDI. TROISIEME RENDEZ-VOUS.Comme convenu, Prudence Farming s’est présentée chez moi, hier, à l’heure dite. Elle portait la même robe à fleurs que lors de notre première entrevue. Je me suis dit en la voyant remonter l’allée du jardin qu’il faudrait la mettre entièrement nue, en ne lui laissant que ses bas, dont l’un était toujours filé. Je me suis vu la pourchassant dans le bureau, armé d’une badine, et cinglant sa chair blanche, ses fesses rebondies, ses seins charnus et ballotants, et elle, criant, pleurant, suppliant, sautillant, de-ci, de-là, tout affolée…J’imaginais si bien la chose que le plaisir m’a surpris ainsi, de façon stupide, debout, derrière la fenêtre. Une rage sans nom m’a envahi dont j’ai rendu responsable cette sombre idiote. Tout mon enthousiasme s’était éteint. Pendant qu’elle sonnait, je me suis essuyé tant bien que mal, puis je suis allé trouver Virginia White, dans la salle d’études. Elle était occupée à faire chanter mes filles. Plaisant tableau. J’ai demandé à la répétitrice d’éconduire la visiteuse.— Dites-lui que je suis occupé. Qu’elle revienne demain, à la même heure.Par la fenêtre, caché derrière le rideau, j’ai eu le plaisir de voir la déconvenue de Prudence Farming. Ce n’était pas sans arrière-pensée que je lui avais expédié Virginia White. La répétitrice de mes filles est une fort jolie personne. J’ai jugé que Prudence, constatant que d’autres belles créatures m’approchaient, ne se ferait pas une idée trop haute de son importance.La porte close, elle est restée sur le seuil, la tête basse. Puis elle s’est résignée à partir, non sans se retourner à plusieurs reprises pour regarder dans la direction de ma fenêtre. Heureusement, le rideau est épais. J’étais assez frustré, cela va sans dire, mais pas fâché de faire mijoter cette rustique pécore. Elle n’en serait que plus disposée, me suis-je dit, à subir le lendemain tout ce que je serais enclin à lui infliger.J’ai passé l’après-midi à faire du rangement dans mes livres. Le soir venu, Mme Porbus m’a rendu une visite inopinée, à propos des comptes de la société de bienfaisance. Comme il y avait quelques petites erreurs, je l’ai fouettée jusqu’au sang. Je l’avais attachée, nue, sur le canapé, avec deux gros coussins sous le ventre pour bien surélever sa croupe de jument poulinière. J’avais pris la précaution de lui fourrer sa culotte dans la bouche. Je la sentais trembler de peur pendant que je bouclais les courroies sur sa chair nue ; une exaltation sauvage m’emplissait.Je l’ai fouettée à la cravache pendant une demi-heure, sans m’interrompre, sur tout le corps. A la fin, j’étais en sueur et je ne visais plus que son entrecuisse. Quand j’en ai eu fini, sa grosse vulve avait bien triplé de volume. Elle était trempée, bien sûr, et je l’ai longuement récompensée de sa punition. Chose faite, je suis retourné au rangement de ma bibliothèque. Elle s’est rhabillée en ravalant ses sanglots, humiliée que je l’ai traitée comme une prostituée, car d’ordinaire je lui fais toujours un brin de causette, notre affaire faite.Aujourd’hui jeudi, donc, Prudence Farming est de retour. Je vais l’accueillir moi-même. Dans la salle d’études, nous entendons mes filles jouer au piano. Je m’excuse pour hier.— J’avais oublié que j’avais déjà un autre rendez-vous. Une fille à marier comme vous…Elle me jette un regard de reproche où je crois déceler un brin de jalousie.— Ne l’enviez pas, lui dis-je, fort négligemment. J’ai dû la fesser à cul nu parce qu’elle ne savait pas sa leçon ! Si vous l’aviez entendue pleurer ! Une fille de vingt ans !— La fesser ! bégaie Prudence, en ouvrant grand les yeux.Ses joues sont toutes roses.— Eh bien quoi, lui dis-je, comme si c’était tout naturel, n’étaitil pas normal que je la punisse, puisqu’elle ne savait pas sa leçon ? Y voyez-vous quelque chose à redire ?Elle secoue la tête, pour me dire que non, mais n’en reste pas moins abasourdie. Je l’introduis dans mon bureau dont je ferme la porte à clef.— Mes filles sont à la maison, aujourd’hui, comme vous l’entendez. Je préfère qu’elles ne nous dérangent pas… au cas où vous seriez déshabillée…Prudence, tortillant l’anse de son sac dans ses mains, baisse les yeux et ne dit mot. Elle a encore mis son éternelle robe à fleurs, mais ses seins, dessous, bougent librement, ce que je juge de bon augure. Au moment de s’asseoir, je la vois sursauter. J’ai laissé bien en vue, sur le bureau, la culotte de Mme Porbus qu’elle a oubliée la veille, dans son désarroi.— Tiens, fais-je, en la fourrant dans un tiroir, elle a oublié de remettre sa culotte après la fessée. Je la lui rendrai à sa prochaine visite. Eh bien, par quoi commençons-nous, aujourd’hui, Prudence ?— Comme il vous plaira, monsieur.Mais ses joues qui sont maintenant d’un rouge ardent me renseignent sur ses vœux secrets.— Et si vous me récitiez votre leçon ? C’était le Pentateuque, je crois ?— Le… le Deutéronome, monsieur…Et la voici en larmes. C’est aussi soudain qu’une averse et j’en reste saisi. Puis une joie atroce m’enfle le cœur et ma verge se raidit. Elle se mouche, m’adresse un regard suppliant à travers ses larmes.— Ce n’est pas faute d’avoir essayé, monsieur, mais je n’ai aucune mémoire… Je n’y arrive pas !Je prends l’air navré qui convient.— Je me vois donc contraint de vous punir comme vous le méritez. Vous avez eu deux journées entières pour apprendre cette page.— Que… que… qu’allez-vous me faire ?— Mais vous donner une fessée, ma chère, cela vous apprendra à être plus sérieuse dans vos études !Comme elle se lève, interloquée, et regarde autour d’elle d’un air égaré, j’ajoute :— Une fessée à cul nu, eh oui ! Comme une vilaine fille qui travaille mal à l’école ! C’est ainsi, ma chère Prudence, il va falloir y passer… si vous tenez toujours à ce que je vous présente un bon parti.Tout en parlant ainsi, je pousse mon grand fauteuil au centre de la pièce, face au miroir de la cheminée, de façon que la scène qui va se dérouler s’y déroule. Je suis bien décidé à ne pas me priver d’une miette du spectacle. Je m’assieds et, tout en tapotant mes genoux dans un geste d’invite, j’adresse un coup d’œil narquois à Prudence qui, debout devant moi, son sac à la main, se tortille lamentablement.— Eh bien ? Qu’attendez-vous ?Je lui prends son sac et je le pose derrière moi, sur le bureau. Puis je la tire à moi.— Mettez-vous sur mes genoux. Mais non, idiote… pas assise, à plat ventre… C’est de vos fesses que je vais m’occuper.Paralysée de timidité, elle se plie maladroitement à ce que je demande, et, moitié contrainte, moitié de bon gré, la voici en travers de mes cuisses. Ses jambes d’un côté, sa tête de l’autre, les mains touchant le plancher. Je retrousse sa robe à fleurs et je la fais retomber par-dessus sa tête, comme une tente. Ainsi, elle ne pourra rien voir. Une long frémissement la parcourt. Sans perdre de temps, je lui baisse sa culotte sous les genoux. Puis, me disant que j’aurais à lui écarter les cuisses, je la lui retire définitivement.