Mon soleil africain

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Mon soleil africainIl faut connaître la garrigue et son ambiance de fournaise à tous points de vue. Je n’aime rien tant que la brûlure de l’Été. Je n’y peux résister. Je deviens comme folle. Un autre être semble prendre alors possession de moi. Je suis à la semblance de la nature. Le printemps n’étant pas un vain mot. Je célèbre à ses rites. Son Sacre est pour moi. Je sacrifie aux premiers bains de soleil. Je donne tout mon corps en pâture. Aucune parcelle de celui-ci ne doit être épargnée. Tout au long des week-ends et après qu’être rentrée du boulot je m’expose nue ainsi au bord de la piscine.Mon bonhomme au contraire est réfractaire au soleil. Il maugrée et me contemple de loin. Il privilégie plutôt l’ombre de l’intérieur et son air climatisé. Il se gausse un peu que je sois à poil et que nombre de mes voisins puissent me reluquer. Je lui fais observer que certaines des voisines en font autant et qu’un tel spectacle ne lui déplaît pas. Il me rétorque comme pour me flatter que j’ai de loin le plus beau cul du quartier et qu’il est en droit d’être jaloux de le partager par la vue. C’est un jeu de nous chamailler sur le sujet. Cela finit souvent qu’il me saute ensuite dans le living-room.Je ne suis pas contre qu’on me mate. Même que cela m’excite et participe du plaisir de mon exposition au soleil durant de longues heures. Il y a là-dedans quelque chose de sauvage et de presque africain. Mon mari à cet égard sait que je me donne sans façon à lui d’autant qu’il sait qu’un autre pourrait à l’instant obtenir de même. Il me traite de putain tandis qu’il me besogne. Ce terme me résume parfaitement. J’ai la tête farcie de trop plein de fantasmes. J’accueillerais volontiers nombre de mâles dans mes orifices. A cette époque au bureau je deviens une femme facile.Mon boss notamment me requiert tôt le matin. Il me demande de fermer la porte derrière moi et d’approcher. Il passe la main sous ma jupe courte et me palpe le cul. Il me réprimande sur ce string si minimal. En écarte le fil et triture le trou. Cela se clôt par un baiser sur la bouche, une pipe voire un fourrage de chatte sur lui. Cela fait rire tous les autres. D’ailleurs d’autres salopes idem passent à la casserole. Mon mari ferme les yeux sur de telles mœurs. Il est trop content qu’on m’octroie un salaire généreux. Une secrétaire doit être à ce titre à la dévotion du patron.Il n’est pas rare qu’au cours d’une journée je passe entre les mains du patron, du mari et d’un ou deux autres collègues et cela ne suffit pas cependant à me muğla escort contenter totalement. Je réprouve le terme de nympho. J’aime le sexe tout bonnement. L’Été surtout cela participe à mon équilibre. Je pourrais davantage me passer de boire et de manger. Je goûte les absences du mari. Celui-ci part des fois en mission une semaine. Il devine que je mets à contribution ces chers moments. Je convoque la plupart des amants. Ils accourent. J’écarte alors cuisses et fesses. Quelques-uns des voisins n’étant point en reste.L’un d’eux s’appelle Julot. Il peut se targuer d’être mon plus vieil amant. Il nous accueillit lorsque nous avions aménagé ici il y a dix ans. Il nous avait aplani nombre de difficultés. Il est patent que je lui avais tapé dans l’œil. Sa femme m’a toujours fait la gueule. Cela n’a fait que renforcer mon vice pour lui. Je n’aime rien tant qu’humilier ce genre de femme. Bref au bout d’un mois il m’attrapa au fond de son garage. Ancien de la légion il me loua affirmant qu’il n’avait connu depuis longtemps une pareille garce. Je fis en sorte de ne jamais décevoir ce premier engouement.Julot était devenu un grand copain du mari. Celui-ci le subodorait mon amant. Cependant il lui avait comme délégué le souci de me protéger de moi-même. Il me dit un jour avec la plus grande solennité : »Avec Julot en mon absence je te sais en bonnes mains. » Il est vrai qu’une telle proximité me rassurait. Il n’hésitait pas à jouer des poings si un type se faisait collant et s’autorisait même une scène. Je me sentais redevable. Il avait tout loisir l’été de papoter avec moi au-dessus la barrière tandis que je m’exhibais nue sur mon transat. Mon corps lui appartenait en quelque sorte.Je savais le chagriner lorsqu’il me surprenait en un coin du jardin avec un homme. Je n’avais cure qu’on me surprit en un coït jouissant ostensiblement. En fait je savais que cela l’excitait. Il m’en désirait d’autant. Il était du genre à me faire une scène. Il arguait que je manquais de respect à mon mari m’affichant en salope au su de tous. Pour me faire pardonner je lui caressais la bosse se dessinant en son pantalon. Puis dans le garage, je le branlais puis le suçais. Cela finissait souvent par une furieuse sodomie. J’exultais sous ses coups de boutoir. J’adorais être punie ainsi.Aussi ne fus-je pas peu intriguée de lui découvrir un ami nègre, Keita, un copain de régiment. Celui-ci était beau, musclé tout noir d’ébène. Cela vous procurait comme un frisson. Les hommes de couleur me demeuraient escort muğla un fantasme. J’en rêvais en secret. Je n’avais jamais franchi le