— Etes-vous prête à recevoir votre fessée, Prudence ?— Oui, monsieur… sanglote-t-elle d’une voix étouffée, sous sa robe.— Je vais vous disposer de la façon qui me convient, et ensuite, il faudra rester ainsi. C’est compris ?Nouvelle approbation étouffée. Je lui caresse amoureusement les fesses. Elles sont vraiment divines, à cet âge, chez ces filles bien en chair. Sa peau déjà toute moite. Je la fais pivoter sur moi, de façon à introduire un de mes genoux entre les siens, ce qui l’oblige à se mettre à califourchon sur une de mes cuisses. Dans cette posture, son cul fait face au miroir. La fente rose du con est déjà à demi ouverte. Des deux mains, j’écarte les grosses joues pâles et je peux voir l’anus tout crispé de peur.— Je vais vous fesser progressivement, lui dis-je, pour vous habituer à la douleur.Et je me mets à lui distribuer des tapes très sèches sur les fesses, sur les cuisses ; cela fait tressaillir sa chair élastique qui ne tarde pas à être animée d’un mouvement incessant et à rosir. Excité par ce spectacle alléchant, je frappe plus fort, du plat de la main. Les claques résonnent dans le silence. Je n’ai rien à craindre, la pièce est insonorisée. Prudence se trémousse, les fesses commencent à lui cuire, elle soupire, et tantôt, lâche un cri aigu. Je me prends au jeu, l’excitation me gagne. Je la fesse maintenant à bras raccourcis, son cul est écarlate, et la voici enfin où je voulais, en larmes, suppliante sous sa robe qui étouffe sa voix. Mais elle n’a pas un geste pour se soustraire à la punition et, dans le miroir, je peux voir son con béer de plus en plus, entre les poils roux, les grandes lèvres sont luisantes de mouille…Je surélève le genou qu’elle chevauche, et, tout en me servant du miroir pour bien viser, je lui tapote le sexe. Il est brûlant et baveux, à chaque claque mes doigts recourbés s’y enfoncent ; je m’acharne sur le clitoris. Il est entièrement sorti et tout gonflé. Chaque fois que mes doigts le frappent, Prudence piaule. J’alterne les claques molles et sournoises, très longuement appuyées, qui ne sont qu’un prétexte à la masturber en lui pétrissant la chatte et en fouillant longuement sa fente, et les vraies claques, les méchantes, qui lui aplatissent les lèvres et lui meurtrissent le clitoris. Je la rends folle, de cette façon, en alternant punition et branlette, à un rythme si rapide que bientôt tout se mélange en elle, le plaisir et la souffrance ne formant plus qu’une seule sensation affolante qui canlı kaçak bahis la fait sangloter et crier. Sa croupe est maintenant aussi rouge qu’un soleil couchant, quant au sexe, c’est une large et profonde entaille d’où dégorge une abondante mouille…— Oh monsieur ! Oh monsieur ! Oh monsieur, hoquette Prudence.Elle ne parvient pas à dire autre chose. Ma main la claque, ma main la fouille. Et elle, elle répète sans cesse « oh monsieur… oh monsieur… » La petite garce a bien dû jouir trois ou quatre fois quand, la main me faisant mal, je décide d’arrêter.Elle se remet sur pied, persuadée sottement que la punition s’arrête là. Son visage est inondé de larmes, mais ses yeux luisent d’une façon qui ne me trompe pas. Sans doute vient-elle d’éprouver les sensations les plus surprenantes. S’étale sur son visage empourpré une veulerie canine qui dément les plaintes faussement scandalisées qu’elle se croit tenue de m’adresser.— Oh, vous m’avez fait très mal ! Si mal !— Et ce n’est pas fini, lui dis-je, en me relevant. Enlevez votre robe…— Mais !— Croyez-vous m’abuser, mademoiselle ? N’êtes-vous pas toute mouillée entre les cuisses ? Vous avez honteusement profité d’une punition pour prendre du plaisir !Comment pourrait-elle le nier ? Je m’arme de mon visage le plus féroce. Elle retire donc sa robe en vitesse, et je peux contempler avidement sa nudité. Quelle belle plante… C’est toujours émouvant de regarder une femme nue, surtout quand on est soi-même habillé, et qu’elle se met nue dans le but de se montrer à vous. Cramoisie, tête baissée, Prudence me laisse admirer tous ses trésors. Comment ne pas croire à Dieu quand on voit une fille nue ? Quand je l’ai bien reluquée sous toutes ses coutures, je fais pivoter mon fauteuil et je fais prendre à la jeune personne la pose la plus propice à mes desseins.Elle doit basculer la tête en bas par-dessus le dossier du fauteuil, de façon à avoir le visage au ras du siège. A l’aide de lanières de cuir, je lui attache les poignets aux pieds de devant du fauteuil. Comme elle a la tête en bas, ses cheveux retombent en corolle et lui cachent le visage.Pendant que je la ligote ainsi, elle sanglote de peur. Prudence a donc le cul en l’air, juché sur le dossier. Ses jambes pendent verticalement derrière le fauteuil. Comme c’est un meuble à dossier étroit et haut, ses pieds ne touchent pas terre. Je retire ses chaussures et ses bas à la jeune fille. Puis je lui replie une jambe de chaque côté du dossier, de façon qu’elle soit pour ainsi dire à califourchon dessus, comme une cavalière sur sa monture, ce qui lui ouvre le cul et le sexe d’une façon on ne peut plus indiscrète. Pour qu’elle ne puisse pas remettre ses jambes à la verticale, à l’aide d’autres courroies, je lui fixe les genoux aux accoudoirs.Contemplant amoureusement le spectacle de son cul ouvert et de son sexe béant, j’ai tout loisir de constater à quel point ces préparatifs l’ont mise en émoi. Fouillant des doigts son sexe trempé qui bâille comme le calice d’une fleur obscène, je lui taquine le clitoris et les nymphes, et très vite des soupirs saccadés entrecoupent ses pleurs. Après l’avoir conduite au bord de la jouissance, je l’y laisse en suspens, son petit attribut gonflé comme une cerise sur le point d’éclater. La laissant panteler, je choisis dans mon armoire une longue badine de coudrier. Je la fais siffler dans le vide. Prudence pousse un cri terrifié. Elle a compris ce qui l’attend.Alors, sans plus attendre, je me mets à l’œuvre.SSSWWWIIIISSSSHHH ! ! !Elle a eu le temps d’entendre siffler la badine car j’ai visé de très haut, et abaissé mon bras de toute ma force. La brûlure atroce qui lui lacère le cul lui arrache un hurlement terrible. Ses fesses que traverse une longue balafre rouge, durcissent comme de la pierre, puis se relâchent, et son anus, qui s’était recroquevillé sur lui-même, s’ouvre d’un coup, comme si elle expulsait de l’air. Mais déjà j’assène le second coup… un centimètre plus bas… juste en travers des globes… SSSSSWWWWIIIISSSSHHH ! ! !Oh comme ce sifflement est enchanteur, et comme le cri torturé qui lui répond est doux à mon oreille ! La jeune personne ne pouvant me voir, je retire mon pantalon, et me voilà, la bite raide, les couilles ballotantes. Elle sanglote d’une façon affreuse, m’adresse des supplications forcenées, hystériques : non, non, elle préfère se marier à la campagne, elle ne veut plus entendre parler de moi, je ne suis qu’un vieux fou…Ricanant, je lui visse un doigt dans le cul.— Puisque vous le prenez ainsi, je vais doubler la dose.Soit dit en passant, son clitoris n’a jamais été plus raide ! Cette fille est sans doute sincère dans ses supplications, mais, ce qu’elle ignore encore, dans sa naïveté, c’est qu’elle est une pure, une authentique masochiste. Je caresse amoureusement les deux striures qui marquent son beau cul. Elles sont en train de bleuir, et deux bourrelets livides se forment de part et d’autre des sillons que la badine a imprimés dans la chair. Il faudra la pommader quand ce sera fini, sinon, chaque pas lui arrachera un cri de douleur.Ces constatations opérées, sans tenir compte de ses hurlements, de ses insultes, de ses supplications, de ses sanglots hystériques, je reprends mon ouvrage. Tout d’abord, je la cingle en me tenant de côté, de façon à lui marquer la croupe entièrement, en partant des reins et en descendant jusqu’à mi-cuisses. Quand toute cette partie n’est plus qu’un réseau de zébrures horizontales, certaines rouges, d’autres déjà bleues, les plus anciennes virant à un jaune verdâtre qui révèle la profondeur des ecchymoses, je change de position.Me postant en face du cul ouvert, je vise la fente du fessier et celle du sexe. Je frappe à la verticale, de haut en bas. Les cris qu’arrache cette torture à la malheureuse tournent à l’hystérie la plus bestiale. Ce n’est plus qu’un interminable hurlement, une sorte de râle fou ; par moments, étouffée par ses larmes, elle manque s’étrangler. La folie n’est pas loin. Il est temps d’entrer dans le vif du sujet. Après lui avoir cinglé plusieurs fois d’affilée l’intérieur du con, en visant le clitoris, je jette ma badine à mes pieds, et, sans demander la permission de la demoiselle, je l’encule délicieusement.Tout d’abord, toute à son délire furieux, elle ne se rend pas compte de ce qui lui arrive. Je suis déjà au fond de la poche rectale, mes mains accrochées comme deux serres à ses fesses meurtries, qu’elle me supplie toujours de ne plus la fouetter. Mais enfin, au bout d’un moment, elle réalise le changement… et cesse de m’implorer, tandis que son anus s’ouvre voracement pour me fêter. Je plonge avec volupté au fond de sa tripe et de mon ignominie. Elle est moelleuse, onctueuse, brûlante, c’en est un bonheur. Pour l’inciter à participer à l’action, je glisse une main sous mes couilles dans la fourche de ses cuisses, et je la branle. Mes doigts patinent dans la mouille épaisse qui tapisse sa muqueuse meurtrie. Quand je saisis son clitoris, elle ne peut retenir un aveu…— Ouiii ! ! ! crie-t-elle. Oh, ouiiiiii…Là, m’accompagnant de ses pizzicati clitoridiens, je l’encule avec une vigueur qui ébranle le fauteuil. Prudence s’ouvre, Prudence m’avale dans son cul, si j’osais, je la lui mettrais bien par-devant, mais il ne faudrait pas trop l’élargir, pas encore, il sera toujours temps une fois que son fiancé l’aura déflorée. Car je compte bien qu’elle continuera à me rendre visite, une fois mariée par mes soins. La plupart de ces jeunes personnes continuent à me visiter, de temps à autre, pour des « stages de perfectionnement » qui leur permettent de retrouver ici des émotions que leurs maris ne peuvent leur donner. Tout en me livrant à ces réflexions, je retire ma bite de l’anus, et j’en promène le gland dans la fente du con, histoire de tâter le terrain.— Attention, monsieur… me susurre aussitôt Prudence.La coquine porte bien son prénom ! Je la rassure.— Ne craignez rien…J’enfile mon gland dans l’entrée du vagin. Je sens l’hymen élastique se distendre pour accompagner l’intrusion. Je m’amuse avec son con de cette façon, n’y introduisant que le gland, tout en lui taquinant le clito de l’index, de façon que l’excitation qu’elle en éprouve l’empêche de se crisper. Et peu à peu, en effet, malgré son appréhension, son vagin s’élargit, la corolle de l’hymen s’assouplit, je n’aurais qu’une poussée à donner pour la déflorer. Je me fais une raison. Il faut bien laisser ce colifichet à son mari. D’avoir épousé par mes soins une fille vierge le rendra moins méfiant quand il verra sa femme venir me consulter régulièrement.Je retourne donc au cul. Et c’est là, dans les profondeurs obscures, que je lâche mon offrande. Oh, quel plaisir, Seigneur… Merci, mon Dieu, merci ! Si intense, si fou ! Je manque m’en évanouir de bonheur. De son côté, elle râle comme une bête à l’agonie. Paradoxe de cette initiation : elle aura joui par le cul avant de connaître l’orgasme vaginal ! Pour ce qui me concerne, je gicle si longuement en elle, que j’ai l’impression de me vider entièrement. Mon cœur cogne dans ma poitrine, j’ai le sang à la tête, je suis au bord de la pâmoison.Reposant sur le théâtre de mes exploits, la bite encore dedans, je reprends lentement mes esprits. Elle est silencieuse, perdue dans ses émotions, dans ses pensées.— Dès dimanche, lui dis-je, en m’extirpant (ce qui lui arrache un soupir) je vous présenterai à cet employé de banque dont je vous ai parlé. Il y a une fête paroissiale chez Mme Porbus, la trésorière de la société de bienfaisance. Je vous y ferai inviter.Je me reculotte, puis je la détache. Après quoi, je lui pommade méticuleusement le cul et le sexe. Toute pudeur est abolie entre nous. Rien n’est dit, mais nous nous comprenons à merveille.Une fois rhabillée, elle m’adresse un regard interrogatif.— Dois-je revenir demain, monsieur ?— Laissons vos fesses se reposer, ma chère Prudence. Il ne faut pas abuser des meilleures choses. Vous reviendrez samedi, la veille de la fête. Et cette fois, j’ose espérer que vous saurez votre leçon. Sinon, comme aujourd’hui, le derrière vous en cuira !Elle paraît tout étonnée.— Mais, monsieur, si vous me fouettez samedi… le lendemain, dimanche, pour la fête où je dois rencontrer ce jeune homme… je serai encore toute marquée !— En quoi cela importe-t-il, ma chère Prudence ? Auriez-vous l’intention de lui montrer vos fesses dès le premier jour ?Elle s’embrase, comme prise en faute, avec un petit rire embarrassé.— C’est vrai, que je suis sotte… Pas le premier jour. Mais si j’ai trop mal, je ne pourrai pas danser.— Je me servirai d’un martinet. Cela fait mal sur le moment, mais le lendemain, il n’en reste rien.Sur cette promesse, nous nous séparons les meilleurs amis du monde. Prudence est si charmante que je la présente à mes filles qui lui font la révérence. Et ma femme elle-même, qui l’aperçoit pendant que je la reconduis, me fait compliment sur elle.— Elle a l’air très saine, cette jeune fille ! Une vraie fleur de la campagne ! J’espère que vous lui trouverez un bon mari.— C’est mon vœu le plus cher, ma chère femme. Mon vœu le plus cher…Certes, je n’entends pas me priver d’une telle perle.