Rubicond. Il était patent que je ne laissais indifférent ce beau Keita. Mon goût en fut augmentée par l’aveu de mon ami Julot que sa femme des fois obtenait les faveurs dudit nègre. Je ne pensais pas que cette pécore sacrifiait aux joies du sexe et ce avec ce genre de mâle. J’en fus un peu mortifiée et jalouse.Julot eût le tact de laisser courir l’affaire. Il faut savoir à cet égard que mon mari marquait un certain racisme à l’égard de tout basané et notre bon Julot ne trouvait pas mauvais de lui jouer ce mauvais tour. Moi-même je trouvais troublant qu’un amant put être un de ces nègres que mon conjoint prenait de si haut. J’imaginais par trop son incrédule fureur s’il venait à appendre ce péché. Je voyais cependant qu’on lui rapporterait que certaines après-midis on m’avait vu souffrir la compagnie de ce nègre. Bref on jaserait. Je n’y couperais pas. Il faudrait m’expliquer. Tout cela m’excitait.Keita était tous sauf un sot. Il avait de la conversation. Sa carcasse respirait le calme. Ce géant était la douceur même. Je n’en écarquillais pas moins les yeux à l’endroit de son sexe que Julot m’avait prédit énorme. J’avoue que je n’en dédaignais guère la grosseur. Cela entrait dans certains de mes critères. Je n’en demeurais pas moins nue devant cet homme l’excitant à mesure. Au bout d’un jour j’obtins qu’il me passât un peu de crème solaire partout dont les fesses. Il pouvait appréhender à bon droit la fermeté des chairs. Je le voulais convaincre que j’étais plus qu’une promesse.Trop excitée à un moment, je piquais une tête dans la piscine. Julot devait nous observer de loin. J’escomptais que celui-ci bandât et se branlât pour moi. Une après-midi enfin et n’y tenant après qu’il eût encore maculé d’huile mes fesses, je portais la main au sexe de mon chéri Keita. Celui-ci était dur et énorme à travers le bermuda. Tout cela parut si naturel. Il ne broncha pas. Nous en étions venus à un tel état d’intimité. Je dirigeais mon regard vers un coin du jardin à l’ombre où nombre d’amants m’avaient déjà sauté. Je me levais tournant la tête afin de m’assurer qu’il me suivit.J’étais assuré qu’on ne vous vit hormis Julot de son jardin. Là je délestais Keita de son frêle bermuda. Je libérais, le monstre, le dragon. Une queue dont je n’eus osé rêver même dans mes rêves les plus fous. Je le branlais et eu scrupule à porter cela dans ma bouche mais muğla escort bayan ses caresses dans mes cheveux m’encouragèrent. Je pourléchais ce gland puissant. De même je lui léchais l’une l’autre couilles. Sa queue était plus exacerbée que jamais. Bientôt je tins à l’engloutir en ma bouche jusqu’à son premier tiers. J’ai toujours adoré sucer. J’avais envie ici de m’y surpasser.Ses mains portées par le désir parcouraient tout mon corps. Tel un fétu de paille il me porta sur un coin de pelouse et m’installa à quatre pattes. Il s’enquit de me pénétrer en levrette dans la chatte hâve et baveuse. Les portes de mon temple étaient tout ouvertes. Pouvait-on se refuser à un dieu ?Il mit du temps à m’investir. Je lui su gré de cette délicatesse initiale. Il allait engouffrer son sexe énorme. J’en fus emplie bientôt. Un long travail de sape commença. Bouche ouverte en cet été si chaud je recherchais au loin quelque respiration. Le soc de la charrue tourmentait le sillon.Julot devait au loin se repaître de ce spectacle. Devinât-il le moment où mon amant noir s’employa à me sodomiser après que je l’en eus prié. Il me représentât la douleur et l’incommodité que j’en pourrais ressentir. D’un ton vulgaire je le pressais et ajoutais : »Ne fais pas tant de manières. J’aime qu’on m’encule ! » Il fit montre d’autant de douceur que de dextérité. Il entra peu à peu. Mon cul bien qu’exercé à être pourfendu devait être ménagé. Sa bite entra quand même au deux tiers avant d’imprimer le va-et-vient souhaité. Il me défonçait à présent. J’adorais parvenant jusqu’au ciel.Il ne fut pas peu étonné que je subis et supportât cet outrage durant un long quart d’heure. J’en avais vu d’autre. Enfin et comme s’il eût tout maîtrisé il lâchât sa purée et son foutre au fond de mon anus. Tout cela était crémeux, abondant. Je goûtais que ce magnifique nègre m’eût souillé devant mon autre amant. Il n’eût plus que manqué la présence outrée du mari pour ajouter à mon bonheur. J’étais heureux de cet exploit. Je l’invitais à recommencer les deux autres jours et à aller plus loin. Du reste j’obtins qu’il couchât la nuit en mon lit en profanant l’endroit si conjugal.Nous parvînmes au dernier jour. Il devait partir et mon mari revenir le lendemain. Julot n’était pas mécontent de se débarrasser d’un dangereux rival. La jalousie commençant à le gagner. Aussi tins-je à les rabibocher. Je ne voulais pas être la cause du dégât d’une si belle amitié. « Je n’en vaux pas la peine ! » ajoutais-je avec une pointe d’ironie. Nous allâmes tous trois dans le fameux coin du jardin. Je dis à Keita : « Il faut se dire adieu. » Là je recueillis son lourd sexe en ma bouche et m’employa à le sucer jusqu’au dernier suc tandis que derrière mon adorable Julot avait droit enfin à m’enculer.Il

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