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Mes tous debutsmes tous débutsbonjour,Je tiens à préciser que j’aime autant les humains que les animaux et que tout ce que j’écris est vrai.Mes aventures avec les animaux ont commencé très jeune.J’ai été élevé dans ma toute première jeunesse dans une ferme.J’ai toujours regardé la reproduction des animaux avec un attrait et une grande curiosité dans ma jeunesse.Quand j’ai vu la chienne de la ferme se faire prendre par un mâle voisin cela m’a excité au plus au point, pourtant j’étais très jeune et je bandais tellement fort dans mon slip que cela m’en faisait mal, je voyais ce chien s’exciter au cul tendu de ma chienne et puis il s’est calmé, je me demandais alors ce qui allait se passer; il a alors réussi à passer une patte par dessus le dos de ma chienne et il est resté connecté, j’en étais abasourdi, je les ai regardé jusqu’au moment ou le mâle a réussi à se libérer, a ce moment j’ai vu sa grosse queue toute rouge, il l’a léché minutieusement, je peux vous dire qu’à la vue de cette bite qui me semblait énorme j’ai tout lâché dans mon slip; c’est à ce moment la que mon intérêt pour la sexualité des animaux a débuté.Le soir dans mon lit j’ai pensé à tout cela et je me suis mis a nouveau à bander dur, j’ai commencé à me tripoter la queue et j’ai constaté qu’elle était bien mouillée au bout et que cela glissait tout seul autour des mes doigts, je me suis mis alors a l’astiquer entre mon pouce et mon index et j’ai juté bout de une minute .J’ai eu du mal à m endormir ce soir la et je me suis dit qu il fallait que je regarde de plus près le sexe de ma chienne.Le samedi suivant, j’ai demandé a ma mère de promener la chienne car elle était toujours attachée, elle a accepté, j’ai pris une corde et je suis allé me balader dans le bois qui était juste derrière la ferme ou il y avait une très grande cabane que mes grands frères avaient construit (je suis le petit dernier d’une grande famille de 6 enfants) , une fois dans la cabane j’ai commencé a caresser ma chienne qui se laissait faire et qui prenait un certain plaisir surtout quand je la touchais sur la croupe, j’étais la pour assouvir ma curiosité, j’ai donc commencé par lui soulever la queue et la j’ai vu sa vulve toute enflée et légèrement humide, je bandais déjà, le mâle l’avait bien monté et elle était encore en chaleur, dès que j ai commencé à lui toucher la vulve elle tournait du cul et levait la queue, elle était toute folle, je l’ai un peu calmé en la caressant et puis j ai recommencé à lui touché la vulve alors la c’était pire elle se tordait encore plus du cul, elle avait envie illegal bahis d’une grosse bite de mâle, je lui ai enfoncé un doigt mais comme il était petit il y avait de la place pour 3 doigts, je ’lai bien pénétré comme cela et elle aimait ça, alors j’ai quitté mon short et j ai tripoté ma petite queue toute dure, mes doigts étaient mouillés par le jus de ma chienne et le mien, je me suis caressé le gland, ma chienne est alors venue et a léché ce joli gland imprégné de son odeur, j avais le corps et les joues en feu.J’étais cul nul, j ’ai repris les caresses de sa vulve et elle était toujours aussi contente en me tendant son cul, alors j ai repensé à la grosse pine du chien qui l’avait couverte et je me suis dit que j’allais faire pareil que lui, je me suis placé derrière elle, avec mes mains je enserré ses flancs comme les pattes du mâle, elle aimait beaucoup ça, j ai présente ma bite à l’entrée de sa vulve et je l ai pénétré facilement ( je n’avais pas une grosse queue à cette époque mais elle était très dure et la chienne avait déjà eu plusieurs portées, j’ai senti une chaleur intense quand j’étais en entier dans son vagin et elle me serrait régulièrement à l intérieur, elle ne bougeait pas et semblait aux anges, à nouveau j’ai pensé aux mâle qu’il l’avait sailli il y avait 3 jours et je me suis mis à bouger dans ce vagin de chienne brûlant, cela n’a pas duré longtemps avant que je jouisse très fort en elle, j’ai vite débandé, je lui ai essuyé la vulve et moi ma pine et je me suis reculotté.J’ai repris la corde pour ramener la chienne à la maison, ma mère m’a demandé si elle avait été gentille, je lui ai répondu que oui évidement ,,,,Voila comment ont commencés mes relations sexuelles avec les animaux, je vous raconterai la suite une prochaine fois.la Suite.Et bien la suite n’a rien de très exceptionnel (quoi que !), durant 4 ans j’ai profité des joies des relations avec la chienne de la ferme, toujours dans la cabane dans le bois derrière chez moi ; mais je précise que c’était uniquement pendant ses chaleurs car vous le savez bien les chiennes n’acceptent pas de relations en dehors de ces périodes (j en reparlerai), donc 2 fois par an et en essayant d’en profiter et de lui en faire profiter également au maximum.Quand ses chaleurs arrivaient au bout du 6eme ou 7eme jours, je l’emmenais se promener et cela se terminait toujours dans la cabane, auparavant je jouais beaucoup avec elle, à courir, elle qui venait se cogner contre moi en finissant par se frotter contre mes jambes et en levant sa queue pour me faire voir sa vulve toute illegal bahis siteleri gonfler qui ne demandait qu’a être caressée et branlée comme elle adorait ça, au final dans la cabane je lui massais la vulve, ça la rendait ‘folle’ et elle me sautait dessus au bout de plusieurs minutes de jeu minute elle me présentait a nouveau son cul la queue levée pour recommencer, au bout d’un moment je simulais les pattes du mâle qui l’enserre avec mes deux mains comme si elle était prisonnière et a ce moment je lui présentais ma bite toute raide au bord de la vulve et je l’enfilais doucement, elle adorait cela et courbait le dos d’un signe approbateur, la chaleur de son vagin et ses contractions régulières faisaient que j’éjaculais au bout de 2 ou 3 minutes dans un plaisir intense ; je recommençais jusqu’à qu’elle soit moins folle et que cela ne l’intéressaient plus .Une fois je l’ai vu avec le même mâle que la 1er fois, tout au début de la saillie, je le voyais lui grimper dessus et lui coller au cul en essayant de lui enfiler son petit bout tout rouge et puis la il est allé de plus en plus vite en étant collé à son cul puis s’est calmé mais toujours en haletant comme c’est pas possible, je comprenais qu’il avait dû lui mettre toute entière ( j’ai compris plus tard le nœud) puis il s’est retourné et ils sont restés bloqués au moins15 mn, je me suis branlé rapidement ; je les ai laissé se déconnecter et puis dès que le mâle est parti j ai emmené ma chienne a la cabane, je l’ai tout de suite saillie à mon tour ( elles sont toujours prête dans ces cas la ) avec son vagin remplie du foutre du mâle, c’était trop trop bon. J’aurais vraiment aimé pourvoir emmener le mâle avec moi a la cabane mais je n’ai jamais pu le faire car il ne me connaissait pas et il était assez sauvage, je pensais souvent à sa grosse queue rouge que j’avais vu quand il se décollait, j’aurais bien aimé caresser ce pénis qui me faisait rêver mais je n’ai jamais eu ce plaisir. Voilà , cela a duré jusqu’à je quitte la ferme pour le travail et j’aille a Paris ; je n’ai plus eu de relations avec des chiennes pendant 10 ans jusqu’au jour où je me suis décidé a acheter ma 1ere chienne Vega une Hovawart magnifique mais ceci est une autre histoire que je raconterais plus tard.Donc après la 1ère fois que j’ai réussi à saillir ma chienne en imitant le mâle qui l’avait couverte je me suis intéressé à toutes les femelles qui étaient dans la ferme, malheureusement mes parents élevaient que peu de races a****les , La basse-cour, pas d’intérêt, les porcs oui mais cela ne canlı bahis siteleri m’a jamais vraiment attiré, l’odeur de la porcherie c’est très ‘hard’, bon j’avoue que les quelques fois ou j’ai accompagné mon père amené les truies au verrat cela m’a fait bandé dur et puis j’ai été impressionné par la queue du verrat ( bizarre) et le nombre de fois qu’il l’a monté mais je n’ai jamais eu l’envie de saillir une truie, jamais.Du côté des bovins cela était beaucoup plus intéressant donc je me suis rapproché de nos chers bovins.Comme toutes les femelles la période des chaleurs les rends toujours plus intéressées mais cela n’a rien à voir avec les folies d’une chienne ( qui est douce gentille et demandeuse) , mais rien à voir du tout, le côté positif c’est que même si elles ne sont pas ‘en chasse’ c’est comme cela que l’on disait a la campagne, elles sont toujours accueillantes pour qu’on puisse y glisser notre bite bien au chaud et y lâcher notre jus, elles s’en foutent, elles aiment bien qu’on leur masse la vulve quand elles ont leur chaleur, on peut même leur mette la main dans le cul cela ne les dérangent pas d’ailleurs l’inséminateur leur met le bras quand il leur met une paillète pour les remplir, cela m’a toujours impressionné quand j’étais petit. J’attendais que mes parent soient couchés et la j’allais en douce dans l’étable quand j’avais la queue trop dure, je connaissais les plus douces ( car cela n’est pas toujours le cas), je leur nettoyais le cul et la vulve (ca leur plaisait) et je les massais et leur mettais 2 ou 3 doigts, je prenais la chaise dont se servait ma mère pour les traire, je m’installais juste derrière avec prudence, je leur mettais ma queue le plus profond que je pouvais mais elles ne devaient pas sentir grand-chose… Combien de fois l’ai-je fait ? je dirais au moins une trentaine de fois, il y avait de nombreuses vaches. Pour ma chienne, combien de fois l’ai saillie ? et bien sans doute un peu plus car même si elle était en chaleur que 2 fois par an mais qu’ elle était accueillante pendant un dizaine de jours, je la saillissait des fois 2 fois par jour aussi souvent que je le pouvais ; Mais le plaisir avec ma chienne était incomparable car elle me montrait son affection et son désir et puis après les 1ere fois dès qu’elle était en chaleur elle me faisait comprendre qu’elle voulait que je m’occupe d’elle , ce que je faisais pour mon plus grand plaisir et le sien.Voilà, ce sont mes aventures de ma période à la campagne.Ma période en ville a été très différente, je me suis décidé à acheter ma première chienne a 28ans j’étais adulte avec une femme et 2 enfants donc cela compliquait beaucoup les choses.j’ai eu 2 chiennes, une hovawart et une briarde , toutes les deux super gentilles et chaudes pendant leur chaleur.Je vous raconterais cela dans un prochain épisode

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Maria Kapitel 6: Ein Arsch zum verlieben.

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Maria Kapitel 6: Ein Arsch zum verlieben.von Andrew_KEs waren längst nicht nur Frauen auf der Liste dieses Alex. Darauf befand sich auch ein Mann, oder sollte ich lieber Junge sagen. Warum und weshalb Dennis, von Elena, zu uns gebracht wurde, war anfangs noch nicht klar. Elena hatte sich bisher nur innerlich verändert. Bei dem Äußerlichen hatten wir beschlossen, dass dies plötzlich vonstatten gehen sollte, weshalb sie nur bei uns die neue Elena war. Jedenfalls ihr auftreten in der Schule hatte sich bereits verändert, wusste Maria zu berichten. War sie bisher peinlichst aufs verschwinden bedacht, war sie nun zur heimlichen Beobachterin der anderen mutiert. So hatte sie Dennis entdeckt.Während Alex bei den Mädchen nur aus der Ferne lästerte und abfällige Bemerkungen fallen ließ, ging er Dennis direkt an. Als er wieder mal eine Attacke über sich ergehen lassen musste, nahm Elena ihn nach der Schule mit. Er machte große Augen, als sich Elena nach der Türschwelle erstens die Haare nach hinten in einen Zopf drehte und dann komplett alles auszog. Nackt führte sie ihn dann vor. „Das ist Dennis. Ich denke, er ist schwul und wird deshalb von Alex gemobbt.“„Ich bin nicht schwul“, widersprach Dennis. „Tatsächlich“, fragte ich und schlug meinen Bademantel auf, was ihn meinen Schwanz und mein behaartes Bein sehen ließ. Er schluckte.„Ich stehe auf Mädchen“, versuchte er sich herauszureden. „Ich bin nicht pervers.“„Dann bist du hier wirklich fehl am Platz“, sagte Maria und ließ sich schwerfällig auf den tiefergelegten Tisch sinken. „Hier in diesem Haus sind alle pervers.“ Hinter den beiden kam Anna rein und zog auch sofort blank: „Kinder, ich bin so geil, ich brauch sofort einen Schwanz. Oh ein neuer.“ Sie trat zu Dennis und griff ihm in die Hose. „Nicht groß aber knüppelhart. Damit kann ich leben. Welcher Anblick hat ihn den so erregt?“ „Max“, sagte Elena. „Stimmt nicht es war Maria“, versuchte sich Dennis herauszureden. „Da hast du aber Pech. Max Frau ist noch 3 Wochen Tabu.“ „Frau wie Ehefrau?“„Er ist ein Blitzmerker“, stellte Anna fest. „Warum ist er hier?“„Er wird von Alex schikaniert“, sagte Elena. „Ah ich verstehe, ein Kandidat. Dann sei willkommen, Dennis.“ „Ein Kandidat für was?“ „Ein Kandidat um an Alex Rache zu nehmen. Im Rahmen einer Sexorgie. Alex wird dabei unser Lustsklave.“Ich sah Dennis Schwanz bei dem Wort zucken. „Dennis ausziehen“, sagte ich streng und Dennis reagierte fast automatisch. Die anderen waren erstaunt, als sie das sahen, sagten aber nichts. Sie geleiteten ihn an einen Platz am Tisch, wo neben Schüsseln mit Essen Marias Körper aufragte. „Was wird das?“„Wir spielen Kannibalen, nur das wir nicht unter die Haut gehen und unser Opfer auch was abbekommt“, erklärte Elena. „Und wie macht ihr das?“„So“, sagte Anna und griff mit beiden Händen in ein Pott mit warmen Spagetti und verteilte sie großzügig über Maria. Elena schöpfte mit der Hand Bolognese Sauce aus einem Topf und verteilte sie über den Nudeln. „Es ist angerichtet“, sagte sie und wir drei begannen, die Nudeln mit der Sauce von Marias Körper zu lecken. „Das ist pervers“, sagte Dennis. Sein Gesicht zeigte Geilheit und gleichzeitig blickte er angewidert auf das Geschehen vor ihm. 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Vorsichtig kam seine Zunge näher und saugte dann eine Spagetti ein.„Geht doch“, kommentierte Maria. „Leck mich jetzt, sofort.“ Dennis reagierte wieder augenblicklich.Als Maria´s Körper halbwegs leergegessen war, halfen wir ihr vom Tisch und Anna ging mit ihr Duschen. „Dennis, wie lange hast du schon Lustsklavenfantasien?“Dennis zuckte zurück und schaute dann auf den Boden. Elena setzte sich zu ihm und hob seinen Kopf.„Das muss dir echt nicht peinlich sein. Ich hatte auch bisher eine heimliche Fantasie. Hier darfst du sie frei äußern und niemand wird lachen.“ „Seit der sieben“. sagte Dennis. „Alex war mein erster Freund.“ „Hat er dich auch gefickt?“, fragte ich und Dennis nickte. „Und dann hat er dich von einem Tag auf den anderen Fallen gelassen und schikaniert dich nur noch.“ Dennis nickte erneut.„Lust unser Lustsklave zu sein?“Dennis sah mich groß an. „Wenn ja, dann komm morgen mit einem Halsband und einer Leine nach der Schule hier her. Und jetzt geh. Du brauchst Zeit zum Nachdenken.“ Als er vor der Tür war sah mich Elena an: „Was sollen wir mit einem Lustsklaven?“„Keine Ahnung. Er ist dir.“„Mir?“ „Du hast ihn entdeckt. Du hast bestimmt auch ein Auge für seine Bedürfnisse.“ Elena schaute zu Boden. Dann wieder etwas hoch.„Ich kenne eines seiner Bedürfnisse, aber ich weiß nicht, wie ich die erfüllen soll.“„Frag um Hilfe.“„Max? Hilfst du mir seinen Arsch zu füllen? Ich glaube, er steht auf Typen wie dich.“ „Das glaube ich auch. Ich bevorzuge zwar Frauen, aber bei ihm könnte ich schwach werden. Er hat einen Arsch zum verlieben.“ „Ja, das hat er wohl. Und sein Schwanz ist so groß wie eine Banane.“ „Nicht so groß wie meiner, meinst du?“„Ja. Mir würde er reichen.“ „Dann machen wir morgen einen Dreier.“ Ihre Augen glänzten.„Was ich euch schon immer fragen wollte, für was genau ist eigentlich das?“ Sie zeigte den Analspreitzer mit dem Aufsatz für die Feuerzangenbowle. Das ist etwas, was wir für etwas ganz besonderes nach Lea Katharinas Geburt gebaut haben. „Darf ich da mitmachen?“„Ich hoffe doch, dass du dabei bist.“ Am Nächsten Tag dauerte es fast bis zum Abend, bis Dennis kam. Elena hatten wir ein Korsett besorgt und die Haare staffiert. Dazu noch ein Make Up, dass den Mund, ihre Wangen und ihre Augen betonte. „Jetzt noch Zähne und du bist ein richtiger illegal bahis siteleri Vampir. Gefällst du dir?“, fragte Anna. Elena war sprachlos. Als dann aber die Schuhe mit Absetzen kamen, winkte sie ab. „Auf den Dingern breche ich mir die Knochen.“ „Elena, wir fangen klein an. Das sind 5 cm. Für deinen Auftritt bekommst du 18cm.“ „Ihr wollt mich umbringen.“„Wir wollen, dass jedem Kerl, der dich sieht, die Hose platzt“, grinste Anna. „Wenn das meine Mutter sähe?“ „Was wäre, wenn es bei deinem Vater wirkt?“ „Peinlich, der will mit mir lieber zum Sport.“ „Schlag Tanzen als Sport vor?“, Grinste Maria. „Nein klettern ist seines. Ich bin ja leider kein Junge geworden.“ „Nein, dass kannst du nicht werden. Alles andere schon. Und heute wirst du Herrin Elena.“So nahm ihn dann die Herrin auch in Empfang. Er zog sich aus, legte sich ein Halsband an und gab Elena das Ende der Leine. Die befahl ihn auf seine Knie zu gehen und betrat so mit ihm den Wohnbereich. Wir saßen auf der Couch und schauten fern. Sie trat zu uns und stellte Ihren Lustsklaven vor. Wir nickten und sie wies im ein Kissen vor unseren Füssen, auf dass er sich legen sollte. Danach ignorierten wir ihn erst einmal. Es gefiel ihm trotzdem. Sein Schwanz stand die ganze Zeit wie eine eins. „Es wird Zeit für das Bett“, sagte ich am Ende des Films und half meiner Maria aus den Tiefen des Sofas. Elena wies dem Lustboy uns zu folgen. Mein Bett war mittlerweile einer Spielwiese gewichen, auf der es mehr Kissen und Decken gab. Hier bereitete Elena dem Boy das Fußende. „Irgendwie habe ich noch Lust“, sagte sie eine Weile später. „Boy? Bereite meinen Herren vor.“ Langsam und vorsichtig krabbelte er zwischen meinen Beinen hoch. Wachsame Augen lagen auf ihm und schauten, dass er auch alles richtig machte. Als er begann, kam anerkennendes Gemurmel. „Nicht schlecht für einen Mann.“ „Und wenn der genauso leckt.“„Das werden wir bald wissen“, sagte Elena. „Leck mich, Dennis.“ Auch diese Aufgabe erledigte er mit Hingabe und Bravour. Elena zog sich ihren Dennis zu sich hoch. „Fick mich Dennis. Fick mich.“ „Ja Herrin“, antwortete er und drang in sie ein. Das war mein Zeichen. Mit einer Tube Gleitcreme bewaffnet positionierte ich mich hinter Dennis. Er hatte sich wirklich sehr sorgfältig enthaart. An Anna waren da mehr Haare als bei ihm, was ihr aber auch stand. Ich streichelte seinen Arsch, knetete seine Backen auseinander und presste mich dann in ihn. „Uh“, sagte Elena unter ihm, weil ich ihn ja auch in sie schob. Er war unglaublich eng, aber trotzdem tief zu ficken. Es war ein echt irres Gefühl, wenn meine Eichel hinter der Rosette wieder frei gelassen wurde und der Ring zuckenden Beckenmuskulatur meinen Schaft hoch bis zur Anschlag massierte. Wenn ich das vorher gewusst hätte, ich hätte so manchen betrunkenen Arsch nicht links liegen gelassen. Davon gab es nämlich in der Rheinaue definitiv eine größere Auswahl. Nun bediente ich erst einmal Dennis mit Hingabe.Er war längst zu einer willenlosen Fickmarionette geworden. Ich spürte Hände, die mich auf den Rücken drehen wollten. Ich folgte und hörte ein „Danke“ von Elena. Jetzt lag der Lustknabe auf meiner Brust und ich nagelte ihn von unten. Elena kam über ihn und canlı bahis siteleri ich wusste, warum sie einen Wechsel wollte. Die Arme war beinahe unter uns zerquetscht worden. „So geil“ sagte sie im Rhythmus meiner Stöße. „Oh, er kommt schon wieder. Ich kann nicht mehr. Ich komme.“Ich spürte ihren zuckenden Körper durch Dennis hindurch. Als sie neben mir lag, sagte sie, „Dennis ist so geil.“ Ich konnte ihr nicht widersprechen. Kurz bevor ich meinen Saft in seinen Darm schoss, spürte ich ihn sich verkrampfen und aus einer Idee heraus fasste ich seine Eier und drückte sie zusammen. Er kam und spritze bis hoch zu seinem Gesicht. Er hatte einen glücklichen Gesichtsausdruck, als er zwischen uns lag. „War es das, was du wolltest?“ „Ja Herr“, sagte er. „Aber ich kann leider nicht euer Sklave sein.“ „Das verlangt auch keiner. Wann immer du Zeit hast.“ „Ich dachte nur, weil die anderen hier leben.“„Das sieht nur so aus. Sie gehen auch von Zeit zu Zeit nach Hause.“ „Ich kann ja nicht nur bei einer Freundin übernachten, auch wenn die Schwanger ist“, grinste Anna. „Aber ich war früher auch viel bei Lea. So wohl da als auch hier ist in meinem Fall harmonischer.“ „Harmonischer wollte“ Maria nun wissen. „Ach, ich weiß eigentlich nicht, warum meine Mutter noch bei uns ist. Sie schreit den ganzen Tag herum. Keift meinen Vater an. Der ist total ruhig und lässt alles über sich ergehen. Sie ist immer in allem Besser, wenn ich mit einer guten Note nachhause komme, dann hatte sie garantiert eine bessere und das Abitur, dafür hat sie nicht lernen müssen. Ich bin jedes mal froh, wenn ich nicht zuhause bin.“ „Das kenne ich“, sagte Elena. „Ich bin zuletzt mit Pferdeschwanz nachhause gekommen. Das gab ein Aufriss. Was die Leute denken sollen. Es sähe so aus, als würde ich zuhause misshandelt. Was wenn die Polizei kommt und fragen stellt. Mein Vater hat gesagt, warum erzählen wir nicht wie es ist.“„Wie ist es denn?“ wollte ich wissen. „Ich bin mit 6 Jahren ausgebüchst. Und dann bin ich in der Rheinaue mit Jungs die älter waren herumgezogen. Die haben gewettet, dass ich mich nicht traue auf einen hohen Baum in der Rheinaue zu klettern. Das besondere war, dass der bis zum meinem Hals damals im Wasser stand. Was hat klein Elena gemacht? Sie hat sich nackig ausgezogen und ist zu dem Baum raus. Heute denke ich, die Jungs, lass sie 9 bis 11Jahre alt gewesen sein, nur nackt sehen wollten. Ich bin also den Baum hoch, aber nass sein ist dabei nicht wirklich eine gute Idee. Jedenfalls habe ich oben eine moosige Stelle erwischt und bin den kompletten Baum runter mit einigen Zwischenstopps auf verschiedenen Ästen. Ich war ziemlich zerschlagen und wund am ganzen Körper, als mich die Jungs aus dem Wasser zogen. Und später war dann noch die Polizei bei meinen Eltern und fragte, ob ich entführt wurde. Meine Geschichte hat niemand geglaubt. Ein paar mal dachte ich selber, dass ich sie mir vielleicht eingebildet hatte.“ „Hast du Höhenangst?“ „Nur bedingt. Wenn ich sicher bin, z.B. mit Papa in der Kletterhalle, dann kann es nicht hoch genug sein. Aber ein ungesicherter Abgrund ist was anderes. Da ist dann auch egal, dass der nur zwei Meter hoch ist.“ „Und was erzählst du deiner Mutter, wo du nächtelang bist?“„Bei einer Freundin. Lernen. Ihr bei der Schwangerschaft helfen, weil ihr Macker sie sitzen gelassen hat. Sie sagt, es wäre gut, dass ich mit einem abschreckenden Beispiel zusammen bin.“ „Na toll“, sagte Maria. „Jetzt diene ich als Abschreckung.“

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Le chantage de Magalie suite 7Le chantage de Magalie suite 7Le jeudi je passe de nouveau à la banque, mais le banquier me dit qu’il me prévient dès que sa ce débloque, peut-être demain, je pense que ça sera bon ! Écoutez j’en ai vraiment besoin, c’est pour payer une rançon pour ma femme ! Il fallait le dire, c’est différents si vous déposez plainte à la police on peut vous avancer l’argent, non je ne veux pas mêler la police, ils ont des photos et je ne veux pas qu’elles soient diffusées !Si vous ne déposez pas plainte je ne peux rien faire ! Demain si ce n’est pas débloqué je vous prêterai de mon compte et je ferai un virement du votre vers le mien trois jours après, votre argent sera débloqué et vous me rembourserez ! Ok merci vous me sauvez ! Le banquier me demande, vous savez où est votre femme ? C’est les nouveaux propriétaires du restaurant sur la place ! Ahh oui je vois me dit il, je quitte la banque.Il est déjà tard dans deux heures je dois aller au restaurant sans argent et lui avouer que j’aurais le tout seulement demain, je suis dans ma voiture à me morfondre, comment allait se passer cette soirée, avec plein de routiers, ils sont pas réputés pour être des tendres ! Il est enfin 17 heure, je rentre dans le restaurant, Henry est seul avec ma femme, il est debout devant elle, il me tourne le dos je ne vois pas de suite qu’elle le suce, quand il me voit, il me dit, ta femme est une suçeuse d’enfer, je n’ai pas pu résister, tu permet je fini, Magalie le pompe, avec une main elle malaxe ses couilles de l’autre elle le branle, avec sa bouche elle suce le gland, Henry gémit fort et un cri a****l retentit quand il éjacule son foutre dans la bouche de Magalie qui avale tout la semence et nettoie la queue d’Henry avec sa langue, en même temps le premier routier rentre, il salue Henry et sans me calculer il défait son pantalon pour présenter sa bite à ma femme, elle l’embouche et suce goulûment le routier, qui s’exclame oh putain qu’elle pute c’est une pro de la pipe celle-là ! Une fois bien dur il la pénètre, sa queue rentre dans le vagin de ma femme, ses yeux se fermes, je vois qu’elle y prend du plaisir, devant moi ma femme fait l’amour avec un inconnu et y prend du plaisir ce n’est plus du viol comme au début, mais que lui on il fait ? Pour la changer comme ça ! L’homme qui à déjà un bon rythme dans la chatte de ma femme, j’entends la porte canlı bahis şirketleri s’ouvrir et deux hommes rentrent, c’est ici la pute gratos !! Henry répond oui venez dans le fond, en avançant les deux hommes se défroquent et mette déjà leur bites dans la bouche de ma femme, ils me regarde, salut cocu ! Ses salauds en profitent pour m’insulter en plus de m’humilier en baisant ma femme, le premier qui baisait ma femme lui met des grands coups de reins et je vois sa queue rentré et sortir à toute vitesse de la chatte de ma femme, les derniers va et vient sont accompagnés de traces blanches sur la base de sa bite, il a jouit et ma femme aussi, quand il ressort sa bite déjà molle pend, les deux autres on déjà prit possession de mon épouse, le plus petit c’est couché au sol et ma femme le chevauche avec sa chatte sur sa bite, le plus grand est derrière et le rejoint, dans son vagin, ils sont ensemble dans sa chatte, les deux queues coulissent en alternance et je vois ma femme la tête en arrière, elle gémit, sa bouche s’ouvre des mot en sortent, oui, oui encore, je vous sens en moi, c’est bon, oui plus fort !! Les deux hommes s’activent dans son vagin de plus belle, ils jouissent et éjaculent ensemble, d’où je suis, j’ai une vue imprenable sur sa chatte, les deux queues qui étire les chairs de la chatte de ma femme, le sperme qui en découle et se repend sur leur couilles, une fois les couilles vident, ils donnent leur sexe à nettoyer, se que ma femme fait sans en laisser une goutte ! La porte s’ouvre encore et l’homme qui rentre est immense il fait plus de 2m20, il ne parle pas français, mais Henry le comprend, il me le présente c’est Borrit, lais tout le monde l’appelle HULK tu va voir pourquoi, il retire ses vêtements, une fois nu je vois son sexe, il est immense, il lui pend jusqu’au genoux, il est aussi très gros, je pense à ma femme qui va devoir le prendre en elle, il va la déchirer ! Elle vient de voir la bite du géant, elle regarde Henry, elle lui dit que ça ne va pas aller, elle a peur, mais apparemment il à tout prévu, un tube de vaseline, un spéculum, un gode gonflable, il commence pas lui lécher la chatte, Magalie se cramponne à la table, elle ferme les yeux, elle gémit, la langue de Hulk est proportionnelle au reste, c’est comme un sexe qui fouille sa fente, quand elle commence à jouir il prend le tube de vaseline, il canlı kaçak iddaa en met une bonne quantité sur ses doigts et lui malaxe la chatte, ses doigts fouillent, rentre et sorte à toute vitesse sur sa chatte, Magalie jouit, elle crie des oui ha oui ah ah encore oui, les doigts continue encore quelques minutes, puis de sa main droite il prend le spéculum et l’enfonce délicatement, serre la pince pour ouvrir au maximum le vagin de ma femme, on voit à l’intérieur, les chairs rose foncé humide de cyprine et de vaseline, il prend le gode et lui met dans sa chatte, il pompe, l’engin grossit et Magalie gémit fort, quand il le retire le gode à tout élargi son vagin, il le dégonfle et le remet il pompe à nouveau, jusqu’au max, il se relève et met deux coups de bite sur la figure de ma femme qui avait les yeux fermés, elle ouvre la bouche, le gland à déjà du mal à rentrer dans sa bouche, elle sort sa langue et lèche le frein et le début de la hampe, sa bouche étendu au max il lui baise la bouche avec son gland, son sexe qui était déjà impressionnant, parait encore plus gros maintenant qu’il est en érection, la langue de Magalie lèche ses couilles qui sont bien pleines comme deux mandarines puis lèche et suce le bout du gland, Hulk passe au chose sérieuse, il enlève le gode et enfonce directement sa queue avant que le vagin de ma femme se rétracte, la colonne de chair, pénètre centimètres par centimètre dans le vagin de ma femme, Magalie fait STOP, il n’est qu’à moitié dedans, il ressort un peu, puis pousse pour s’enfonce dans son vagin, il recommence l’opération quelques fois, la queue de Hulk est presque toute rentré, il commence ses va et vient, ma femme gémit et jouit très fort, son sexe est étendu au maximum et il est très sensible, elle est prise de spasmes chaque fois que sa bite cogne son utérus, des orgasmes multiples à chaque coups, elle jouit et le crie, des MMM OUI OH OHHH OUI HMMMM OOH, elle halète et respire fort, Hulk surprend tout le monde, son HAN est suivit d’une section de jets de spermes chauds au fond du vagin de ma femme, une mousse blanche à l’entrée de sa chatte, du sperme aussi en sort, quand il retire sa bite il jouit encore et éjacule cinq long jets qui calculent son ventre, ses seins et jusque dans sa figure, il bande toujours, il recommence son manège avec le cul de ma femme, vaseline, gode gonflable, re-vaseline, canlı kaçak bahis il présente maintenant sa verge sur l’anus de ma femme, il est bien détendu par le gode, il remet de la vaseline sur son gland et s’enfonce, sa queue rentre sans s’arrêter, ses couilles bute sur les fesses de ma femme, sa bite toute entière est dans les intestins de ma femme, après deux minutes il commence ses va et vient, ma femme jouit de suite, elle couine et gémit fort, elle halète et ferme les yeux, Hulk s’enfonce et ressort presque entièrement, pour s’enfoncer le plus vite possible, les petites lèvres de ma femme sont retournées vers l’intérieur de sa chatte, quand il est au fond, son ventre se déforme aussi, il ferme les yeux, il va jouir, deux, trois mouvements et il s’enfonce au fond pour lâcher son foutre, je vois ses couilles qui se vide dans son cul, il lui met une fameuse quantité sa ressort sur les cotés de sa bite, il se retire et vient mettre sa bite devant la bouche de ma femme, il lâche la base de sa queue et deux giclées de spermes atterrissent dans la bouche de ma femme, elle avale et tousse du sperme sort de sa bouche, Hulk vient près de moi, me serre la main et me remercie, il y a longtemps que je n’avais pas fait l’amour que ça, ta femme est magnifique, sa chatte et son cul son une merveille ! Il se rhabille et s’en va, je vois ma femme pantelante, le vagin toujours distendu et son anus béant dégoulinant de foutre, Henry est surpris putain il la détruite ! Je le supplie de me la rendre, il me dit qu’il ne saurait pas sent passer, la copine de son frère la quitter et comme ils sont échangistes, il partage sa femme et la mienne, qu’ils les baisent toute les deux, plusieurs fois chaque nuit, mais comme elle ne peut plus rien prendre cette nuit, il m’autorise à venir avec lui, il est d’accord et me la rendre et laisser tomber la rançon, si j’accepte de tester chez eux jusque dimanche, on baisera ta femme, tu baiseras la mienne, une partouze de trois jours quoi, tu en dis quoi ? Juste nous trois ! Plus personnes d’autres ? Henry me le promets.Je dit il faut soigner ma femme, lui mettre de la glace dans sa chatte et son cul, au bar il revient avec un seau plein, on lui en met partout, elle ouvre les yeux et hurle, c’est froid !!!!! Je met ma main sur son entrejambe, après un petit moment elle s’habitue au froid et sa chatte devient un peu plus rose et son anus se resserre, elle remet son chemisier et sa jupe et on monte dans ma voitures, je roule jusque chez Henry, sa femme vient nous ouvrir, pourquoi tu l’as amené ici ? demande elle à Henry, il est d’accord et une partouze de trois jours !A suivre…

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Exhibe dans un bar BAR EXHIBcaresse et exhibe dans un barBonsoir, moi c’est Colettequand j’ai connu Alain je n’étais pas spécialement exhibitionniste mais depuis il m’as fait me découvrir…depuis, je suis toujours sans culotte été comme hivers, et, toujours avec des vêtements qui peuvent se déboutonner, s’écarter (comme des robes ou jupe porte-feuilles ),des haut transparents des robes légères , bref des vêtements vite enlever.un soir nous étions dans un bar de Nantes ou il y avait beaucoup de monde .Nous étions très à l’étroit, comme dans une boite à sardine…donc nous sirotions nôtre verre debout et là, Alain à commencer à me déboutonner les boutons du haut de ma robe . Un puis deux puis trois ce qui avait pour effet que le haut était ouvert jusqu’au nombril.Je portais un soutien- gorge transparent .Alain à commencer à me caresser les seins ce qui a fait bander mes tétons très fort…il a baissé une bretelle de ma robe et hop j’avais le côté droit du corps à moitié nue. Il s’est arrêter, me demandant de rester comme ça, comme si de rien n’était et nous avons continué à boire un coup tout en discutant .Nous nous sommes rapproché du bar pour une nouvelle tourné , moi toujours à moitié à poil… et quand canlı bahis şirketleri enfin nous sommes arrivés au bar Alain m’a fait mettre devant lui et m’a dit de commander… le barman m’a regardé interloquer.Mais bon, pas plus que ça et nous avons pris notre verre et sommes allé juste un peu plus loin ou Alain avait trouvé une place pour s’asseoir. Je me suis retrouver debout devant lui avec les deux verres à la main…et là, vous deviner…il a commencé à défaire les boutons du bas et tranquillement il a terminé jusqu’à ce que mon sexe soit visible.Il m’a alors demandé de poser une jambe sur le bord de la chaise et là j’avais vraiment eu le sexe à l’air, et la moitié de la poitrine au vu et su de tout le monde. Dans un premier temps comme il y avait beaucoup de monde , personnes ne s’est aperçu trop de nôtre petit manège. Sauf le barman qui m’avait suivi des yeux et qui n’en manquait pas une de se rincer l’œil…j’étais pour tous dire vraiment très exciter de cette situation et je savais connaissant mon homme que ça ne s’arrêterais pas là forcément .Donc imaginer la scène…debout la moitié de la poitrine presque nue une jambe en hauteur et forcément mon sexe à la vue de ceux qui peuvent canlı kaçak iddaa voir et ça dans un endroit blinder de monde…je dis à Alain que le barman nous mate et lui en échange fais tomber l’autre bretelle et me voilà torse nue avec juste mon soutif transparent…bien sûr que là des gens on commencer à me regarder…mais moi je ne voyais plus personne que Alain qui s’est levé a commencé à me frôler avec ses mains il a remonté une bretelle mais en même temps a dégrafé mon soutif..Il m’a serrer contre lui pour être un peu discret ( mais c’était trop tard tout le monde autour de nous nous regardaient) Il a fait tomber la première bretelle à remonter l’autre bretelle de la robe et fais tomber la deuxième du soutif ce qui a eu pour effet que mon soutif est tomber juste retenu par le dernier bouton de ma robe…il l’a pris me l’a mis dans mon sac et nous sommes resté un moment sans bouger.Comme nous étions à coté du bar il a levé la main pour avoir un autre verre que le barman s’est empressé de lui apporter pour pouvoir me mater.ensuite ça a été un peu plus chaud j’étais toujours à moitié nue mais Alain ne me touchait pas nous bavardions .puis il m’a fait asseoir sur ses genoux…et la catastrophe… canlı kaçak bahis Ma robe s’est écarté devant tout le monde et personne ne perdait une miette de mon sexe (épilée) . Je tournais le dos à Alain il avait posé son verre sur le coin de la table et avait décidé de m’enlacer…il a commencé par caresser mes seins au travers de ma robe pour exciter mes tétons qui n’en avait nullement besoin, puis…j’ai senti une main me frôler la jambe droite , glisser a même la peau…et tranquillement remonté vers mes mon sexe .J’ai chuchoté à l’oreille d’Alain qu’une main qui nous étais étrangère me touchait . Il a répondu que tant que ça me faisait plaisir tout allait bien.l’autre main est arrivée à mon sexe , et là main a commencé à me branler…J’ai fermé les yeux et me suis laisser aller aux caresses de mon homme et de cette main. Alain regardait autour de nous pour sentir les éventuelles réactions hostiles des gens , mais sommes toute ils le prenais plutôt bien et même en souriaient.Mais c’est le barman qui est venu faire du zèle en nous disant que ce n’était pas un bordel… Alain à reboutonner deux boutons du haut de ma robe et nous sommes sortie pendant que le barman se faisait siffler…le comble!La nuit n’est pas finie … mais ce sera pour une autre fois car là j’en aie marre de taper sur l’ordibaisers à toutes et à tous*merci de respecter la charte*à bientôt peut- être( je n’ai jamais su à qui appartenait cette main un homme , une femme…)

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